La rédaction
La Fête du mimosa à la "Belle Epoque"
- Sur la Route du Mimosa © photo PdF 2020 Sur la Route du Mimosa © photo PdF 2020
- Bien caché le Fort de Brégançon sur la commune de Bormes-les-Mimosas © photo PdF 2020© photo PdF 2020 Bien caché le Fort de Brégançon sur la commune de Bormes-les-Mimosas © photo PdF 2020© photo PdF 2020
- Halte à Saint-Raphaël pour découvrir son patrimoine © photo PdF 2020 Halte à Saint-Raphaël pour découvrir son patrimoine © photo PdF 2020
- On profite de superbes couchers de soleil © photo PdF 2020 On profite de superbes couchers de soleil © photo PdF 2020
- Le Domaine du Rayol, la visite botanique à ne pas manquer © photo PdF 2020 Le Domaine du Rayol, la visite botanique à ne pas manquer © photo PdF 2020
- Le Massif de l'Esterel © photo PdF 2020 Le Massif de l'Esterel © photo PdF 2020
- Musée du Parfum à Grasse © photo PdF 2020 Musée du Parfum à Grasse © photo PdF 2020
- Tout le charme de Grasse © photo PdF 2020 Tout le charme de Grasse © photo PdF 2020
Mandelieu-La Napoule, capitale du Mimosa
La première fête du mimosa remonte au 16 février 1931 interrompue à la suite de graves incendies dans les années 80 et du gel des hivers rigoureux. la célébration de la plante renaît et devient un rituel à l'occasion du Carnaval.
Le soleil est généreux à Mandelieu et offre la plus belle des fleurs le Mimosa; ici il en tombe du ciel ou plutôt des chars fleuris qui circulent en bord de mer pour le plus grand plaisir des visiteurs.
La Belle Epoque, thématique 2020
Fanfares et des orchestres rythment le défilé de chars entièrement décorés de mimosas
Clou du spectacle le Grand Corso Fleuri* qui anime l’avenue Henry Clews, la plus belle de Mandelieu-La Napoule !
La Route du mimosa
En suivant les étapes de cette Route pittoresque vous serez au coeur de la Provence entre le Var et les Alpes-Maritimes :
Bormes-les-mimosas, Rayol-canadel-sur-mer, Sainte-Maxime, Saint-Raphaël, Mandelieu-la-Napoule, Tanneron, Pégomas et Grasse.
De janvier à mars
On se laisse entrainer sur l'itinéraire de découverte d'une plante, venue de l'autre côté de la planète et qui s'acclimate formidablement bien, qu'elle en devient l'emblème.
Du 19 au 26 février 2020
Le programme
Mercredi 19 Février à 18h - “Opéra et Parfum” - Concert Inaugural à la Chapelle Notre-Dame du Mimosa
Jeudi 20 Février à 20h - 9ème Nuit du Mimosa - Dîner dansant
Vendredi 21 Février à 19h - Spectacle nocturne « La Belle époque » - Plage du Château
Samedi 22 Février
14h - Election de Miss Mimosa -18h30 - Grande parade nocturne illuminée
Dimanche 23 Février* à 14h30 - Grand Corso fleuri sur le thème « La Belle Epoque »
Mercredi 26 Février à 15h - Carnaval des enfants
Office de tourisme de Mandelieu-La-Napoule
806 Avenue de Cannes
06 210 Mandelieu-La-Napoule
04.93.93.64.64
Turner, peintures et aquarelle
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue des gorges de l’Avon, 1791, crayon, encre et aquarelle sur papier, 23,1 x 29,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue des gorges de l’Avon, 1791, crayon, encre et aquarelle sur papier, 23,1 x 29,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), La Tamise près d’Isleworth : barque et péniches au premier plan, 1805, graphite et aquarelle sur papier, 25,8 x 36,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), La Tamise près d’Isleworth : barque et péniches au premier plan, 1805, graphite et aquarelle sur papier, 25,8 x 36,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Scarborough, vers 1825, aquarelle et graphite sur papier, 15,7 x 22,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Scarborough, vers 1825, aquarelle et graphite sur papier, 15,7 x 22,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Le Rameau d’or, exposé en 1834, huile sur toile, 104,1 x 163,8 cm, Tate, offert par Robert Vernon, 1847, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Le Rameau d’or, exposé en 1834, huile sur toile, 104,1 x 163,8 cm, Tate, offert par Robert Vernon, 1847, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Cathédrale de Durham : intérieur, vue vers l’est le long de l’aile sud, 1797-1798, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 75,8 x 57,9 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Cathédrale de Durham : intérieur, vue vers l’est le long de l’aile sud, 1797-1798, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 75,8 x 57,9 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Dinant, Bouvignes et Crèvecoeur : coucher de soleil, vers 1839, gouache et aquarelle sur papier, 13,6 x 18,8 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Dinant, Bouvignes et Crèvecoeur : coucher de soleil, vers 1839, gouache et aquarelle sur papier, 13,6 x 18,8 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise : vue sur la lagune au coucher du soleil, 1840, aquarelle sur papier, 24,4 x 30,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise : vue sur la lagune au coucher du soleil, 1840, aquarelle sur papier, 24,4 x 30,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Ehrenbreitstein avec un arc-en-ciel, 1840, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 14,1 x 19,3 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Ehrenbreitstein avec un arc-en-ciel, 1840, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 14,1 x 19,3 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
Exposition organisée en collaboration avec la Tate Modern de Londres
Turner ou l’âge d’or de l’aquarelle anglaise
Les aquarelles de Turner défient le Temps. Elles sont intemporelles et c'est en cela qu'elles nous touchent profondément. Le nom de Turner sur une affiche garantit sans contexte le succès et les visiteurs qui se déplacent en nombre. Le musée Jacquemart-André qui propose cette nouvelle approche, initie un angle original pas encore abordé.
Un fonds d'une grande modernité pour un grand peintre romantique
Après la disparition de l’artiste, la nation britannique en 1856 reçoit un legs immense comprenant des peintures à l’huile, des études inachevées et des ébauches, ainsi que des milliers d’œuvres sur papier :aquarelles, dessins et carnets de croquis.conservé au musée londonien.
Turner conservait pour lui-même un fonds considérable d’œuvres, laissé à sa mort dans sa maison et dans son atelier.
Rétrospective de Joseph Mallord William Turner (1775-1851)
Une partie de ce fonds intime deTurner est l'objet de cette exposition, 60 aquarelles, une dizaine de peintures à l’huile, dont certaines n’ont jamais été présentées en France.
Le Maître de la Lumière
Le jeune Turner, issu d’un milieu modeste, est avant-tout un autodidacte, il travaille chez un architecte, prend des cours de perspective et de topographie, puis entre à l’école de la Royal Academy à quatorze ans. De ses voyages, il explore sa technique.
Le parcours chronologique permet de suivre son évolution artistique : de ses œuvres de jeunesse d’un certain réalisme topographique aux œuvres de sa maturité, lumineuses et colorées.
Du 13 mars au 20 juillet 2020
Commissariat :
David Blayney Brown, conservateur senior de l’art britannique du XIXe siècle à la Tate à Londres
Pierre Curie, conservateur du musée Jacquemart-André