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La Fabrique de l'Art

Un futur pôle de conservation et de création

La volonté de préserver les collections uniques du Centre Pompidou va créer une nouvelle structure, ouverte vers un public plus éloigné du centre ville parisien et Massy paraissait un endroit idéal pour développer ce nouveau lieu culturel en région parisienne. 

Plus de 120 000 oeuvres sont abritées au Centre Pompidou. Conservée par le Musée national d'art moderne, cette collection est la propriété de l'Etat et constitue l'une des plus importantes en Europe.

Ce futur Centre Pompidou accueillera également les réserves du musée national Picasso-Paris.

Art, sciences et architecture de nombreuses disciplines se mettront en place pour accueillir le public et le faire vibrer au milieu d'une programmation sans cesse en mouvement; l'idée étant de faire connaître les métiers du musées (conservation, restauration, encadrement...) et de laisser voir l'immense collection entretenue par le Centre Pompidou depuis des années.

Les sciences et l'architecture tiendront une place de choix grâce au Pôle de Saclay, à proximité.

D’une superficie de 22 000 mètres carrés, cette Fabrique de l'art participera à animer l'agglomération en poposant différentes animations :ateliers, expositions, lieux de répétition théâtrale..., 

A l'avenir le pôle francilien du Centre Pompidou, alliant conservation, création et présentation des oeuvres, devrait ouvrir en 2025.

vendredi, 18 octobre 2019 Écrit par

Au Mont Saint-Michel

vendredi, 18 octobre 2019 Écrit par

A Nice

L'arrière-saison est idéale pour profiter de la Riviera. C'est sous le Second Empire à partir de 1864 que la ville connut un succès international.

L'histoire se répète. Le chemin de fer y amena une clientèle huppée en quête des derniers rayons de soleil qu'offre la Méditerranée. Le gotha y fit construire des palaces et des villas somptueuses qui participent encore, à la beauté de la Côte. 

Tout le long de la Promenade des Anglais, les témoins de la Belle Epoque (enfin ce qu'il en reste !) font de la résistance pour nos beaux yeux !

L'Excelsior Regina-Palace (1897) la Reine Victoria y avait ses habitudes, le Majestic (1908) le Grand Palais (1912) le Negresco (1912) classé monument historique, le Tsar Nicolas II y séjournait. Et ceux dont la destinée a changé mais qui profitent encore de beaux jours, car entretenus pour la majorité, ils resplendissent, le Musée Masséna (1901) devenu musée des Beaux-Arts, la Villa Paradisio II aujourd'hui conservatoire.

vendredi, 11 octobre 2019 Écrit par

Portes ouvertes des ateliers d'artistes montreuillois

Un rendez-vous artistique majeur à Montreuil. La ville recense le plus grand nombre d'ateliers d'artistes dans notre pays. Vous pourrez  suivre des artistes de street art en pleine action, transformant certains lieux en ateliers à ciel ouvert

260 lieux culturels ouvrent leurs portes et exposent plus de 700 artistes

 

Ateliers portes ouvertes © Jérôme Combe

 

Déjà fin 2015, des artistes reconnus de la street culture (Alex Perret, Artof Popof, Carolyn, Clément, Collectif Photograffée avec Pesca,/ Doudou’Style / Caligr / Djalouz / Alex Perret, Espion, EvazéSir nrc, JBC, Jérôme Mesnager, Le Cyklop, Mister Ema, Mister Pee, Mosko, Nemo, Popay, Sidney, Soklak ElGato, StayReo, Vizion) avaient réalisé des œuvres en direct.

Récemment l'artiste montreuillois BARNY a redonné des couleurs au carrefour des 7 chemins, dans le quartier Paul-Signac de Montreuil

Les 11, 12, 13 et 14 octobre 2019

De 14h à 20h

Atelier de Jérôme Mesnager © Ville de Montreuil

 

Week-end spécial de graff, peinture, sculpture, installations et performances notamment autour du street art*

Studio Albatros et Jérôme Mesnager

Le 11 octobre à partir de 17h

52 rue du Sergent Robillot

vendredi, 11 octobre 2019 Écrit par

Parade costumée dans le Vieux Nice

Pour sa 5ème édition de la Fête du Théâtre inspire les artistes, en effet ils proposent une parade joyeuse ce samedi au coeur de la vieille ville

Place Garibaldi à Nice © photo PdF 2019

 

Durant deux semaines, découvrez les spectacles et ateliers de 21 théâtres de Nice et de la Métropole Nice Côte d’Azur, mais aussi des stages, expositions, lectures, tables-rondes, conférences et visites.

Près de 150 dates de représentations pour plus d’une cinquantaine de spectacles

A noter pour ce week-end

Exposition-visite de l’atelier de création du Théâtre de la Massue

Vendredi 11 & samedi 12 octobre de 10h à 17h à l’Entre-Pont (89, route de Turin) Tarifs : 5€-3€ - (+2€ adhésion annuelle à l’Entre-Pont) Contact et réservations : contact@ezequiel-garcia-romeu.com

Lecture : La Baie des Anges de Jacques Demy (1963)

Vendredi 11 octobre – 19h à la Galerie Depardieu (6 rue Dr Jacques Guidoni) Tout public. Durée : 1h. Tarifs : 10€-8€-6€

Contact et réservations : artep.association@gmail.com – 09 66 89 02 74

Ciné-concert/Lecture/Courts-métrages en hommage à Jean Vigo

Soirée d’ouverture du 19e Festival européen du court métrage de Nice

Vendredi 11 octobre 2019 à 18h30 au Théâtre National de Nice (salle Michel Simon) Tout public à partir de 12 ans. Durée : 1h30. Entrée libre. Sur réservation : contact@nicefilmfestival.com 

Samedi 12 octobre 2019 à 14 heures

Départ de la place Garibaldi

 

La Fête du Théâtre

Du 7 au 20 octobre 2019

vendredi, 11 octobre 2019 Écrit par

En passant par Roanne

De l'Antiquité au Moyen-Age jusqu'au XIXe siècle, Roanne engendre un commerce florissant grâce à ses cours d'eau

Avant d'entamer notre tournée des villages de caractère, départ de Roanne, dont le centre ancien détient de nombreux vestiges: fours gallo-romains, baptistères du moyen-âge, son château et son donjon du XIIe.

Roanne © photo PdF 2019

 

L'église Saint-Etienne de style gothique flamboyant, surprend par son rayonnement solaire, du fait de sa construction de pierre jaune du Brionnais. Le musée Joseph Déchelette* sont des incontournables

Sucré ou salé...

Côté gourmandise, Roanne n'est pas en reste, la Maison Pralus, la papillote Révillon, les fromages Mons, les eaux minérales de Saint-Alban-les-Eaux. En octobre, rendez-vous gastronomique de l'année Roanne Table ouverte, dont nous avons parlé à de nombreuses reprises, à conserver dans ses tablettes.

Jusqu'en 1858, le port de Roanne est le deuxième port français

Une ville d'une étonnante modernité à l'exemple de son port réhabilité au début des années 90. Aujourd'hui devenu port de plaisance au coeur de la ville.

Haut-lieu de la bonneterie

Il ne faut pas oublier que la ville a connu une prospérité importante grâce à l'industrie textile. Le centre-ville se développe: théâtre, mairie, aménagement des voies navigables. Le lin et le chanvre sont cultivés dès le moyen-âge, les tisseurs font la réputation de Roanne.

 

Le village du Crozet © photo PdF 2019

 

Dans le Roannais les villages de caractère se succèdent sans se ressembler, partons à leur découverte:...A Crozet, à Saint-Haon le château, à Saint-Jean-Saint-Maurice à Ambierlé

Une belle adresse gourmande, la Maison Bouquet avec un accueil chaleureux, le restaurant a su trouver sa clientèle; un menu de saison auquel le chef est attaché, séduit, la décoration élégante ajoute la touche finale.

 

Bonnes adresses à Roanne

Restaurant le Tourdion

54 Cours de la République

04.77.71.48.82

Grand Hôtel à Roanne

 Maison Bouquet

17 Place du marché

04.77.69.07.26

 

Visite guidée sur réservation

Maison du Tourisme

Place du Maréchal de Lattre de Tassigny

42300 Roanne

04.77.71.51.77

Musée Joseph Déchelette*

Musée des Beaux-Arts et d'archéologie

Collections de céramiques et de faïences révolutionnaires

mardi, 29 octobre 2019 Écrit par

Moderne Maharajah, un mécène des Années 30

Un pont entre l'Occident et l'Orient

Quel bonheur cette exposition ! Un travail remarquable a été accompli par les deux commissaires d'exposition pour rassembler des pièces uniques de la vie et de l'oeuvre d'un jeune couple indien, inconnu de la plupart d'entre nous et qui adorait la culture française.

Comme au cinéma

Et quelle passionnante enquête. Imaginez un riche maharajah jeune et bel homme très cultivé est amoureux des arts, de la culture française à une époque où son environnement est entièrement tournée vers les apparâts auxquels il doit se soumettre en tant que haut-dignitaire de l'Empire. Les vidéos retrouvées, restaurées le montrent en habit traditionnel dans son palais.

La dynastie Holkar
Le maharajah d’Indore est le descendant, comme tous les membres de la dynastie Holkar, de guerriers marathes originaires d’Inde centrale.

Le costume traditionnel du Prince © photo PdF 2019

Le projet du palais Manik Bagh

Pour s'évader le jeune souverain et son épouse,souhaitent se faire bâtir un palais "moderne"
Son précepteur le Dr. Marcel Hardy, botaniste belge, et ancien assistant de l’urbaniste écossais Patrick Geddes, le sensibilise aux idées
progressistes.

Ensemble, ils voyagent en Europe et il le conseillera tout au long de son projet.
Il lui fera faire la connaissance d’Henri-Pierre Roché en 1927 qui deviendra son conseiller artistique pour les achats d’art et d’ameublement destiné au futur palais Manik Bagh.

Eckart Muthesius (1904-1989) l’architecture du palais Manik Bagh
La construction du palais Manik Bagh débute en 1930, suite à la rencontre à Oxford du maharajah d’Indore avec l’architecte allemand Eckart Muthesius, en 1929. Réalisé sur les fondations d’un bâtiment déjà existant, l’édifice est finalisé en 1933. 

Autre grande figure ayant influencé le maharajah est le couturier, collectionneur, mais également mécène Jacques Doucet.

Man Ray — Le maharajah d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*

L’année 1929 le jeune maharajah et son épouse sont souvent présents à Paris et visitent salons et ateliers d'artistes pour mettre en oeuvre leur projet architectural. Il entretenait avec eux des relations cordiales mais très encadrées. 

Les plus grands noms se mettent à créer pour eux, ce couple glamour qui les séduit, les inspire également.

Constantin Brancusi attire l’attention des plus grands collectionneurs et mécènes de l’entre-deux-guerres. Son travail, épuré et esthète séduit.

Jean Puiforcat (1897-1945) et le maharajah d’Indore

Outre l’horloge, les vases, coupes, bonbonnières ou services à thé, Puiforcat dessine pour le palais Manik Bagh une importante ménagère de couverts. Jusqu'au monogramme que Puiforcat a imaginé pour le maharajah et la maharani et que l’on retrouve sur un papier à lettres
conservé dans une collection privée.

Créateur de décors et de mobilier d’exception, Jacques-Émile Ruhlmann (1879-1933) renouvelle les arts appliqués. Il fera aussi parti de l'aventure.

Créé en 1932, le mobilier de Ruhlmann réalisé pour le palais Manik Bagh est produit sur mesure en ébène de Macassar, à partir de certains modèles montrés quelques années plus tôt, au Salon des artistes décorateurs de 1929.

Man Ray — La maharani d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*

Des portraits séduisants laissent un témoignage touchant de ce couple amoureux

Peintre, illustrateur de mode et décorateur, Bernard Boutet de Monvel (1881-1949) est reconnu pour ses portraits dans les milieux mondains franco-américains de l’entre-deux guerres. Il accueillera le couple à plusieurs reprises entre 1929 et 1934 dans son studio à Paris, pour réaliser quatre de leurs portraits en tenues occidentales et traditionnelles.

Man Ray, (1890-1976) photographe peintre, artiste pluridisciplinaire, accueille une clientèle prestigieuse dans son studio parisien,des poètes, écrivains et
de grandes figures de la noblesse comme le maharajah d’Indore, l’Aga Kahn et le vicomte et la vicomtesse de Noailles. Il va le photographier à plusieurs reprises jusqu’en 1930, aux côtés de son épouse, la maharani Sanyogita Devi, lors de leurs vacances à Paris et dans le sud de la France.

C'est une exposition comme on en voit rarement qui touche par l'Hsitoire qu'elle nous raconte. 

Courrez-y il est si rare de pouvoir rêver aujourd'hui, vous profiterez d'instants magiques...quand l'art dépassait les frontières intelligemment.

Encore merci à l'équipe du musée des Arts décoratifs pour cette découverte splendide.

Jusqu'au 12 janvier 2020

Commissaires d'exposition
Raphaèle Billé et Louise Curtis

Pour les vacances deux ateliers pour les jeunes 

Un bijou pour la maharani pour les 4 ans et en famille et Matières à construire pour les 11-14 ans

Musée des Arts décoratifs

107 Rue de Rivoli

75 001 Paris

01 44 55 57 50


Métro : Palais-Royal, Pyramides,Tuileries
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h
(Nocturne le jeudi jusqu’à 21h : seules les expositions temporaires et la galerie des bijoux sont ouvertes)
Plein tarif : 11 € tarif réduit : 8,50 €

 

 

vendredi, 10 janvier 2020 Écrit par

A Saint-Jean de Luz

Dans les Pyrénées-Atlantiques, Saint-Jean de Luz station balnéaire très prisée à la belle saison offre de belles balades à l'arrière-saison. Son architecture laisse apercevoir de nombreuses influences qui font de ses demeures une richesse dont on ne se lasse pas.

Ses rues bordées de maisons labourdines (de la campagne) montrent avec fierté les origines basques des familles installées depuis des générations. La cité des corsaires a de belles histoires à raconter.

La plage de Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019

 

Ville d'art et d'histoire, le parcours de visite vous amènera à la Maison de l'Infante, magnifique demaure dans laquelle se déroula le mariage de Louis XIV avec Marie-Thérèse d'Espagne.

A voir l'église Saint-Jean Baptiste

lundi, 07 octobre 2019 Écrit par

Gauguin aux enchères

Exposition en avant-première à Paris dès ce 3 octobre

De 1898 à nos jours, Te Bourao II a été présentée dans les principales expositions sur la période tahitienne de Paul Gauguin à travers le monde, au Fogg Art Museum de Cambridge, au Museum of Art de Batlimore, au Grand Palais ou au Musée d’Orsay à Paris. Elle fit même l’objet d’un prêt longue durée de dix ans au Metropolitan Museum à New York, de 2007 à 2017.

 

Peinte en 1897 à Tahiti, l’huile sur toile est une oeuvre testament synthétisant les thématiques et obsessions tahitiennes de l’artiste, en proie à de nombreux tourments. Te Bourao II provient d’un cycle majeur de neuf peintures de Paul Gauguin réalisées à Tahiti et envoyées à Paris en 1898 dans le cadre d’une exposition consacrée à l’artiste à la galerie Ambroise Vollard. Parmi ces chefs-d’oeuvre, figurait l’emblématique tableau D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?. De cet ensemble, Te Bourao II est aujourd’hui le seul encore en mains privées ; les huit autres ornent les cimaises des plus prestigieuses institutions: le musée des Beaux-Arts de Boston, le musée de l’Ermitage à Saint Pétersbourg ou le musée d’Orsay à Paris.

Du jeudi 3 au mercredi 9 octobre 2019

Exposition du vendredi 29 novembre au mardi 3 décembre 2019

Vente aux enchères le mardi 3 décembre 2019, à 20h 

Artcurial

7, Rond-Point des Champs-Elysées, 75008 Paris

jeudi, 03 octobre 2019 Écrit par

Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde

Le décor est planté, nous sommes dans un asile psychiatrique. Anna, jeune infirmière accueille un nouveau venu : Erik Satie. Elle le questionne sur ses antécédents, sa vie. Intriguée par ses réponses, elle s'attarde à son chevet et un dialogue s'instaure.

En quelle année sommes-nous ? sous la plume de l'illustrateur SUKI le temps s'égrenne et nous traversons un autre monde.

Une gymnastique de l'esprit 

Dans l'univers d'un compositeur (1866-1925)  rebel à son époque, qui toute sa vie tente d'imposer sa vision de la musique. L'artiste a l'imagination fertile, il donne des noms insolites à ses oeuvres  "Ses Gymnopédies (1848),  "Trois morceaux en forme de poires" (1903)

Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde © photo Fabienne Rappeneau

 

 "Il n'y a pas de vérité en art"

Elliot Jenicot campe un Erik Satie tout à la fois sincère et baroque. Bien souvent la mélancolie est associée à ces interludes de piano. Sans doute ses blessures que l'on ressent. Mais l'homme a eu plusieurs vies, il s'engage pour différentes causes. Il sera au coeur de mouvement artistique naissant à Paris, une époque flamboyante où l'on croise Picabia, Picasso, Cocteau, Diaghilev...

Tous les arts se côtoient, les rencontres alimentent son oeuvre

Ses amis, ses amours

"Un musicien égaré dans son temps" comme parlait de lui son ami Claude Debussy, que ses prises de position finiront par séparer. En amour il est intransigeant. Il évoque sa passion pour Suzanne Valadon qui le quittera aussi.  

L'auteur Laetittia Gonzalbes nous entraîne dans une fiction qui suscite l'envie d'écouter à nouveau Satie. Anaïs Yazit déploie un charme et une force qui se dévoilé créscendo. Cette création est  interprétée avec brio par un duo énergique et radieux.

Erik (avec un K) Satie a légué une oeuvre qui ne meurt pas. Il aurait certainement apprécié cette pièce plus qu'un long discours, elle nous fait apprivoiser un homme décidément pas comme tout le monde.

Avec Elliot Jenicot et Anaïs Yazit

N.B.

Du 3 octobre 2019 au 4 janvier 2020

Du mardi au samedi à 19h, durée 1h10

De 10 à 32 €

Relâches 10 octobre, 8 novembre, 6 décembre 

Réservation 01.42.0.81.88

Théâtre de la Contrescarpe

Rue Blainville

75005 Paris

m° Place Monge ou Cardinal Lemoine

jeudi, 03 octobre 2019 Écrit par
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