La rédaction

Pétition pour la sauvegarde de la sucrerie d Eppeville

Mobilisation pour un sauvetage symbolique

Les oppositons face à la destruction programmée de ce patrimoine historique, architectural et humain du pays Hamois, se multiplient. A l'heure où la volonté affichée de sauver ce qui représente notre identité historique et économique, voilà l'exemple de la Sucrerie d'Eppeville qui tombe fort à propos !

L'un de nos fleurons industriel est en danger

Cette tendance pourrait s'appliquer au cas particulier de ce Patrimoine illustre d'une région ouvrière, fière de son savoir-faire. L'association est ouverte à la discussion car il existe certainement des solutions pour laisser en place des bâtiments témoins d'une époque et de métiers à transmettre aux jeunes générations.

Si vous souhaitez soutenir l'association et signer leur pétition:

 

https://www.petitionenligne.fr/sauvegarde_sucrerie_eppeville 

 

 

Mr Cassel, historien local de Ham nous relate son Histoire

La Grande Guerre ayant détruit la quasi-totalité des sucreries de la région, M. Emile Tabary, ancien directeur de la sucrerie de Flavy-le-Martel (à 10km de Ham) veut la reconstruire. L’industrie étant éparpillée, il veut tirer parti des circonstances pour la concentrer et la rendre encore plus rentable.

Un projet d'envergure

Avec l’aide de M. Edmé Sommier, raffineur parisien et de M. Boivin, il réussit à mettre au point un projet de regroupement des dommages de guerre en obtenant l’accord de 14 sucreries et râperies détruites : Eppeville, Matigny, Monchy-Lagache, Athies, Mons-en-chaussée, Péronne, Ercheu, Moyencourt, Villers St Christophe, Flavy-le-Martel, Montescourt-Lizerolles,  Seraucourt-le-Grand, Lesdins et Courcelles.

L’emplacement de la nouvelle usine est choisi : Eppeville. En effet, étant donné l’importance du tonnage de betteraves à travailler, il faut que la sucrerie soit desservie par le fer  (ligne Amiens-Tergnier), la route (la RN 30) et l’eau (le canal de la Somme). C’est ainsi que la C.N.S R. (Compagnie Nouvelle de Sucreries Réunies) voit le jour le 13 juin 1919. L’usine est construite de 1919 à 1922 et la distillerie en 1922. Plus de 160 entreprises se côtoient sur le chantier! Jamais, à cette époque, on n’avait vu une fabrique de sucre de cette taille ! Ne fut-elle pas, un temps, la première d’Europe et la cinquième du monde !

L’architecte en charge du projet est Georges Lisch (1869-1960) qui travaillait à l’époque à la restauration du château de Vaux-le Vicomte pour le compte d’Edmé Sommier.

La façade principale de l’usine s’inspire de la première gare ferroviaire du Havre. Dans un esprit décoratif « art déco ». Georges Lisch l’orne de motifs de briques en écaille qui riment avec la forme de l’ensemble en arc de cercle. Une vaste ouverture centrale est surmontée de l’inscription en céramique « FABRIQUE  DE SUCRE ».

Une réserve d'emplois 

L’ensemble urbain et industriel constitué par la C.N.S.R. représente un exemple très abouti d’habitat social. L’architecte conçoit un vaste programme dont le dénominateur commun est l’appareillage en brique (pour les édifices de production et d’administration) et le style régionaliste. Aux côtés de l’usine, des bureaux, des services (cantine, infirmerie...), de la résidence du directeur traitée en véritable manoir, est édifiée la cité-jardin « les Chalets » pour les contremaîtres. Cette dernière, inspirée des réalisations anglo-saxonnes, forme un quartier verdoyant de 26 maisons jumelles, entourées chacune d’un jardin de 14 ares, desservi par quatre rues et doté d’un terrain de sport.

La première campagne sucrière est effectuée en 1923. En 1931 est créé un atelier de semoulerie et d’empaquetage.

Il n’y a pas eu de campagne en 1940 à la suite de graves dommages de guerre, ni en 1944 en raison de nouvelles destructions importantes.

C’est seulement en 1947 qu’Eppeville retrouve son activité d’avant-guerre.

 

 

En 1968, la C.N.S.R. se regroupe avec des actifs sucriers (Bouchon et Pajot, Saint-Louis et Etrepagny) pour devenir « Générale Sucrière », se plaçant au deuxième rang des entreprises sucrières françaises et au cinquième rang de celles de l’Europe des neuf.

En 1970, un atelier de déshydratation de pulpe de betteraves est implanté.

         En 1975, une imprimerie-emballages est créée.

         En 1988, Générale Sucrière change à nouveau de nom et devient Saint-Louis Sucre.

         Enfin, en 2001, Saint-Louis Sucre est racheté par le groupe coopératif allemand Südzucker, numéro un du secteur sucrier en Europe.

          En 2019, Südzucker annonce la fermeture du site. Le 8 février 2020, la production s’arrête mettant fin à une histoire…centenaire.

         Une bien triste nouvelle qui n’a pas manqué de jeter la stupeur et la consternation chez les 132 salariés de l’usine mais aussi chez les producteurs, les saisonniers, les commerçants de l’agglomération hamoise et de susciter une très grande émotion dans la population de la région parmi laquelle les nombreux retraités de la sucrerie.

A conserver en mémoire quelques chiffres afin de mieux appréhender l’importance et le rayonnement de cette industrie, fleuron de notre territoire :

- En 1955, l’ensemble des installations comportait plus de 1000 m de quais d’expédition par camions et wagons et un port fluvial important doté de grues et de portiques roulants où accostaient plus de 1000 péniches par an. Cet équipement considérable permettait d’assurer un trafic égal à celui du port de Boulogne-sur-Mer avec près de 1.200.000 tonnes manutentionnées par an !

- En 1981, l’usine se plaçait encore au deuxième rang des entreprises sucrières françaises et au cinquième rang de celles d’Europe des neufs. Sa surface emblavée était de l’ordre de 20.000 hectares et la production journalière de sucre de 1500 tonnes. Son effectif était de 712 permanents et de 295 saisonniers.

- En 2012, la surface ensemencée était de 15.900 hectares (67% dans l’Aisne, 23% dans la Somme, 10% dans l’Oise). 1200 «  Planteurs » venant d’un rayon moyen de 30 km approvisionnaient l’usine. En campagne, la quantité journalière de betteraves travaillées était d’environ 16.000 tonnes et la production journalière de sucre de 2000 tonnes.

En post-campagne (travail non plus de betteraves mais de sirops en surplus), la production journalière de sucre était de 1900 tonnes. La distillerie produisait, de son côté, environ 2.500 hl d’alcool par jour, à partir de jus de betteraves et de mélasses (résidu sucré de fabrication).

 

Quant au conditionnement, il avait emballé, toute l’année, le sucre de l’usine soit environ 80.000 tonnes (sucre cristallisé, semoule, glace, morceaux...). Et l’atelier de déshydratation avait fourni 62.000 tonnes de pellets.

 

 

 

 

21 Avr 2021

Aux saveurs d'Elodie

De la gourmandise encore, avec cette belle idée originale produite dans le Sud. Et quelques nouveautés à déguster -  des biscuits
apéritifs pour les beaux jours, et un biscuit choco-noisette - pour les fêtes de Pâques...Nichée en plein coeur de la Provence, à Mazan dans le Vaucluse, l'équipe a adopté un mode de production avant-gardiste.

Le principe est simple : les biscuits sont fabriqués uniquement à la demande afin d'éviter tout gaspillage alimentaire. Elaborés à partir d'ingrédients frais donc plus de goût, c'est du gagnant-gagnant.

Du fait maison, juste ce qu'il faut !

Au menu,  Croquants aux amandes On invite le soleil chez soi en dégustant un incontournable des 12
desserts provençaux : le savoureux croquant aux amandes.

On part en voyage...


Bien plus qu'un biscuit, la Canadienne est une création exclusive Aux saveurs d'Elodie qui offre le mariage parfait entre la cranberrie et la
pistache. Un pur voyage gustatif qui met à l'honneur les saveurs du Canada.

Du sucré comme du salé




L'amaretti, c'est "LE" macaron italien qui invite à la dolce vita et aux bons moments partagés. On prend le temps de se laisser transporter
par le parfum des amandes et on apprécie son fondant qui fait le bonheur de toute la famille.

 

A commander directement sur leur site :

https://auxsaveursdelo.com/

 

 

 

 

11 Mai 2021

Acquisition de l’urne d’Hirtius

Lors d’une vente aux enchères à Soissons le 13 mars dernier, le Département du Nord a fait l’acquisition de « l’urne d’Hirtius » cette urne en bronze est destinée à compléter les collections du Forum antique de Bavay.

Son acquisition par le Forum antique de Bavay va permettre la création d’une section sur l’histoire de l’archéologie et du musée de Bavay. Cette urne ainsi que différentes pièces conservées dans les collections publiques pourraient être confiées au C2RMF (Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France) afin d’être identifiées et datées.

 

Disparue depuis 1869, l'urne est retrouvée chez un agriculteur retraité puis prise en charge par le cabinet d’expertise Artemis Estimations.

« L’urne d’Hirtius » est un exemple emblématique des pratiques de « mystifications archéologiques », d’un commerce établi à Bavay au XIXe siècle autour des bronzes antiques et de son corollaire frauduleux.

Un peu d'Histoire

Le 27 novembre 1834, Hector Bochard annonce avoir découvert un objet patiné antique dans un champ bordant l'ancienne voie romaine reliant Bavay à Reims. Il s’agit d’une urne cylindrique en bronze à décor en relief munie d’un couvercle.

Sur cette urne, il est possible de lire « DIS.M.HIRTIUS.C.ANNO.VIICX. », ce qui laisserait supposer qu’il s’agit de l’urne cinéraire d’Aulus Hirtius, homme politique, écrivain latin et lieutenant de Jules César. La date inscrite, VIICX correspond à l'année 43 avant J.C. époque du consulat et décès d'Hirtius.

 

Vendue peu après sa découverte à un notable local, revendue au comte de Renesse-Breidbarch, l’urne est ensuite acquise en avril 1864 par le comte Emile Meester de Ravestein. Ce dernier, ayant des doutes sur l’authenticité de l’objet, décide de s’en défaire en 1869.

En effet, Hector Bochard s’adonnait à un commerce douteux de faux modernes dont il revendiquait la découverte dans la ville de Bavay afin de leur donner le lustre de l’Antiquité. Cette pratique, courante à l'époque, incite aujourd'hui les spécialistes à étudier certains objets issus de fouilles ou de collections bavaisiennes afin de vérifier leur authenticité et de déceler les faux.

"L'urne d'Hirtius" a ainsi été analysée et identifiée comme une contrefaçon.

 

 

19 Avr 2021

Début de la restauration de l'appartement de Madame du Barry à Versailles

L’appartement de Madame Du Barry, l’un des ensembles les plus raffinés de l’ancienne demeure royale et un témoin du Versailles intime de Louis XV, va retrouver tous ses atours. 

Le château de Versailles entame un nouveau chantier, toujours avec le soutien du Groupe AXA, dans l'esprit du précédent. A savoir que la majorité des interventions restitueront à l’identique les pièces, quelques incohérences rapporté à l’état de 1774 seront corrigées.

Certains ouvrages traités sur place dans les années 1940, seront traités en atelier pour réaliser un travail de qualité. Les travaux, d’une durée de dix-sept mois, porteront sur les quatorze pièces de l’appartement et vont mobiliser de nombreux métiers d’art et savoir-faire (menuisiers, doreurs, marbriers ou stucateurs)

L’état de vétusté des décors nécessitent aujourd’hui une nouvelle campagne de travaux.  

Depuis plus de soixante-dix ans, cet appartement n’a bénéficié d’aucune campagne de travaux de restauration. Au-delà de l’altération et du vieillissement des peintures, les décors et les plafonds ont souffert de l’humidité et d'importantes variations climatiques de cet étage, situé sous comble et orienté plein sud. 

La délicatesse de l’art de vivre au XVIIIe siècle

Entre 1943 et 1947, l’architecte en chef André Japy a réalisé le chantier, bien que réalisé durant la guerre - celui-ci permit la réalisation de nombreux travaux. Le parti pris fut alors de rétablir les dispositions de l’appartement dans son état de 1774, tel que le connut Madame Du Barry.

Un peu d'Histoire

Un lieu intime 

En 1770, Louis XV, veuf, décide d’installer sa favorite, la comtesse Du Barry au cœur du château, juste au-dessus de son appartement privé.

Aménagé par Ange-Jacques Gabriel, l’appartement de quatorze pièces s’étend sur plus de 350 m2. Situé au second étage de la résidence royale, il donne sur la cour de marbre pour les pièces de réception et sur les cours intérieures pour les pièces plus intimes. Il bénéficie également de multiples accès, permettant ainsi au Roi de rejoindre sa maîtresse, en toute discrétion, par ses escaliers privés. 


A la demande de la comtesse, les pièces principales conservent un décor blanc et or, privilège des princes. L’autre moitié de l’appartement présente d’exceptionnels décors polychromes qui, s’ils ont très largement existé sous l’Ancien Régime, ont pour la plupart disparu dès la fin du XVIIIe siècle.

 

Témoignage de l’art de vivre au XVIIIe 

Loin des espaces de représentation de la Cour, la maîtresse royale déploie un très grand raffinement dans ce lieu qu’elle fait agrémenter de mobilier et d’objets d’art à la pointe de la mode, mais qu’elle n’occupe que cinq ans (1770-1774) avant d’être chassée de la Cour.

Il échapee aux révolutionnaires


Après le départ de la favorite, cet appartement connaîtra quelques aménagements et remaniements dans sa distribution. Différentes personnalités s’y succèderont jusqu’à la fin du siècle et cette occupation quasi permanente lui permettra d’échapper aux campagnes de bûchage des insignes royaux par les révolutionnaires en octobre 1793. Ainsi, quelques fleurs de lys et des doubles « L » d’origine, sur les cheminées en marbre ou les boiseries, y subsistent encore intacts.

L’appartement ne sera pas non plus impacté par les importantes transformations du château au XIXe siècle. 

 

 La Du Barry 

 

Jeanne Bécu, dite «Mademoiselle Vaubernier», est née le 19 août 1743. Devenue par mariage comtesse du Barry, elle succède à Madame de Pompadour comme favorite du roi. Elle est présentée au Roi Louis XV en 1768. 


Le Roi est alors âgé et a perdu successivement son fils le Dauphin Louis-Ferdinand, son épouse, Marie Leszczynska ainsi que sa maîtresse devenue amie, Madame de Pompadour. Il est rapidement séduit par la beauté de cette jeune femme et c’est au cours de cette même année qu’elle s’installera à Versailles. Malgré les manigances du duc de Choiseul et le mépris de Mesdames filles de Louis XV, elle s’impose à la Cour. 

Une femme de goût


Amatrice d’art, elle protège peintres et artisans et cultive le style néo-classique à Versailles. Elle commande nombre de pièces au menuisier Delanois, à l’ébéniste Leleu et aux peintres Fragonard et Vien.

Amie de Voltaire, elle lui rend visite jusqu’à la mort de l’écrivain en 1778.

 
A la mort de Louis XV, en mai 1774, sur ordonnance de son successeur Louis XVI, elle est chassée de Versailles et emmenée au couvent de Pont-aux-Dames à Meaux. En 1776, elle se retire à Louveciennes. Dénoncée pendant la Terreur, elle est guillotinée le 8 décembre 1793.

21 Avr 2021

Les merveilles chocolatées de Pâques

De la gaité pour Pâques

On en profite puisque les chocolatiers restent ouverts durant le confinement  ! Et l'imagination est au pouvoir chez nos artisans rien de mieux pour rendre nos enfants heureux.

Des OVNI, Oeufs volants non identifiés à la Maison du Chocolat

Attention des ovnis chocolatés débarquent sur la Planète de la Maison du chocolat ! 

La collection ”Destination Planète Chocolat” de Nicolas Cloizeau va réjouir les papilles des addicts et émerveillés les petits ! Le chef explore des contrées lointaines et fortes en saveurs. Sa passion nous transporte vers des pays qui détiennent des pépites à découvrir.

Ils sont à croquer !

Les Poules, poussins et cloches  La maison parisiennes, les Petits Carreaux proposent à nos poussins, ses « Petites Mosaïques de Pâques » 

La poule accompagnée de ses 3 poussins croustillants et légers, est déclinée en 2 versions :

Poule praliné-noisettes enrobée de chocolat au lait 41% Côte d'Ivoire : un pralin fabriqué uniquement à partir de noisettes et de sucre caramélisé pour un goût authentique et une texture des plus onctueuses.  La poule est accompagnée de deux poussins de chocolat au lait au riz soufflé et d'un poussin de chocolat noir 71% Equateur au riz soufflé.

- Poule praliné-fleur de sel enrobée de chocolat noir : des amandes grillées à l'huile d'olive, du gianduja, de la pâte de cacao et de la fleur de sel de Camargue pour une expérience savoureuse et unique.
La poule est accompagnée de deux poussins de chocolat noir 71% Equateur au riz soufflé et d'un poussin de chocolat au lait 41% Côte d'Ivoire au riz soufflé.

La Poule et ses Poussins – Noir ou Lait : 210g  - 23,90€

Les cloches en friture

Les cloches de Pâques disponibles en 3 recettes au riz soufflé, croustillantes et légères : Noir 71% Equateur, Lait 41% Côte d'Ivoire ou chocolat blanc.

Friture – sachet de 250g  : 19,90€

C'est bon à savoir : toutes les « Petites Mosaïques de Pâques » sont présentées dans une pochette calque translucide blanc, biodégradable et compostable, fabriqué en France.

Disponibles à partir du 15 mars à la boutique :

6 rue Rémy Dumoncel

75014 Paris

Livraison à Paris dans la journée par coursier

Boutique en ligne - www.petitscarreauxdeparis.com

 A commander directement en ligne :

La Maison du Chocolat

http://www.lamaisonduchocolat.fr/

 

 

 

 

 

30 Mar 2021

150 ans de la Commune de Paris

Les grandes séquences de ce moment important  de l’histoire parisienne

Coup d'envoi aujourd'hui des festivités

Ouverture avec l'exposition « Nous la Commune ! » dans le square Louise Michel (18e)  pour célébrer les 150 ans de la Commune à Paris

Une autre exposition, créée par le Comité d’Histoire de la Ville de Paris s'étalera sur les grilles de l’Hôtel de Ville à celles des Buttes Chaumont puis celles de la Gare de l’Est.

Au fil des 72 jours qu’a duré la Commune de Paris, on pourra découvrir dans les arrondissements des pièces de théâtre, pour certaines immersives et en plein air,évoquant des épisodes essentiels de la Commune, tel Le Pari de la Commune, rue de la Fontaine au roi (11e), sur le site même de la dernière barricade.

Des conférences et débats réuniront historiens et universitaires, à l’image du colloque organisé au Petit Palais par le Comité d’Histoire de la Ville de Paris, des temps forts d’éducation populaire notamment au Pavillon Carré de Baudoin ou encore des promenades guidées sur les traces de la Commune, ainsi que la projection du documentaire « Les damnés de la Commune » sur le Parvis de la mairie de Paris.

Les bibliothèques de la Ville de Paris s’associent à cette programmation en proposant des conférences et des expositions, à noter, par exemple, celle consacrée aux Femmes de la Commune initiée par la bibliothèque Marguerite Durand.

Deux fresques éphémères seront également réalisées et plusieurs hommages serontrendus notamment à certaines femmes de la Commune oubliées (inaugurations du jardinPaule Minck dans le 20e, de la rue Anna Jaclard et de la passerelle André Léo dans le 12e).

Si la situation sanitaire le permet, le 2 avril, des lectures, des chants de la période seront donnés sur le Parvis.

Du 18 mars au 28 mai 2021

18 Mar 2021

Ménage de printemps au Musée de Flandres

En raison de la crise sanitaire. les travaux de refection au Musée de Flandres se sont vu décalés. La priorité étant de préserver les bonnes conditions de protection des toiles et de leur garantir une conservation adéquate. 

L'équipe du musée est particulièrement attentive aux oeuvres prêtées pour l’exposition La Dynastie Francken qui devrait ouvrir ses portes en septembre prochain. 

Début de chantier

Les oeuvres ont été transférées dans les réserves dont la capacité permet de les stocker sans aucun problème dans les meilleures conditions. Le musée ainsi vidé de ses collections offre une opportunité rarissime de pouvoir entreprendre un rafraîchissement de l’ensemble des salles d’exposition, travaux menés par les deux agents techniques du musée.

Le musée fête ses 10 ans cette année

A noter que le 2 juin, si le contexte sanitaire l’autorise, il sera possible de découvrir un nouveau parcours revisité et les dernières acquisitions restaurées.

Profitez de votre passage pour déambuler dans Cassel une ville typique dans laquelle se niche un patrimoine discret et charmant.

26 Grand' Place

59 670 Cassel

 

 

19 Mar 2021

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