La rédaction
Turner, peintures et aquarelle
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue des gorges de l’Avon, 1791, crayon, encre et aquarelle sur papier, 23,1 x 29,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue des gorges de l’Avon, 1791, crayon, encre et aquarelle sur papier, 23,1 x 29,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), La Tamise près d’Isleworth : barque et péniches au premier plan, 1805, graphite et aquarelle sur papier, 25,8 x 36,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), La Tamise près d’Isleworth : barque et péniches au premier plan, 1805, graphite et aquarelle sur papier, 25,8 x 36,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Scarborough, vers 1825, aquarelle et graphite sur papier, 15,7 x 22,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Scarborough, vers 1825, aquarelle et graphite sur papier, 15,7 x 22,5 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Le Rameau d’or, exposé en 1834, huile sur toile, 104,1 x 163,8 cm, Tate, offert par Robert Vernon, 1847, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Le Rameau d’or, exposé en 1834, huile sur toile, 104,1 x 163,8 cm, Tate, offert par Robert Vernon, 1847, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Cathédrale de Durham : intérieur, vue vers l’est le long de l’aile sud, 1797-1798, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 75,8 x 57,9 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Cathédrale de Durham : intérieur, vue vers l’est le long de l’aile sud, 1797-1798, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 75,8 x 57,9 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Dinant, Bouvignes et Crèvecoeur : coucher de soleil, vers 1839, gouache et aquarelle sur papier, 13,6 x 18,8 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Dinant, Bouvignes et Crèvecoeur : coucher de soleil, vers 1839, gouache et aquarelle sur papier, 13,6 x 18,8 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise : vue sur la lagune au coucher du soleil, 1840, aquarelle sur papier, 24,4 x 30,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise : vue sur la lagune au coucher du soleil, 1840, aquarelle sur papier, 24,4 x 30,4 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
- J. M. W. Turner (1775 – 1851), Ehrenbreitstein avec un arc-en-ciel, 1840, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 14,1 x 19,3 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate J. M. W. Turner (1775 – 1851), Ehrenbreitstein avec un arc-en-ciel, 1840, graphite, aquarelle et gouache sur papier, 14,1 x 19,3 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate
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Exposition organisée en collaboration avec la Tate Modern de Londres
Turner ou l’âge d’or de l’aquarelle anglaise
Les aquarelles de Turner défient le Temps. Elles sont intemporelles et c'est en cela qu'elles nous touchent profondément. Le nom de Turner sur une affiche garantit sans contexte le succès et les visiteurs qui se déplacent en nombre. Le musée Jacquemart-André qui propose cette nouvelle approche, initie un angle original pas encore abordé.
Un fonds d'une grande modernité pour un grand peintre romantique
Après la disparition de l’artiste, la nation britannique en 1856 reçoit un legs immense comprenant des peintures à l’huile, des études inachevées et des ébauches, ainsi que des milliers d’œuvres sur papier :aquarelles, dessins et carnets de croquis.conservé au musée londonien.
Turner conservait pour lui-même un fonds considérable d’œuvres, laissé à sa mort dans sa maison et dans son atelier.
Rétrospective de Joseph Mallord William Turner (1775-1851)
Une partie de ce fonds intime deTurner est l'objet de cette exposition, 60 aquarelles, une dizaine de peintures à l’huile, dont certaines n’ont jamais été présentées en France.
Le Maître de la Lumière
Le jeune Turner, issu d’un milieu modeste, est avant-tout un autodidacte, il travaille chez un architecte, prend des cours de perspective et de topographie, puis entre à l’école de la Royal Academy à quatorze ans. De ses voyages, il explore sa technique.
Le parcours chronologique permet de suivre son évolution artistique : de ses œuvres de jeunesse d’un certain réalisme topographique aux œuvres de sa maturité, lumineuses et colorées.
Du 13 mars au 20 juillet 2020
Commissariat :
David Blayney Brown, conservateur senior de l’art britannique du XIXe siècle à la Tate à Londres
Pierre Curie, conservateur du musée Jacquemart-André
Sentier des Chapelles à Samoëns
- Chapelle de Vallon © photo PdF 2020 Chapelle de Vallon © photo PdF 2020
- Chapelle de Vallon © photo PdF 2020 Chapelle de Vallon © photo PdF 2020
- Chapelle de Vallon © photo PdF 2020 Chapelle de Vallon © photo PdF 2020
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Pour découvrir la vallée de Samoëns, il est un chemin qui permet de l'approcher historiquement au plus profond u Pays, le Sentier des Chapelles.
Arrêtons-nous un instant à la chapelle de Vallon qui mérite que l'on s'y penche. Malgré l'entretien de bénévoles attentionnés, elle subsiste dans un état délabré comme beaucoup de petits bâtiments du patrimoine local.
Un peu d'Histoire
Un ex-voto du à l'épidémie de peste qui existe en ce début du XVIIe
Fondée en 1634, elle est dévouée à la protection divine en ces temps de peste. Le village la visite en dévotion en ce mois de décembre.
Visite de la moutarderie Fallot
Quand la moutarde vous monte au nez...c'est à l'ancienne selon ses traditions qu'elle invite à se découvrir, c'est à travers un circuit ludique et interactif
Des qualités gustatives conservées
Dernière à préparer la moutarde selon des recettes transmises depuis plusieurs générations et à broyer les graines grâce à des meules de pierre, l'entreprise Fallot est devenue légendaire.
Fallot nous entraîne à travers les siècles pour rappeler les gestes et les traditions (souvent oubliées) liés à la moutarde et à son histoire.
Les odeurs reconnaissables entretoutes nous enveloppent lors de la confection du produit
Des outils et des matériels anciens précieusement conservés et remis en scène pour révéler les secrets de fabrication qui font son succès.
Le parcours se termine par une dégustation bien méritée !
Tarif 10 € par personne
8 € (de 10 ans à 18 ans)
De mi-mars à mi-novembre : à 10h00 et 11h30
tous les matins du lundi au samedi (et certains dimanches).
En juin, juillet et août du lundi au samedi : à 15h30 et 17h00.
Moutarderie Edmond Fallot
31 rue du Faubourg Bretonnière
Beaune
03.80.22.10.10
Ateliers de fabrication de moutarde
Renseignements à l'Office de tourisme de Dijon
11 rue des Forges
21 000 Dijon
Mulot et Petitjean, l'authentique Pain d'épices
220 ans d’existence
Qualité des ingrédients, recettes séculaires et savoir-faire
Fondée en 1796, la maison Mulot & Petitjean est le résultat de l'alliance de la maison Boittier et de la maison Céry, les deux plus anciennes fabriques de pain d’épices de Dijon.
Le véritable pain d’épices de Dijon est toujours produit de manière artisanale.
Labellisée ‘Entreprise du Patrimoine Vivant’ depuis 2012, l'entreprise répond à de nombreux critères, son histoire et son exigence de qualité appuyé par un savoir-faire traditionnel, lui assure son succès.
Les machines changent le processus reste le même
La fabrique Mulot et Petitjean accueille les visites dans un espace muséographique crée pour répondre aux questions des gourmands. Miel, farine, fruits et épices immergent le visiteur dans le processus de fabrication. A l'aide d'un audio-guide dans une ambiance du début du XXème siècle, l'on peut découvrir les matières premières qui sont utilisées pour la fabrication du pain d’épices.
L’exposition de la collection de machines et outils de l’entreprise complète la visualisation sur écrans géants des étapes de fabrication.
L'avenir
Chez Mulot et Petitjean l’innovation est une priorité. L'équipe est en quête de nouvelles recettes.
Horaires de visites
Du mardi au samedi
de 10h à 12h30 et de 14h à 18h
(dernière visite à 17h)
Adulte : 8 €, enfant (12-17 ans) : 6 €
Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans
Pour les groupes
6 € par personne (à partir de 10 personnes)
Renseignements et réservation :
accueil@mulotpetitjean.fr
03 80 66 30 80
Pain d’épices Mulot & Petitjean
13 place Bossuet 21000 Dijon
Botanica de Lalique
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
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- Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020 Présentation de la dernière collection Lalique, Botanica © photo PdF 2020
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La Femme, la Flore, la Faune
La Nature est dans les gènes de Lalique, historiquement René Lalique s'en inspirait fortement. Inépuisable sujet de création, elle est présente partout. Et c'est aussi l'un des talents de l'artiste de l'avoir rendue intemporelle sur toutes ces cristalleries.
L'on retrouve dans la dernière collection Lalique tous les éléments phares de la marque. Ses maîtres-verriers atteignent des sommets de maîtrise dans la technique. Que ce soit la pivoine, le muguet, l’orchidée ou bien encore des cerisiers en fleurs, la décoration florale se fait fluide, épousant les formes cristallines, déclinée de teintes violettes, vertes ou ambre.
Ambre tamponné or et points d’émail noir
En édition numérotée pour l’incolore, et limitée à 88 exemplaires (nombre porte-bonheur en Asie) pour la version ambre, le vase "Fleurs de cerisier" est une pièce maîtresse de l'édition 2020
La série de vases "Pivoines" s'impose comme une matière à l'état brut. Les Petits modèles ambre, violet, incolore et vert, sont édités dans une gamme de prix plus accessible.
Brin de muguet
Considérée comme porte-bonheur et fleur préférée de René Lalique, le Muguet revient dans la tendance, on ne s'en lasse pas. La forme carrée contraste avec les lignes courbes de la gamme déclinée en incolore ou en vert.
Volupté et raffinement
Quelle élégance que cette autre gamme florale. Avec la carafe Orchidée, Lalique enrichit sa collection de carafes. Le luxe au quotidien avec cette somptueuse cascade de fleurs cristalline (édition numérotée).
Flora, la grâce à l'état pur
En édition limitée à 99 exemplaires, en cristal satiné repoli, la déesse déploie ses charmes. Flora, déesse de la végétation et du printemps dans la mythologie romaine, éblouit par la virtuosité de sa réalisation.
Coup de coeur pour les sculptures en cristal de Loups, en version incolore et en gris.
Jean Marais, l'éternelle étoile de Cocteau
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève Collection privée Jean Marais © Commune de Megève
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Marie Bougault
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier
- Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier Collection privée Jean Marais © Commune de Megève/Simon Garnier
https://patrimoinedefrance.fr/component/k2/author/995-la-r%EF%BF%BD%EF%BF%BD%EF%BF%BD%EF%BF%BD%EF%BF%BD%EF%BF%BDdaction.html?start=497#sigProIdc7bdd8d9ee
Des Arts et des Lettres
Quelle meilleure affiche que de remettre l'artiste Jean Marais sur le devant de la scène. Au coeur de la station, que le couple d'artistes appréciaient tout particulièrement. Leurs œuvres, leurs pensées, leurs écrits, leurs objets personnels, permettent de redécouvrir ce que chacun a apporté à l'art français; Jean Marais, monstre du cinéma français et Jean Cocteau, poète, dessinateur, cinéaste.
Cinéma, le théâtre, la mode, la sculpture, peinture...plus de 500 pièces inédites issues de collections privées
Megève inaugure un nouvel espace culturel avec une exposition dédiée à l'artiste complet qu'était Jean Marais. Comédien, sculpteur, peintre, les arts dominaient sa vie.
Les plus jeunes découvriront un univers onirique, florissant de créativité que ces deux inventifs, en quête inlassable de beauté, ignoraient les frontières établies.
En toute intimité
Unir deux artistes Jean Marais et Jean Cocteau dans cette actualité était, somme toute logique. Les deux créateurs adoraient s'y retrouver. Jean Marais y ouvre une galerie d’art dans les années 60-70, Jean Cocteau y réalise notamment le décor du bar « Les Enfants terribles » de l’hôtel du Mont-Blanc en 1963 et où l’on retrouve également une très belle œuvre de Jean Marais « Le vase aux Serpents ».
Jusqu'au 31 octobre 2020
Entrée 8€, gratuit pour les moins de 16 ans
Tous les jours de 15h à 19h sauf le lundi
Commissaires de l'exposition
Romain Leray et Didier Jovenet
Exposition "Jean Marais, l'éternelle étoile de Cocteau"
Mégève Le Palais