Turner, peintures et aquarelle

Exposition organisée en collaboration avec la Tate Modern de Londres

Turner ou l’âge d’or de l’aquarelle anglaise

Les aquarelles de Turner défient le Temps. Elles sont intemporelles et c'est en cela qu'elles nous touchent profondément. Le nom de Turner sur une affiche garantit sans contexte le succès et les visiteurs qui se déplacent en nombre. Le musée Jacquemart-André qui propose cette nouvelle approche, initie un angle original pas encore abordé.

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue de Richmond Hill et d’un pont, exposé en 1808, huile sur toile, 91,4 x 121,9 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

 

Un fonds d'une grande modernité pour un grand peintre romantique

Après la disparition de l’artiste, la nation britannique en 1856 reçoit un legs immense comprenant des peintures à l’huile, des études inachevées et des ébauches, ainsi que des milliers d’œuvres sur papier :aquarelles, dessins et carnets de croquis.conservé au musée londonien.

Turner conservait pour lui-même un fonds considérable d’œuvres, laissé à sa mort dans sa maison et dans son atelier.

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise: San Giorgio Maggiore – tôt le matin, 1819, aquarelle sur papier, 22,3 x 28,7 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

Rétrospective de Joseph Mallord William Turner (1775-1851)

Une partie de ce fonds intime deTurner est l'objet de cette exposition, 60 aquarelles, une dizaine de peintures à l’huile, dont certaines n’ont jamais été présentées en France.

 

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Jumièges, vers 1832, gouache et aquarelle sur papier, 13,9 x 19,1 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

Le Maître de la Lumière

Le jeune Turner, issu d’un milieu modeste, est avant-tout un autodidacte, il travaille chez un architecte, prend des cours de perspective et de topographie, puis entre à l’école de la Royal Academy à quatorze ans. De ses voyages, il explore sa technique. 
Le parcours chronologique permet de suivre son évolution artistique : de ses œuvres de jeunesse d’un certain réalisme topographique aux œuvres de sa maturité, lumineuses et colorées.

 

Du 13 mars au 20 juillet 2020

Commissariat :
David Blayney Brown, conservateur senior de l’art britannique du XIXe siècle à la Tate à Londres
Pierre Curie, conservateur du musée Jacquemart-André

Musée Jacquemart-André 
153 boulevard Haussmann 
75 008 Paris

 

14 Mar 2020 0 comment
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Exposition organisée en collaboration avec la Tate Modern de Londres

Turner ou l’âge d’or de l’aquarelle anglaise

Les aquarelles de Turner défient le Temps. Elles sont intemporelles et c'est en cela qu'elles nous touchent profondément. Le nom de Turner sur une affiche garantit sans contexte le succès et les visiteurs qui se déplacent en nombre. Le musée Jacquemart-André qui propose cette nouvelle approche, initie un angle original pas encore abordé.

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Vue de Richmond Hill et d’un pont, exposé en 1808, huile sur toile, 91,4 x 121,9 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

 

Un fonds d'une grande modernité pour un grand peintre romantique

Après la disparition de l’artiste, la nation britannique en 1856 reçoit un legs immense comprenant des peintures à l’huile, des études inachevées et des ébauches, ainsi que des milliers d’œuvres sur papier :aquarelles, dessins et carnets de croquis.conservé au musée londonien.

Turner conservait pour lui-même un fonds considérable d’œuvres, laissé à sa mort dans sa maison et dans son atelier.

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Venise: San Giorgio Maggiore – tôt le matin, 1819, aquarelle sur papier, 22,3 x 28,7 cm Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

Rétrospective de Joseph Mallord William Turner (1775-1851)

Une partie de ce fonds intime deTurner est l'objet de cette exposition, 60 aquarelles, une dizaine de peintures à l’huile, dont certaines n’ont jamais été présentées en France.

 

J. M. W. Turner (1775 – 1851), Jumièges, vers 1832, gouache et aquarelle sur papier, 13,9 x 19,1 cm, Tate, accepté par la nation dans le cadre du legs Turner 1856, Photo © Tate

Le Maître de la Lumière

Le jeune Turner, issu d’un milieu modeste, est avant-tout un autodidacte, il travaille chez un architecte, prend des cours de perspective et de topographie, puis entre à l’école de la Royal Academy à quatorze ans. De ses voyages, il explore sa technique. 
Le parcours chronologique permet de suivre son évolution artistique : de ses œuvres de jeunesse d’un certain réalisme topographique aux œuvres de sa maturité, lumineuses et colorées.

 

Du 13 mars au 20 juillet 2020

Commissariat :
David Blayney Brown, conservateur senior de l’art britannique du XIXe siècle à la Tate à Londres
Pierre Curie, conservateur du musée Jacquemart-André

Musée Jacquemart-André 
153 boulevard Haussmann 
75 008 Paris

 

Informations supplémentaires

  • Région: Paris
Dernière modification le samedi, 14 mars 2020 11:48

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