La rédaction
Balade à Dinard
- © photo PdF 2019 © photo PdF 2019
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https://patrimoinedefrance.fr/paris/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=686#sigProId069407acb4
Dinard, la Belle, n'a rien perdu de sa superbe.
Si au cours de l’Histoire certains bâtiments ont pu disparaître, on se souciait moins du patrimoine dans les années 70, l’essentiel a été sauvegarder Dinard nous fait profiter de ces joyaux toute l’année.
Ils peuvent être fiers les habitants de Dinard car d’avoir su préserver le charme de la Belle Epoque, le temps de la splendeur de leur ville est toujours un atout.
Située sur l’estuaire de la Rance, les riches industriels rivalisent d’imagination en construisant des villas luxueuses. Surplombant la mer, elles disposent de parcs magnifiques, de jardins en terrasses, certaines se visitent.
La Pointe de la Malouine
Auguste Poussineau était visionnaire. Promoteur et spéculateur il comprend vite l’intérêt de l’emplacement d’une maison qui réside en partie dans la vue qu’elle apporte à ses futurs propriétaires. Il achète en 1879 les terrains de la Pointe de la Malouine pour en faire un lotissement haut de gamme.
C’est un régal de s’y promener à la découverte de villas au charme éternel.
La Villa Hortense, imaginée pour le Prince russe Vlassov, passionné par la vie de la mère de Napoléon III. Les villas Kérozar, Belle Assise, Roche plate, l’architecture balnéaire poussée dans ses raffinements. Briques, frises de céramique, carreaux de faïence, les bow-windows qui agrémentent les façades…
Au détour de l’Allée des Douaniers, difficile de manquer celle qui fait rêver tous les touristes, la villa les Roches brunes. Magnifique sur son rocher elle domine la Côte. Construite entre 1893 et 1896, son style néo-Louis XIII si original qu’on la distingue d’emblée.
Elle est ouverte au public et propose des expositions temporaires. Et une vue unique sur la baie de Dinard.
En face se dresse la Pointe du Moulinet. Plus discrète, les propriétés paraissent plus austères mais sont splendides. Les demeures ici disposent d’un panorama exceptionnel sur l’embouchure de la Rance et par temps clair sur les remparts de Saint-Malo. Ces somptueuses demeures que l’on appelle « les Châteaux de bord de mer ».
Un peu d’Histoire
La plage de l’Ecluse tient une place centrale dans l’histoire de Dinard. Elle deviendra la star de la station balnéaire haut-lieu de rendez-vous de toute l’intelligentsia parisienne des Années Folles. L’Entre Deux Guerres est synonyme de divertissement, on veut profiter de la vie.
Une plage mondaine
Les établissements de mer, le Casino, des hôtels fleurissent.
Ne pas manquer de faire une pause à l’ancien Muséum d’Histoire naturelle (son aquarium était très réputé) aujourd’hui restauré de manière exceptionnelle, le propriétaire a su faire de ce « Bric à Brac » un havre de paix. Sa terrasse offre une vue panoramique.
La station balnéaire attirait au début du XXe toute l’aristocratie anglaise, venue se ressourcer à l’air frais.
Un souci hygiéniste
La priorité était de venir prendre les eaux et de soigner mais surtout Il fallait se montrer et être vu.
A la rentrée nous y retournons pour le Festival du Film
Du 25 au 29 septembre
30ème édition du Dinard Film Festival
Dinard, ville d’Art et d’Histoire
Profitez de la visite de la ville en compagnie d’un guide-conférencier, pour tout connaître de son patrimoine varié et entretenu.
Un office de tourisme dynamique invite à des visites à thème toute l’année
Si au cours de l’Histoire certains bâtiments ont pu disparaître, on se souciait moins du patrimoine dans les années 70, l’essentiel a été sauvegarder Dinard nous fait profiter de ces joyaux toute l’année.
Office de tourisme de Dinard
Varengeville-sur-Mer
- Le cimetière de Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019 Le cimetière de Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019
- Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019 Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019
- Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019 Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019
- Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019 Varengeville-sur-Mer © photo PdF 2019
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Varengeville-sur-Mer a attiré de nombreux artistes par sa situation géographique en tant que station balnéaire. Mais également pour son parc floral du Bois des Moustiers, celui-ci se visite au moment des Journées du Patrimoine. A la Belle époque, ses propriétaires y accueillaient peintres, écrivains, Monet, Pissaro, Calder, Cocteau...
On peut faire une halte au petit cimétière communal qui domine la Manche et se recueillir sur la tombe de Braque. L'artiste y est enterré avec son épouse.
Il a laissé quelques vitraux dans l'église, visitée toute l'année.
En Seine-Maritime
De Villeneuve-lès-Avignon
- Villeneuve-lès-Avignon © photo PdF 2019 Villeneuve-lès-Avignon © photo PdF 2019
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Question orthographe, le libre choix est à la carte soit avec l'accent soit avec un S : Villeneuve les Avignon est connue dans la région pour être la Villeneuve cardinale.
En effet, lieu de villégiature des papes, sa douceur de vivre en a subjugué plus d'un. D'où la richesse au mètre carré des résidences qui abritaient tous ceux qui souhaitent la tranquillité vivant à l'écart de la foule.
Autour d'un petit périmètre vous pourrez évoluer à différentes époques : monter à la Tour Philippe Le Bel (XIVe) et profiter d'une vue imprenable sur Avignon. Passer la journée à la Chartreuse du Val de Bénédiction (XIVe) , qui dès l'été acceuille le Centre National des écritures du spectacle. Un lieu vivant ouvert au public, unique en France.
Très discret, il faut faire une halte au musée Pierre de Luxembourg où vous aurez l'heureuse surprise de pouvoir admirer le Couronnement de la Vierge du XVe.
Métamorphose de la Manufacture des tabacs de Morlaix
https://patrimoinedefrance.fr/paris/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=686#sigProId1381d08348
La Manufacture de Morlaix est classée aux Monuments historiques
C'est un immense chantier auquel s'attèle la ville. Il n'y a pas si longtemps la Manufacture employait presque toute la ville, des générations entières s'y sont succédées et puis l'usine ferme malgré de nombreuses tentatives, rien n'y fait. En 2004, des siècles après sa construction la Manufacture ferme et se retrouve abandonnée.
La France est devenue non-fumeuse.
Des métiers, des savoir-faire entiers disparaissent et un monument gigantesque comme vidé de sa substance.
Alors que faire ? Comment exploiter cet immense vaisseau qui résiste, vent debout à la destruction. Préserver la mémoire du Pays, refaire vivre ce lieu gigantesque.
Difficile aussi de ne pas heurter la sensibilité des anciens. Redonner un cap, tourné vers l'avenir qui embarque tous les morlaisiens.
L'Espace des Sciences
Le projet retenu est multiple. Et le pari ambitieux.
Promouvoir les techniques, l'industrie et la science
La Manufacture va abriter différentes initiatives sous la houlette de l'Association de l'Espace des Sciences. L'idée d'une reconversion totale d'un ancien site industriel et le développement d'un nouveau quartier vivant, équipé de salles de cinéma, d'espaces d'expositions. Fin 2020, un parcours de découverte scientifique entraînera le visiteur sur 2400 m².
Au programme, des expérimentations scientifiques, un espace dédié à l'architecture et à l'histoire de la Manu. Des explications sur le tabac : botanique, consommation, santé, environnement...Des Machines et des Hommes sur 3 siècles d'histoire à la Manu, les conditions de travail et les évolutions techniques. Toujours dans le domaine scientifique, le jardin des Planètes, une exposition sur les Roches armoricaines et un Pendule de Foucault, dispositif monumental (il y a de la place !) sans oublier une exposition temporaire, renouvelée annuellement.
Et toujours dans le domaine du Patrimoine, la place des Moulins, remis en fonctionnement, ils sont les vestiges du travail à la Manu. Ils sont classés aux Monuments historiques.
La Manufacture est accessible au public, tout le temps des travaux.
Manufacture des tabacs
41 Quai du Léon
29 600 Morlaix
De Beaucaire
- La Maison du Patrimoine de Beaucaire © photo PdF 2019 La Maison du Patrimoine de Beaucaire © photo PdF 2019
- La Maison du Patrimoine de Beaucaire © photo PdF 2019 La Maison du Patrimoine de Beaucaire © photo PdF 2019
- Beaucaire © photo PdF 2019 Beaucaire © photo PdF 2019
- Les Cariatides de Beaucaire © photo PdF 2019 Les Cariatides de Beaucaire © photo PdF 2019
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- Beaucaire © photo PdF 2019 Beaucaire © photo PdF 2019
- Les Halles de Beaucaire © photo PdF 2019 Les Halles de Beaucaire © photo PdF 2019
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- Beaucaire © photo PdF 2019 Beaucaire © photo PdF 2019
- Le château de Beaucaire © photo PdF 2019 Le château de Beaucaire © photo PdF 2019
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Petite commune du Gard, Beaucaire est sans doute celle qui concentre l'un des plus beaux patrimoines en matière d'hôtels particuliers. Son centre est malheureusement déserté entraînant un abandon de monuments autrefois splendides.
L'on débute la balade par la Maison du Patrimoine, située dans le Centre à proximité des ruelles à longer.
Beaucaire doit sa fortune à une grande foire au Moyen-Age qui s'étendit jusqu'au XVIIIe. Il reste de beaux témoignages de cette période de prospérité dans cet alignement d'hôtels particuliers du XVIIe, notamment la Maison des Cariatides ou bien encore l'Hôtel de ville.
Deux tours, la chapelle et les courtines subsistent du château démantelé par Richelieu.
Maison du Patrimoine
1 rue des Trois Pigeons
30 300 Beaucaire
L'Auberge des Pêcheurs
Située non loin de la Vallée des Peintres, l'auberge reprise par un chef irlandais fait revivre le village. Des spécialités culinaires variées, du poisson, et des produits frais, il y en a pour tous les goûts. L'adresse est fréquentée assidûment preuve de sa notoriété.
Aux beaux jours, l'on profite de sa terrasse au bord de l'eau, face à l'ancienne filature.
Le cadre est buccolique à souhait et l'on se sent au coeur d'un patrimoine préservé ce qui est un véritable atout.
Dès que l'on arrive à la Celle Dunoise on sait que l'on est dans la Vallée des Peintres puisqu'une reproduction d'un tableau d'Eugène Alluaud, personnalité incontournable de l'école de Crozant, est exposé.
La rivière en surplomb, est enjambée par un charmant pont médiéval. Le village offre un panorama unique.
Tout le charme discret et authentique de la Creuse se trouve ici réuni.
Dépaysment assuré !
Menus de 30 à 50€
Auberge des Pêcheurs
2 Rue des Pradelles
La Celle Dunoise
05.55.89.02.45
La Vallée des Peintres de Crozant
https://patrimoinedefrance.fr/paris/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=686#sigProId0969a2f95f
Tous les chemins mènent à Crozant. Difficile aujourd’hui de réaliser à quel point l’endroit fut synonyme de création artistique et de fourmillement intellectuel.
Pour appronfondir vos connaissances sur toute cette période florissante artistiquement parlant et oubliée, raprochez-vous du travail entrepris par cet écrivain.
L’historien d’art, Christophe Rameix le sait bien. Depuis des années il œuvre pour que soit mieux connu l’école de peintres dont il admire le travail*. Spécialiste de cette période, il expertise les toiles issues de l’école de Crozant.
La Vallée des Peintres
Imaginez à cette époque, le village fourmille d’artistes peintres, chevalet sur l’épaule, qui arpentent les collines et s’installent devant des paysages qu’ils vont transcender. Les bords de la Sédelle et ses moulins ont tant inspirés de grands noms, Paul Madeline, Picabia, Ernest Hareux, Eugène Alluaud. Il y avait foule…
1889-2019, 130 ans
Le plus célèbre d'entre eux, Claude Monet, dont on fête le séjour, est venu chercher la nouveauté ici. Sur l’invitation de son ami le critique d’art Gustave Geffroy (ami de Maurice Rollinat) Il arrive en 1889 à Fresselines pour rencontrer « cette nature sauvage » et sans doute l’apprivoiser.
Il sera prolifique et peindra plus d’une vingtaine de versions de la vallée. 24 au total, en trois mois. Dont une série spécifique de onze toiles sur la Confluence.
La nature creusoise a tout pour attirer.
On peut comprendre que cet endroit l’ait inspiré. Les artistes voient s’étaler sous leurs yeux des terrains escarpés dont la lumière changeante, toute colorée de mauve avec la bruyère et de jaune que les ajoncs ajoutent au tableau.
Toujours en quête de nouveaux espaces les impressionnistes, libérés des contraintes de l’atelier, peuvent se déplacer et peintre in situ. Le tube de peinture est inventé en 1841, une véritable révolution. Ils peuvent s’exprimer en milieu naturel, certains se contentent d’une esquisse et terminent leurs toiles en ateliers.
1820-1850, les heures de gloire
L’Hôtel Lépinat est une auberge appréciée, les habitants louent des chambres. Crozant vit une période unique.
Aujourd’hui il est transformé en lieu accueillant. Des outils multimédias aident à la compréhension de ce que les peintres ont vécu et apporté à ce coin du Limousin. Personnage atypique, passionné de pêche, Rollinat écrit des poèmes à Fresselines. Arnaud Guillaumin, le maître les lieux, s’était établi dans cette maison de famille.
L’école de Crozant
Il n’y a pas de chef de file à proprement parlé, c’est ce que l’on peut appeler l’école du Paysage. Les peintres partagent une technique. Picabia, grande figure de l’Impressionnisme est de passage à Fresselines.
Une frontière militaire
La forteresse (du XIIe) dont il subsiste quelques ruines dominait la Creuse dernière frontière contre les Anglais. A l’apogée de son histoire au XVe, les Lusignan, seigneurs du Comté, complotent contre le Roi. Ce fut le signe de leur déclin. Début du XVIe, leur château n’est plus que ruine. Le niveau d’eau autour de ce rocher était plus élevé qu’aujourd’hui et protégeait le pic.
En 1786, le fisc l’a saisi à son noble propriétaire, nous sommes en pleine Révolution française.
La vogue du Rocher de la Fileuse
Oubliée jusqu’en 1820, année durant laquelle George Sand en compagnie de Frédéric Chopin vient séjourner à Gargliesse. C’est elle qui lance la mode et invite ses amis, artistes à découvrir le lieu.
A cette époque on met sept heures depuis Paris pour arriver, la calèche est le seul moyen de locomotion. Le train arrivera en 1856. Quatre auberges peuvent héberger les touristes qui affluent.
Les critiques d’art et les guides touristiques participent à cet engouement très parisien.
A partir de 1856, de nombreux peintres se retrouvent dans la vallée. Une rencontre étonnante entre le monde rural et le lieu où l’on doit être. Paul Haviland, en 1869-1870, prend des clichés en couleur.
Paul Madeline
Première rétrospective consacrée à un peintre majeur de l’école de Crozant
La fin d’un cycle
1926 signe l’arrêt du passage des peintres la peinture évolue et se tourne vers les intérieurs, la mode a changé. Ils reviendront un peu dans les années 1950 mais ce n'est plus comme avant.
Depuis 1923, la Fileuse est classée monument historique, des fouilles ont été entreprises aux abords. Elle se visite équipée d’une tablette.
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Pour compléter votre halte, allez découvrir le Centre d’art de Fresselines. Un pari qui prouve que même installé au milieu de la campagne, les habitants apprécient la création contemporaine. Ouvert depuis un an, ce superbe bâtiment, une ancienne grange, rend hommage à Monet au travers d’une scénographie très actuelle.
L'actualité du Centre d'Art une exposition temporaire autour de Claude Monet figure emblématique du mouvement Impressionniste.
Informations complémentaires
Son livre est une bible pour mieux appréhender cette période artistique. *
« Impressionnisme et postimpressionnisme dans la vallée de la Creuse » par Christophe Rameix éditions Christian Pirot
Version française et anglaise, 25€
Se procurer ce bel ouvrage, réédité par l'Association Erica (éditions Points d'encrage) "Huit jours à Crozant" racontés par l'aquarelliste Albert Geoffroy et illustrés par Emile Humblot. 10€
- Le Centre d’Art Monet-Rollinat, expositions, créations, expériences.
Peinture, sculpture, photographie, vidéo, arts graphiques
2 Allée Fernand Maillaud
23 450 Fresselines
05.55.89.27.73
Sentier d’interprétation à Fresselines
- Centre d’Interprétation du Patrimoine Hôtel Lépinat
Vous y trouverez "Le Sentier des Peintres" A la découverte des peintres de Crozant, un carnet interactif pour partir en balade.
05.55.63.01.90
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