La modernité de Gustave Caillebotte
La beauté des toiles du peintre impressionniste se renouvelle une fois de plus. La restauration de son oeuvre est achvée, son tableau est à nouveau d'un seul tenant et nous éclaire sur la majesté florale. Il explose dans toute sa plenitude.
- Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893 Huile sur toile, 205 x 116 cm (chaque panneau) Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893 Huile sur toile, 205 x 116 cm (chaque panneau)
- Restauration du tableau de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893 Restauration du tableau de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893
- Restauration du tableau de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893 Restauration du tableau de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893
https://patrimoinedefrance.fr/hauts-de-france/40-echos-du-patrimoine/989-la-modernite-de-gustave-caillebotte.html#sigProIdd758dcd641
Cette oeuvre complète sera présentée pour la première fois au musée des impressionnismes de Giverny dans l’exposition Côté jardin. De Monet à Bonnard.
Il était encore sous la forme de fragments jusqu'en 2016.
Si son emplacement originel reste incertain, l'on imagien selon ses dimensions un décor réalisé pour couvrir la partie supérieure d’un mur, et touche insolite, ce rectangle qui aurait masqué un élément de mobilier laissé blanc par l’artiste.
- Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
- Détail de la toile de Gustave Caille botte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caille botte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
- Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
https://patrimoinedefrance.fr/hauts-de-france/40-echos-du-patrimoine/989-la-modernite-de-gustave-caillebotte.html#sigProId217c34cfb7
Il aura fallu plusieurs mois de restauration pour que ces Quatre panneaux verticaux retrouvent leur intégrité
Leur caractère inachevé suggère que les panneaux ont pu être peints en vue d'être installés dans la dernière résidence de Caillebotte, au Petit-Gennevilliers mais son décès interrompt leur réalisation en 1894.
- Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
- Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
- Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration Détail de la toile de Gustave Caillebotte (1848-1894) Parterre de Marguerites, vers 1893, durant sa restauration
https://patrimoinedefrance.fr/hauts-de-france/40-echos-du-patrimoine/989-la-modernite-de-gustave-caillebotte.html#sigProId1751bad7bd
Encadré par des bordures de liserons peintes à même la toile, le Parterre de Marguerites associe la répétition décorative d’un papier peint à la liberté de touche d’une œuvre impressionniste. Telles des fleurs vivantes semées sur la toile, ces marguerites suggèrent les motifs de l’art japonais qui dont les artistes occidentaux de cette époque sont très friands.
Exposition "Côté jardin. De Monet à Bonnard"
Jusqu’au 1er novembre 2021.