La rédaction

L'Envers du Décor à la Porte Dorée

Les 3 et 4 février, découvrez le Palais comme vous ne l’avez jamais vu !

Une 7e édition, placée pour la première fois, sous le signe des arts numérique où les Dix artistes invités se donnent à coeur joie d'apporter une vision poétique à ce lieu chargé d'Histoire. 

Des Performances participatives et sonores, installations, lectures et interventions artistiques ponctueront tout le week-end.

L'occasion aussi d'admirer le Salon des laques, nouvellement restauré. 

Ce Palais illustre parfaitement l'architecture typique des années Trente. Témoignage majeur de l’histoire coloniale, le temps s'est arrété entre ses murs. Les œuvres abritées sont un miroir, un passage de l'Histoire de notre pays, qu'il faut resitué dans son époque, dont il faut expliquer cette période à la jeune génération.

 L’Envers du décor

Le Palais de la Porte Dorée, une Institution culturelle pluridisciplinaire 

L’Établissement public du Palais de la Porte Dorée est multiple :  constitué d’un monument historique, le Palais de la Porte Dorée, du Musée national de l’histoire de l’immigration et d’un aquarium, l’Aquarium tropical.

A la fois, lieu d’exposition, de diffusion de la connaissance, forum d’expression et espace de sociabilité, lieu de programmation de spectacles et de festivals et lieu de conservation d’espèces menacées et de sensibilisation, sa visite est enrichissante à plus d'un titre.

 Profitez-en ces deux jours, l'entrée est Gratuite

Samedi 3 et dimanche 4 février 
de 10h à 19h 

Les installations sont en accès libre 
Lectures et performances : réservations fortement conseillées 

Palais de La Porte Dorée
293 avenue Daumesnil
75012 Paris
www.palais-portedoree.fr

30 Jan 2024

Fête de la Préhistoire

Dans le cadre de l'exposition Préhistomania, le Musée de l'Homme propose un programme festif, pour explorer la Préhistoire en famille ce week-end.

Concert de pierres, ateliers de peinture pariétale (dès 6 ans), pièce de théâtre sur l'Abbé Breuil (pionnier de la Préhistoire), visites commentées par les commissaires de l'exposition.

Déambulations au violoncelle parmi les œuvres, formation express au métier d'explorateur (dès 4 ans)

 

L'exposition Préhistomania - en partenariat avec l’Institut Frobenius pour la recherche en anthropologie culturelle (Francfort-sur-le-Main) - explore les origines de l’humanité à travers les relevés d’art rupestre.

Ces peintures sur toile ou papier, reproduisant les œuvres peintes ou gravées sur les parois des abris ou des grottes, ont été réalisées dès le début du XXe siècle lors d’expéditions scientifiques lancées à travers le monde.

Élaborées par des artistes sur le terrain, elles ont été très vite exposées dans de prestigieux musées, donnant l’occasion aux plus anciennes traces picturales de faire irruption dans la modernité.

Les 27 et 28 Janvier 2024

A voir de plus près...

Musée de l'Homme

17 place du Trocadéro

75016 Paris

Métro Trocadéro (lignes 6 / 9)

01 44 05 72 72

www.museedelhomme.fr

26 Jan 2024

Le Facteur Cheval aura son timbre

 Devenu légende comme il le préssentait, le Facteur Cheval est une figure insolite. 

Un « palais idéal », exemple d'art naïf architectural

Le facteur CHEVAL et son Palais idéal à l’occasion du centenaire de sa disparition, se verront attribué un timbre à leur effigie. Cet autodidacte qui n’a jamais touché une truelle avant 1879, se met à l'oeuvre tout à fait par hasard.

La première pierre de son Temple de la Nature

Après avoir chuté sur une pierre lors de sa tournée (de 32 kms journaliers) , interprétant cet accident comme un signe, cette Pierre d'achoppement sera le point de départ de sa mission. Il y travaillera sans relâche durant trente-trois ans. Amassant des pierres au bord des chemins durant sa tournée, revenant les chercher le soir avec sa brouette, travaillant la nuit à la lumière d’une lampe à pétrole, il est persuadé que son travail sera reconnu un jour à sa juste valeur.

Il n'a jamais voyagé et pourtant son Palais de rêve est un mélange de cultures arabe, grecque, hindoue…

« Cette merveille dont l’auteur peut être fier sera unique dans l’univers » comme il l'écrit, ne sera pas le lieu de son dernier repos puisqu'on lui refuse le droit d'y être inhumé. il élève « le Tombeau du silence et du repos sans fin » dans le cimetière communal, qu’il termine deux ans avant sa mort, survenue en 1924.

Salué comme un maître de l’art naïf par les artistes surréalistes, André Breton, Max Ernst ou bien encore Picasso, le Facteur Cheval pris pour un illuminé à son époque, savoure sa revanche sur la vie, depuis les étoiles.

Un peu d'Histoire

Né en 1836, fils de paysan et paysan lui-même il devient employé des postes en 1867. Il dédié sa vie à ce projet fou.

Ferdinand Cheval a construit une œuvre architecturale à Hauterives dans la Drôme.

1969 le palais est classé monument historique

Le timbre du Facteur Cheval

Disponible à partir du 22 avril 2024

Création et gravure : Sophie Beaujard d'après photo portrait Bridgeman Images.

Tirage : 350 000 exemplaires

Le bloc sera vendu en avant-première les vendredi 19 et samedi 20 avril à deux adresses :

Palais Idéal du Facteur Cheval, de 10h à 17h30, 8 Rue du Palais, 26 390 Hauterives 

Le Carré d’Encre, de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75 009 Paris 

Oblitération jusqu’à 17h

 

 

 

14 Mar 2024

Journée d'expertises gratuites

L’équipe d’Adjug’Art Brest-Quimper, pour bien commencer l'année, nous invite à une journée d'exertises gratuites.

Avis aux passionnés de littérature, aux collectionneurs ou encore personnes curieuses d'en apprendre un peu plus sur leur collection...

D'autres rendez-vous sont annoncés sous différentes thématiques, celle-ci sera entièrement dédiée aux livres et aux manuscrits

L'experte spécialisée, Caroline Velk en sera la référente.

Le 18 Janvier 2024

De 10h à 12h et de 14h à 17h

Prenez dates - à partir de 14h - 

- Le 06 février  : Vente Véhicules anciens & Automobilia à Brest

Le 27 février  : vente de Livres, Manuscrits & Photographies anciennes à Quimper

Le 19 mars : vente « Les Routes de la Soie » à Brest

 

Adjug'Art      

105, avenue de Kerrien

29 000 Quimper

17 Jan 2024

Deuxième Vente aux enchères de Vinyles RMC

RMC, Radio Monte Carlo, comme toutes les radios, dispose d'un fonds musical exceptionnel. Au fil des années, des vinyles "collector "utilisés pour être diffusés sont restés dans les archives de la station.

Celle-ci a décidé aujourd'hui de les proposer à la vente publique. Que ce soit des 33 ou des 45 Tours la diversité de l'offre est impressionnante et classée en différentes catégories :

I - Textes/Poésie  II - Chanson française/Rock français  III - Pochettes illustrées/Musique pour enfants/Bandes originales de film  IV - Jazz  V - Soul/Funk/R&B/Rap/Reggae  VI - Musiques du Monde  VII - Country/Blues/Rock&Roll VIII - Pop Rock, des années 60 aux années 90  IX - Prog/Hard Rock/Punk/New Wave X - Musique Expérimentale/Librairie.

Une collection mythique

Plus de 3000 vinyles repartis en 410 lots; Seront proposés parr exemple ces quelques titres :

45T Indochine « Dizzidence Politik » (1982) 

33T Bob Marley and the Wailers « Catch a fire » (1975) 

45T David Bowie « Station to station » - Promo pour radio (1976) 

45T Gloria Johns « Run one flight of strairs » (1981)

Le Patrimoine musical de la station

Ce vendredi, une dizaine de catégories sont à la vente

Attention, la vente se termine le 27 janvier à 14h

Du 12 au 27 janvier Chez Drouot

Commissaire-priseur : Me Patrick Deburaux / Art Richelieu (Music Auction)

Vente Exclusivement en ligne sur le siite de Drouot

www.drouot.com 

 

26 Jan 2024

La Régence à Paris (1715-1723) L'Aube des Lumières

Le musée Carnavalet a lui seul vaut le détour. L'exposition La Régence à Paris, (1715-1723) L'Aube des Lumières, est une page d'Histoire que vous traverserez avec délectation lors de cette visite. Il reste encore un peu de temps pour aller découvrir ce rassemblement d'oeuvres magnifiques qui illustrent le déroulé de l'exposition.

Plus de 200 œuvres (peintures, sculptures, œuvres graphiques, éléments de décors et de pièces de mobiliers), issues de collections publiques et privées sont présentées.

Le fil conducteur en est le retour du roi qui déclenche la renaissance de la vie politique, économique et culturelle à Paris

La Régence est traitée de manière furtive dans les cours d'Histoire, elle revêt pourtant une étape importante dans les innovations qu'elle fait naitre. 

Durant cette période bouleversée, Paris est au centre de toutes les attentions et s'affirme au titre de capitale culturelle française.

Un peu d'Histoire

Louis XIV meurt le 1er septembre 1715 à Versailles. La France est endettée et Il laisse derrière lui comme héritier, un enfant de 5 ans trop jeune pour régner, Louis XV.

Le 2 septembre, le duc Philippe d’Orléans (1674-1723), son neveu, devient régent du royaume. 

En 1715, la cour, toutes les administrations se réinstallent à Paris, deuxième ville d’Europe. La population s’accroit considérablement. Le Palais-Royal, résidence du Régent, devient le cœur de la vie politique et du pouvoir.

Un monde d’innovations philosophiques, économiques et artistiques

Sous la Régence naît une liberté nouvelle de critiquer, l’esprit des Lumières, illustré par les artistes Voltaire, Marivaux, Montesquieu. La peinture atteint des sommets comme ce que l'on peut admirer au musée Carnavalet des signatures comme celles de Law, Watteau…

L'essor économique et financièr quil'accompagne avec l’invention du papier monnaie et la banqueroute de 1720, en font un moment clé de notre histoire.

La Régence à Paris (1715-1723) L'Aube des Lumières

Jusqu'au 25 Février 2024

Entièrement dédié à l'Histoire parisienne, le Musée Carnavalet, musée municipal, est implanté au coeur du Marais.

23 Rue de Sévigné

75 003 Paris

01.44.59.58.58

19 Fév 2024

"Une vie en Egypte" à Limoges

L'Egypte à Limoges

Pour mettre en valeur sa collection d’antiquités égyptiennes, peu connue du grand public, le musée des Beaux-Arts de Limoges grâce à ses antiquités organise trois expositions. La prinicpale met en scène "La vie en Égypte" de la fin du 19e siècle, avec l'apport exceptionnel de la collection Périchon-Bey.

Un bel hommage

L'Egypte a toujours fasciné et le destin passionnant de cet ingénieur curieux d'une autre civilisation fait tout l'attrait de la manifestation. 

Aux côtés des œuvres du musée des Beaux-Arts, des prêts prestigieux de différentes institutions (Musées royaux d’art et d’histoire de Bruxelles, Musée du Louvre), ainsi que de nombreuses œuvres provenant de collections privées.

Certaines des œuvres n'ont jamais été vues du public.

Une Collection unique

On peut encore aujourd'hui remercier le collectionneur, Jean-André Périchon, un ingénieur originaire de Bessines-sur-Gartempe, qui a légué près de 2 000 objets au musée en 1931.

Directeur d’une sucrerie en Moyenne-Égypte, Périchon a arpenté et fouillé les sites qui entouraient sa résidence, rassemblant en vingt-deux ans une collection de 4 000 objets, dont la moitié est aujourd’hui conservée au musée.

L’exposition propose de suivre les pas de Périchon et de plonger à ses côtés en Moyenne-Égypte pour mieux comprendre cette collection exceptionnelle.

Un peu d'Histoire

Périchon-Bey (1860-1929) Un ingénieur en Égypte

Durant plus de vingt ans, Jean-André Périchon (1860-1929) a rassemblé patiemment près de 4000 objets en Égypte, dont la moitié est entrée après sa mort au musée (1931).

Né en 1860 près de Bessines-sur-Gartempe (Haute-Vienne), Jean-André Périchon appartient à une famille de propriétaires terriens relativement aisée.

En 1876, il intègre l’École des Arts et Métiers d’Angers qui forme des ingénieurs. Il en sort diplômé en 1879. Il rejoint en 1880 à Paris la société Cail, alors l’une des plus grandes entreprises françaises, symbole de la modernité industrielle.

Cette société est notamment active en Égypte, édifiant plus d’une dizaine de sucreries pour le khédive (vice-roi). Périchon est envoyé sur les rives du Nil en 1885. Il y restera jusqu’en 1907, d’abord comme directeur de la sucrerie de Rodah (1887-1904) puis de celle de Mattaï (1904-1907) en Moyenne Égypte.

Distinction honorifique

Son ascension sociale est couronnée par le titre–honorifique-de Bey que lui confère le khédive et 1897 et qu’il arbore avec fierté, l’accolant à son nom : Périchon-Bey.

Tous les deux ans, Périchon vient passer l’été en France ; c’est lors d’un de ces séjours, qu’il rencontre puis épouse Henriette Thouart (1864- 1948) en 1888. Le couple s’installe à Rodah dans une maison entourée d’un jardin que Périchon affectionne. Henriette et Jean-André y élèvent leur enfant unique Pierre Gabriel Saïd (1893-1937).

Appréciant son pays d’accueil, Périchon adopte rapidement quelques traits locaux : port du tarbouche ou fez, commande de mobilier oriental pour sa demeure. Il s’essaie même à l’apprentissage de la langue arabe.

Sa curiosité est scientifique et historique : il réalise une carte topographique de l’Égypte et s’intéresse aux sites archéologiques qui entourent la sucrerie de Rodah, elle-même édifiée en partie avec des pierres provenant des antiques cités d’Antinoé et d’Hermopolis.

Périchon fouille, sauve de la destruction quelques oeuvres et constitue patiemment sa propre collection.

Le grand égyptologue Gaston Maspero en souligne dès 1912 les spécificités qui en font encore aujourd’hui tout l’intérêt : une grande cohérence géographique (Moyenne Égypte) et chronologique (notamment une forte présence d’oeuvres de la période tardive et romaine).

"Une vie en Egypte" 

Jusqu'au 10 mars 2024

Concerts et conférences et différents ateliers accompagnent l'exposition

Horaires : lundis, jeudis et vendredis : 9h30 / 12 h - 13h30 / 17h30 samedis et dimanches : 13h30 / 17h30

Musée des Beaux-Arts

1 place de l’Évêché

87 000 Limoges

05 55 45 98 10

 

16 Fév 2024

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