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Jardins (46)

La Méditerranée de Jean Mus

Porte parole du Festival des Jardins dont la seconde édition s'ouvre ce week-end sur la Côte d'Azur, le paysagiste Jean Mus en est le capitaine.

Et qui d'autre d'aussi expérimenté pouvait en représenter l'essence même de cette manifestation.

Qui d'autre peut raconter une histoire autour d'un jardin; les secrets de l'âme provençale autour de ses senteurs, de ses couleurs...

Minéral Végétal, une approche plus dépouillée

Le dernier ouvrage consacré à l'architecte paysagiste, se veut un dialogue entre ces deux figures, Jean-Michel Wilmotte et Jean Mus, chacun apportant sa vision du jardin en tant que concepteur et créateur d'espaces.

Réputé pour l'excellence de ses réalisations, l'artiste excerce sur les rives de la Méditérannée, par amour de la Provence mais son expertise dépasse largement les frontières.

 

Bord de mer, garrigue, bastide, Portugal, Grèce, Italie, Monaco, Flandre, Californie...ses jardins sont des oeuvres d'art

On le connait pour ses sublimes jardins dans les jardins publics mais aussi dans les plus grands hôtels le Ritz à Paris, dans le Var, sur la Riviera, à Vence, à Saint-Jean Cap Ferrat, à Grasse, à Saint-Paul de Vence...toutes ses réalisations que l'on retrouve dans de superbes ouvrages qui font rêver. 

Retrouvez-les dans son ode aux jardins méditerranéens.

Réver au jardin © Atelier Jean Mus

Livre Minéral Végétal, agrémenté de 200 photos, il révèle des projets inédits.

propos recueillis par Dane Mac Dowell

Editions Ulmer, 160 pages, cartonné,  35€

vendredi, 29 mars 2019 Écrit par

2ème Festival des Jardins de la Côte d'Azur

Rêves de Méditerrannée

Deux ans déjà que s'est tenu le 1er Festival des Jardins, L'éveil des Sens, un préambule a ce qui aujourd'hui s'affirme comme une manifestation pérenne. Tant pour le grand public que pour les professionnels.

En compagnie de personnalités reconnues, Marina Picasso et Jean Mus, qui auront un oeil averti pour juger les lauréats du Concours de Création Payasgère initié à l'occasion du Festival. 

La présence souriante de l'animateur Stéphane Marie de l'émission "Silence ça Pousse !" apportera une note joyeuse.

A signaler que la Principauté de Monaco participe hors concours en créant aussi un jardin éphémère.

 

Festival 2017 création éphémère © photo PdF 2019

Festival IN

Sous la houlette du paysagiste Jean Mus, président du Comité technique, l'évènement mettra en lumière les talents de demain grâce à des oeuvres éphémères exposées sur les plus beaux sites de la Côte d'Azur.

Au total quinze jardins seront en compétition et 8 jardins éphémères hors concours, de quoi déambuler  à travers Antibes-Juan-les-PIns, à la Pinède Gould, à Cannes, Villa Rotschild, à la Villa Fragonard de Grasse, au Jardin Biovès de Menton et à Nice au Jardin Albert 1er sur la Promenade du Paillon.

Parallèlement le  Festival OFF porposera pour le grand public : ateliers d’art floral et de nouvelles techniques de jardinage, dégustations, animations culinaires, stands de professionnels, bourse aux plantes, conférences, expositions.

Les Alpes Maritimes se mettent au vert

 

Jardin de la Villa Rotschild à Cannes © photo PdF 2019

En adoptant une démarche Green Deal, le département s'implique dans le développement durable. A suivre.

Il y a de quoi satisfaire les amoureux des jardins puisque les Alpes Maritimes en dénombrent une quantité à satisfaire plus d'un amateur. Il faut dire que le climat s'y prête et que son histoire est ponctuée de créations exceptionnelles. 

La douceur météorologique, l'amour de grands mécènes et l'imagination des artistes, écrivains, et paysagistes ont contribués au développement d'espaces verts remarquables. Les fameux palmiers de la Côte d'Azur s'acclimatent dès 1850 grâce à Gustave Thuret dont il faut visiter le jardin.

En 1890, Antibes inaugure son Ecole d'Horticulture.

Dès 1907 débutent les travaux à la Villa Euphrussi de Rotschild, en 1924 les Serres de la Madone voient le jour, la première Fête du Mimosa éclot en 1931. 

Un mois pour flâner, découvrir, arpenter les merveilles de la Côte d'Azur

Le Journal des Animations ou l'opportunité est offerte également de visiter des lieux prestigieux et de vivre des moments uniques. Portes ouvertes, visites guidées, conférences et ateliers.

 

Du 30 mars au 28 avril 2019

Retrouvez tout le programme sur

www.cotedazurfrance.fr 

 

 

 

mardi, 26 mars 2019 Écrit par

Un jardin historique

Un jardin historique, c’est un monument vivant. Celui de l’abbaye de Saint André, dans l’enceinte du fort éponyme de Villeneuve-les-Avignon, mérite cette affirmation.

Simple verger et garrigue au XIXe siècle, c’est après l’acquisition de l’abbaye par Gustave Fayet en 1916 que la poétesse et peintre Elsa Koeberlé se consacra à la remise en état de l’abbaye et de ses jardins. Dessinant des plans à l’italienne, avec bassins, roseraies, pergola… Une œuvre poursuivie à la mort d’Elsa, en 1950, par Roseline Bacou, petite fille de Gustave Fayet.

Ce havre, labellisé « jardin remarquable » en 2014, est aussi une préoccupation des successeurs de la même famille, Gustave et Marie Viennet.

 

Gabrielle devant l'une de ses oeuvres © photo G.Hébert/PdF 2019

Ils mettent aujourd’hui en place de nouvelles animations autour des jardins, et leur donnent un nouveau souffle. Impossible de résister à la beauté du lieu, belvédère face au palais des Papes d’Avignon, sur la rive opposée du Rhône. Comme au brunch végétal du samedi matin. Ou aux concerts, balades musicales, visites nocturnes, levers de soleil en musique sur les grandes terrasses… Sans oublier les visites guidées du jeudi matin ou les ateliers thématiques mensuels, au fil des saisons.

Animés par Olivier Ricomini,  le poète jardinier du lieu. Voire simplement venir flâner, avant de terminer par une halte gourmande inspirée par le jardin, à l’Hortus café. Tout en profitant de la visite de l’abbaye, sur réservation, et de l’exposition du moment, autour du végétal. Que Gabrielle de Lassus Saint-Geniès inaugure avec « Herbier d’Azur ». Des choix diversifiés en fonction de vos dates de visite.

 

Les amoureux du patrimoine aimeront aussi connaître l’histoire du lieu.

Sur la rive droite du Rhône, ce promontoire rocheux a été le refuge de Casarie, femme ermite morte en 586. Une inscription conservée à la collégiale de Villeneuve révèle qu’elle a été inhumée par Valens, probablement un des premiers évêques d’Avignon, au titre d’époux et de prélat. Une situation permise par l’Eglise pendant un millénaire ! Sa sépulture devint l’objet d’une vénération, ce qui explique l’importante nécropole qui l’entoure.

 

Vue de l'abbaye avant sa démolition partielle © photo G.Hébert/PdF 2019

 

Une abbaye bénédictine fut approuvée dès 982 et confirmée, en 999, par un privilège du pape Grégoire V. De la basilique primitive subsiste un mur appuyé sur la grotte de Casarie. Lui ont succédé deux églises. Une consacrée en 1024, dont deux arcades du cloître roman subsistent, et une en 1118, dédiée à l’apôtre Saint-André.

Une chapelle à deux travées vint au XIVe siècle la prolonger. Entre temps, le roi Louis VIII, hôte de l’abbé de Saint-André pendant le siège Avignon de 1226, y signa un acte faisant du roi de France et de l’abbé des co-seigneurs de Villeneuve. Entrainant  la construction du Fort Saint André, en 1292. Achevé 80 ans plus tard, sous le règne de Jean le Bon, à qui l’on doit probablement le porche gothique entre les tours jumelles du fort. Ces évènements inaugurèrent deux siècles qui marquèrent l’apogée matérielle et spirituelle de l’abbaye. Il fallut ensuite attendre le ralliement de l’abbaye à la congrégation de Saint-Maur, en 1637, pour que d’importants travaux soient entrepris. Aboutissant à un vaste bâtiment que l’on peut observer sur un tableau de l’anglais Marlow, peint en1765.

Suite à la Révolution, Pierre-Ignace Guiraud acheta l’abbaye, en décida la démolition et la vente des matériaux. Seul reste aujourd’hui le pavillon d’entrée du Palais abbatial, amputé de ses deux derniers étages.

En 1912, le peintre Louis Joseph Yperman en fit l’acquisition. Une période plus heureuse pour le devenir des lieux.

On peut encore voir, dans l’une des galeries de Saint-André, une œuvre d’Emile Bernard, ami du propriétaire : un cycle de trois peintures à la détrempe représentant l’Annonciation, La danse dans le Paradis et Les Anges musiciens. En 1916, Gustave Fayet, peintre et collectionneur,  permit à Elsa Koeberlé de donner sa mesure, et sa fortune, dans la remise en état des lieux.

Elle y accueillit  Paul Claudel et y vécut jusqu’à sa mort en 1950. Roselyne Bacou poursuivit les travaux, rassembla des sépultures et restaura un petit oratoire du 11e siècle, dédié à Sainte Casarie. En 1991, elle ouvrit  au public l’abbaye et les jardins, classés aux monuments historiques en 1947.

 

Quant à ces jardins, il fallut attendre les XVIIe et XVIIIe siècles pour qu’aux oliviers de la partie haute soit ajouté un verger, les Mauristes ayant creusé dans le roc un puits jusqu’au Rhône. Un espace que reconstituèrent Elsa Koeberlé et Génia Lioubow. En s’inspirant de la villa toscane du XVIe siècle, elles installèrent une longue pergola aux colonnes de pierre, couverte au printemps de glycines et de rosier de Banks.

Et après la mort de Roseline Bacou, en 2013, le patrimoine fut légué à des descendants de Gustave Fayet. Ils mènent depuis une campagne de travaux pour le palais abbatial et initie une nouvelle philosophie du jardin, respectueuse des sols et de la bio-diversité. Grace à Marie et Gustave Viennet et leur jardinier Olivier Ricomini, Saint-André est devenu un refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et est en cours de labellisation « Ensemble arboré remarquable ».  Avec ses oliviers millénaires, ses arbres de Judée et ses pins sculptés par le vent.

Les jardins de l'Abbaye © photo G.Hébert/PdF 2019

 

Il ne restait plus qu’à offrir aux visiteurs des expositions temporaires dans l’esprit du lieu. Objectif déjà atteint avec les cyanotypes  de Gabrielle de Lassus Saint-Geniès. Ils lancent la saison de belle manière. « Mon univers bleu est un mélange de technique, de poésie et de littérature » glisse Gabrielle, docteure en histoire de l’art victorien.

Après avoir été récompensée par l’Académie des Jeux Floraux de Toulouse, en 2018, pour son recueil de poésies Hortus Conclusus-Les Litanies du Jardin, elle vient de présenter son premier roman,  L’Anglaise d’Azur. Consacré à Anna Atkins (1799-1871), photographe et botaniste, la première à publier un livre utilisant la technique du cyanotype. *

Découverte en 1841 par John Herschel, « l’art du cyanotype résulte d’une savante alchimie […] Il est le fruit de l’action de la lumière du soleil autour d’un élément posé sur un papier imprégné  de composés chimiques photosensibles [...] La silhouette blanche de l’élément se déploie sur un fond bleu cyan ». Gabrielle est fascinée par ce procédé. « Cela permet de ré-envisager la plante par sa forme et non par sa couleur. Quand on la retire, on voit des détails qui n’apparaissent pas à l’œil nu » s’émerveille la poétesse, passionnée de botanique et de littérature.

Et l’on est sensible à son travail, à ses cyano-poèmes comme à sa dizaine de séries consacrées majoritairement au végétal. Faisant place à l’émotion et aux songes, en nous renvoyant également au « bleu mystique » de Baudelaire ou à L’AZUR de Mallarmé.

Exposition Herbier d'Azur à l'Abbaye Saint-André © photo G.Hébert/PdF 2019

 

Avec Gabrielle et ses multiples œuvres, présentées dans l’abbaye jusqu’au 28 avril, le végétal et l’Azur triomphent..., comme dans l’abbaye. Avant de céder la place à Nature Divine par Jan Dilenschneider, Eveil d’Essences par Alain Mailland, Elisabeth Mézieres, Arnaud Mainardi. Et finir, à l’automne, par Le souffle du paysage par Claire Degans.

 

Guy Hébert

 1er mars au 28 avril : exposition « Herbier d’Azur »

Abbaye Saint-André, rue Montée du Fort 30400 Villeneuve-lez-Avignon

04 90 25 55 95 / info@abbayesaintandre.fr

Ouverture du 1er mars au 3 novembre, y compris jours fériés. Fermeture les lundis.

En mars, de 10h à 17h, en avril de 10h à 13h et de 14h à 18h, de mai à septembre de 10h à 18h, en octobre de 10h à 13h et de 14h à 17h.

Sur place : boutique et Hortus café en extérieur, de mai à octobre.

Mécénat : www.abbayesaintandre.fr/mecenat/

mardi, 19 mars 2019 Écrit par

100 ans d'Histoire au Domaine du Rayol

La mer, les Iles, le Jardin

Parmi les visites proposées au Domaine du Rayol celle-ci nous invite à remonter le temps. Photos anciennes et documents d'époque agrémenteront la visite

Comme une initiation à l'histoire de l'architecture et de l'art au jardin sur la Côte d'Azur.

Entre le Lavandou et Saint-Tropez

Vous saurez tout des différentes bâtisses présentes sur le Domaine : l'Hôtel de la Mer, le Bastidon, le puits, la Maison de la Plage... 

Toute l'Histoire de ce Domaine, des villas construites en bord de mer, la vie des propriétaires et comment ce magnifique parc a pu être sauvé, voilà de quoi satisfaire notre curiosité.

Les grandes dates marquantes de la Côte d'Azur dans tout son apport à l'art paysager sont abordées.

Comment est né le projet du Jardin des Méditerranées imaginé par Gilles Clément ?

 

Pour cette visite, la villa Rayolet ouvrira exceptionnellement ses portes, le mobilier a disparu mais la décoration et l'aménagement des années 40 n'ont pas changé. Il est prévu de profiter de la vue exceptionnelle à partir du toit-terrasse.

Les prochaines dates 26 avril, 19 juillet, et 9 août 2019

Visites à 14h et à 16h

Durée 2h30

Domaine du Rayol

Avenue des Belges

83820 Rayol-Canadel-sur-Mer

04.98.04.44.00

vendredi, 01 mars 2019 Écrit par

Sur la Route du Mimosa

130 kms de Route du Mimosa 

De Bormes-les-Mimosas à Grasse.

Rayol-Canadel-sur-Mer, Sainte Maxime, Saint Raphaël, Mandelieu-la-Napoule, Pégomas, Tanneron, ce sont 8 communes qui balisent cette Route passant du Var aux Alpes Maritimes.

A travers la Route du Mimosa, l'on traverse ces différents Pays reflets d'Art et d'Histoire de la Côte d'Azur, le Mimosa embaume le paysage.

Le Corso de Mandelieu-la-Napoule © photo PdF 2019

Des Senteurs délicates

Dans la parfumerie, le mimosa tient une place de choix.

Ce sont les Anglais qui à l'origine, apportèrent le Mimosa, venu d'Australie, pour ajouter de la couleur aux jardins l'hiver. Aujourd'hui synonyme de fleurissement et de bonheur il porte à lui tout seul les couleurs de la Côte d'Azur. Sa prolifération pose un souci pour la diversité environnementale. IL faut se le procurer auprès de pépiniéristes, ces professionnels sauront vous conseiller.

Les Corsos, fêtes traditionnelles de la Côte, lui offrent une place de choix.

 

 

 

 

vendredi, 01 mars 2019 Écrit par

Concours Jardiner Autrement 2019

Une démarche globale de culture raisonnée

Vous réduisez votre consommation de pesticides au jardin et mettez en place des solutions pour en éviter l'usage ? Alors ce concours est pour vous.

La SNHF, société nationale d'Horticulture française, consciente de l'évolution des pratiques a voulu mettre en exergue les jardiniers, source d'inspiration, qui feront des émules demain.

Le dossier, accompagné de 5 à 10 photos, sera validé en fonction des pratiques et sur le partage de savoir-faire du jardinier avec son entourage.

Si vous disposez d'un plan de votre jardin, il sera le bienvenu.

Inscription ouverte à tous le 21 mars

Vous avez jusqu'au 3 juin pour faire parvenir le tout à :

par mail concours@jardiner-autrement.fr 

par courrier SNHF Société Nationale Horticulture Française

Concours Jardiner Autrement 2019

84 Rue de Grenelle

75007 Paris

vendredi, 15 février 2019 Écrit par

Montreuil est notre jardin

Lancement de la Seconde opération "Montreuil est notre jardin". Une manifestation originale à l'adresse des montreuillois qui leur permet d'adopter un espace, une parcelle de verdure. Ainsi les habitants contribuent à ce que deviendra leur environnement urbain de demain, parsemé de lieux fleuris, enrichi d'arbres fruitiers pour une meilleure qualité de vie.

Le 31 janvier Saison 2

Un appel à projet dans le but de végétaliser des parcelles délaissées et qui feront, sans aucun doute d'heureux jardiniers en herbe : pieds d'arbres, bas d'immeuble, toitures, tous les endroits sont à imaginer.

Rue Pierre-Jean de Beranger à Montreuil

L'espace naturel en partage

Les habitants (réunis en association ou à titre individuel) pourront déposer leur dossier : adoption de parcelles de moins de 10 m² ou bien aménagement de potagers urbains collectifs (pour les parcelles de plus de m²) toutes les pistes seront étudiées.

Jusqu'au 24 février

Montreuil a toujours eu une histoire horticole riche, réputée pour ses mûrs à Pêches, et encore aujourd'hui son lycée horticole participe à la formation de jeunes qui se consacrent à ces différents métiers.

La commune compte 32 jardins partagés.

vendredi, 25 janvier 2019 Écrit par

Agenda de la Nature au jardin 2019

Le cycle de la Vie

Voici un agenda qui nous accompagnera tout au long de l'année comme un fil conducteur reliant notre emploi du temps à celui des ponctuations de la vie en lien avec la nature. 

Les Editions Terre vivante nous offre là un outil pratique, léger pour être connecté à tout ce qui rythme la faune, la flore et les éléments intervenus dans le ciel. Les jardiniers seront les premiers utilisateurs de cet agenda mais les  habitants des villes coupés de la nature au quotidien trouveront plaisir à être informé des actualités du jardin.

Vous apprendrez au fil des mois : la pousse des premières jonquilles, l’arrivée des oies cendrées, le départ des martinets…

Le livre détient de nombreux conseils pour observer la nature : oiseaux, mammifères, amphibiens, plantes, phases de la lune,passage d’une pluie d’étoiles filantes.  Des pistes d’aménagements pour accueillir animaux et plantes sauvages au jardin.

Un ouvrage pratique qui fourmille également d'adresses utiles d’association nature, de stages et sorties…

L'auteur, biologiste de formation, Jean-Philippe Paul nous invite à suivre ses chroniques dans le détail du quotidien de la Nature, les aquarelles qui émaillent son ouvrage incitent à la poésie, qui feront 'évader les urbains en mal de paysages et de versure.

Un rapport-qualité prix véritablement intéressant

L'Agenda de la nature est vendu 12€ dans les boutiques bio, les jardineries et sur le site de l'éditeur

Aux éditions Terre vivante

http://www.terrevivante.org

mardi, 22 janvier 2019 Écrit par

Festival "Jardins du Monde en mouvement"

Cinq réalisations

Pour cette la troisième édition du concours « Jardins du monde en mouvement » la Cité internationale universitaire de Paris invite les candidats à réaliser des créations éphémères dans ses jardins.

Un appel à candidatures qui offre, avec le soutien du mécénat de la Caisse des Dépôts, une bourse d’un montant de 8 000 € par projet

Nature en ville et développement durable

Inutile de préciser que le projet retenu devra s'intégrer dans le décor architectural de la Cité et être en accord avec l'identité d'une des Maisons choisies.

Le jury sera sensible à la qualité de la démarche environnementale et différentes sources d'inspiration qui aideront à la création du jardin:  matériaux biosourcés, récupération des eaux pluviales, niches écologiques, partage des ressources, comportements écoresponsables,

 

Pour information 

 

Les participants intéressés devront déposer un dossier de candidature en français ou en anglais avant le 11 février 2019 à minuit, exclusivement par email.

 

http://anws.co/bzTys/%7B5dd2bd09-99c3-437f-a6b2-a90580478b02%7D

 

Date limite d’envoi du dossier de candidature le 11 février 2019 à minuit

Entre le 15 et le 24 mars 2019, les candidats sélectionnés se rendront à la Cité pour se projeter sur place et imaginés concrètement la mise en place et poser toutes les questions techniques liées à l’installation de leurs œuvres. Puis les candidats retenus s’engagent à installer leurs œuvres pour le 15 mai 2019 à 10h. 

lundi, 14 janvier 2019 Écrit par

Les Mûriers sauvés

Petit brève de jardinier

 

Les dix mûriers platanes dépérissent

Entre Cannes et Nice la ville de Villeneuve-Loubet se distingue par son attachement à...ses mûriers. Ville labellisée "Ville fleurie" et "Ville nature" la commune a décidé de déplacer les arbres pour les sauvegarder et préserver ainsi sa biodiversité. Le boulevard des Italiens, aménagé par le Conseil départemental, sera bordé dorénavant par des lauriers tiges.

Et les muriers seront replantés, en pleine terre, sur le parking des Plans.

vendredi, 11 janvier 2019 Écrit par
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