La rédaction

La Demeure d'Arsène Lupin se visite

Tout vous saurez tout sur la vie du célèbre gentleman cambrioleur et son auteur Maurice Leblanc, originaire d'Etretat,dans la superbe demeure décorée à l'époque du célèbre héros de la station balnéaire.

Les aventures d'Arsène Lupin prennent vie au Clos Lupin

C'est dans une atmosphère romanesque, particulièrement bien laissée dans son jus, les amateurs apprécieront que l'on explore tout l'univers mystérieux des romans 

 

Un peu d'Histoire

Magnifique demeure normande, le Clos Lupin est resté tel que Maurice Leblanc l'a connu. A l'ombre d'un parc à deux pas de la mer celle qui tenait lieu d'inspiration mérite que l'on s'y attarde.

Un auteur prolixe

Entre 1905 et 1939, Maurice Leblanc écrivit soixante aventures d’Arsène Lupin. Beaucoup de ces aventures, surtout les plus énigmatiques, possèdent pour cadre ce que Maurice Leblanc a lui-même appelé le « triangle cauchois », ou « triangle d’or ». Un triangle géographique dans lequel Maurice Leblanc a d’ailleurs passé la majorité de sa vie.

En 1955, Raymond Lindon, maire d’Étretat, ami de Maurice Leblanc, publie sous le pseudonyme de Valère Catogan Le Secret des rois de France. Il prétend dans ce court essai que le roman L’Aiguille creuse possède un sens caché qui dissimule un secret historique.
L’ouvrage est aujourd’hui épuisé et introuvable.


La falaise de la Côte d’Albâtre, du Havre au Tréport, recule chaque année, en moyenne,d’environ vingt et un centimètres. La plupart des accès à la mer, échelles, escaliers, souterrains construits patiemment par les hommes depuis des siècles, ont aujourd’hui disparu, sont inaccessibles ou interdits au public.

Des visites guidées vous ammèneront au creux de la falaise la cachette d'Arsène imaginée par Leblanc.

 

A visiter dès que l'ouverture sera annoncée pour une halte inattendue dans la station balnéaire.

22 Fév 2021

Fouilles à Crest

Dans la Drôme, à Crest, la Fouille d'une halte de chasse gravettienne est en cours.

Le site préhistorique a livré d’importants résultats sur la culture gravetienne, qui représente une période majeure du Paléolithique supérieur.

Une occupation de courte durée

La halte de chasse d’une petite communauté gravettienne évoluant sous un climat périglaciaire et rigoureux, dans un paysage ouvert composé d’herbacées, de buissons et parsemé de pins.

Un campement de plein-air, mplanté sur une haute terrasse alluviale domine la vallée de la Drôme. Les différentes études et analyses des archéologues mettent en évidence l’organisation de ce lieu d'habitat assez rare.

Daté du Paléolithique supérieur, entre 28 000 et 26 000 ans, le gisement se compose d'une aire de 100 m2 . Les chercheurs ont pu y découvrir deux foyers qui recelaient des esquilles de faunes, probablement un combustible utilisé.

Un ensemble de 1106 silex taillés a été recueilli autour des foyers. Dénommées « pointes de la Gravette » et « microgravettes » ces armatures sont des éléments caractéristiques de la culture gravettienne.

Parallèlement, l’étude tracéologique confirme l'emploi d’autres outils employés pour le travail des peaux.

09 Fév 2021

Dernières plantations aux Tuileries

La Grande Allée des Tuileries va retrouver sa splendeur

Stéphane Marie, présentateur de l’émission « Silence, ça pousse ! » sur France 5 est l'ambassadeur de cette 11ème campagne « Tous mécènes ! ».Une Opération  réussie puisqu'1 million d’euros a été rassemblé grâce à 4 500 donateurs

C'est par un froid glacial que rendez-vous était donné pour assisiter à la dernière mise en terre des ormes choisis pour mettre un point d'orgue au travail accompli -déjà 92 ormes plantés- dans la Grande Allée parisienne.

Puis 26 bancs seront rénovés.

Le musée du Louvre remercie tous ces donateurs

Grâce à l'appui du public, à la Société des Amis du Louvre, au mécénat de la Maison Christian Dior, la mission touche au but;

Ce qui était important aux yeux du Musée la transmission de cet héritage. Pour ce faire, tous les participants, les jardiniers, les équipes du Musée, tous ceux qui inspirés par cette action, ont laissé un mot, quelques lignes, ensuite enfermés dans une capsule, celle-ci sera  à ouverte dans 40 ans...

Laisser aux futures générations un jardin revégétalisé comme à l'origine.

 

Des arbres biberonnés par des jardiniers d'art (entendez jardiniers experts en l'art des jardins)

Un parc de 23 hectares apprécié des parisiens et des touristes. L'allée retrouvera son élégance et les promeneurs pourront s'abriter à l'ombre des ormes.

 

Le choix de l’orme s’est fait sur la base d’une abondante documentation historique, scientifique et paysagère. L'essence était présente au jardin des Tuileries depuis l’époque de Le Nôtre. Presque disparu aujourd’hui, les ormes ont en effet étédécimés par une maladie, la graphiose, dans les années 1970.

Depuis l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) a mis au point une nouvelle variété résistante à la graphiose, Ulmus minorVada ® ‘Wanoux’, qui a été choisie pour la Grande Allée.  

Adapté au sol du jardin des Tuileries et à l’évolution des conditions climatiques, l'arbre va trôner le long de cette nouvelle allée

Ils ont été aux petits soins l'équipe en charge de faire pousser ces plantations, une énorme quantité d'eau leur sera nécessaire pour croître on peut se poser la question du gaspillage de ce trésor aujourd'hui et du choix d'arbres, sans doute adaptés à leur époque mais ils seront équipés de capteurs pour équilibre et ajuster la consommation adéquate ! quand la technologie vient au secours...de l'Histoire.

 

 

Un peu d'Histoire

En 1564, Catherine de Médicis décide la construction non loin du palais du Louvre d’un nouveau palais, sur un terrain en partie occupé par des fabricants de tuiles.

Réservés aux plaisirs de la cour, le palais et le jardin dits « des Tuileries » sont le lieu de nombreuses fêtes

À partir de 1664, André Le Nôtre recrée le jardin des Tuileries à la demande de Colbert, alors ministre du roi Louis XIV. Il choisit de renforcer l’allée centrale préexistante, qui devient la « Grande Allée ». En 1665, André Le Nôtre, créateur des jardins de Louis XIV, conçoit cette perspective exceptionnelle, qui s’étend du palais des Tuileries jusqu’à la future avenue des Champs-Elysées.

Les arbres sont plantés en 1668 : une rangée de marronniers d’Inde dechaque côté, avec un dispositif de contre-allées.Conçue pour être vue depuis le palais des Tuileries en face, elle réunit les trois séquences principales du jardin : le Grand Carré orné de broderies de buis, le Grand Couvert planté essentiellement de marronniers et l’Octogone, ensemble monumental organisé autour d’un grand bassin et de rampes en fer à cheval menant à des terrasses.

Or l’abattage des arbres sous la Révolution a dénaturé son destin originel..

 

 

 

 

 

09 Fév 2021

Ouverture du Parc d'Ancy-le-Franc

 Réouverture du Parc du Château d’Ancy le Franc à partir de ce samedi 6 février

Fort heureusement cet horrible virus ne nous prive pas de balade extérieure et bonne nouvelle le Parc du château d'Ancy-le-Franc vient d'ouvrir !

En attendant la réouverture du Palais Renaissance, il est possible de découvrir le parc seul.

Lieu authentique, véritable rencontre entre histoire, culture et nature pour tous

Il sera possible d'apprécier les différents parcours de visite ;  entre jardin anglais, arbres centenaires, les nouveaux parterres, le grand tour le long du parc à chevaux, du mur d’enceinte du domaine et du canal, la balade romantique autour du plan d’eau et de la petite folie, le sentier de sculptures animalières,…

Poursuite par l'accueil du château dans la salle du Conseil en passant par la cour d’Honneur.

Avec la première partie de la nouvelle exposition de peinture « Portraits de famille » de l’artiste Isabelle Canus dans la salle du conseil.

PROLONGATION

Dès ue la réouverture sera possible des intérieurs du château, la grande Exposition 100% LEGO STAR WARS avec plus d’un million de briques, vaisseaux et courses poursuites., sera prolongée jusqu’au 23 mai 2021.

Soutenez le Château d’Ancy le Franc en achetant un billet !

Tarif exceptionnel pendant la fermeture administrative des intérieurs du château : 5 € adultes, 3 € pour les enfants, gratuit moins de 6 ans.

De 14h à 16h30 tous les jours sauf le lundi.

 

 

 

 

 

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08 Fév 2021

Du nouveau au Parc Oriental de Maulévrier

Une parenthèse de sérénité

Le plus grand jardin japonais d’Europe situé près de Cholet, dans le Maine-et Loire, prépare la saison 2021 et Hanami, la fête des cerisiers en fleurs, ainsi que plusieurs nouveautés, dont « l’île du Soleil Couchant ».

Un voyage immobile

Ce jardin, classé remarquable, vit toute l'année.

« L’île du Soleil Couchant », conçue par les jardiniers du parc grâce aux recommandations d’experts japonais.

Cette « île-jardin »  imaginée en prolongement du paysage d’inspiration japonaise et créé par l’architecte orientaliste Alexandre Marcel, a été conçu par les jardiniers du parc, grâce aux recommandations d’experts japonais comme le professeur émérite Eijiro Fujii de l’Université de Chiba au Japon.

Un pont couvert permettant de contempler l’eau et les pierres placées dans le lit de la Moine sera installé l’année prochaine. Par ailleurs, un abri en bois, ou « azumaya », sera construit pour permettre de contempler les paysages naturels.

Si tout se passe bien, l’ouverture, prévue le 13 mars*, nous permettra de découvrir l’aménagement d’un nouvel espace du parc, « l’île du Soleil Couchant » qui devrait être finalisé fin 2021 L'occasion de profiter de nouveaux points de vue grâce à la réalisation de nouvelles allées ainsi qu’un millier de nouveaux végétaux plantés cet hiver par les jardiniers sur les 12 hectares du parc.

 

L'équipe propose des animations toute l'année pour valoriser cet espace incroyable au coeur de l'Anjou.

Le jardin de nuit : des promenades musicales et poétiques de mai à septembre

 

Hanami, la fête des cerisiers en fleurs, du 13 mars au 5 avril

Tambours japonais, le dimanche 30 mai

Les jeux s’invitent au parc, le dimanche 13 juin

Une nouveauté durant l'été : Contes et histoires du Japon, le dimanche 18 juillet

Les peintres au jardin, le dimanche 8 août

Salon national du bonsaï, le samedi 11 et dimanche 12 septembre

Musique au parc, le dimanche 26 septembre

Nouveau :Kōyō et Momijigari, la chasse aux feuilles rouges en octobre et novembre 

 

Le samedi 13 mars c'est Hanami, la fête des cerisiers en fleurs

 

Parc Oriental de Maulévrier Tél. 02 41 55 50 14

04 Fév 2021

Vente exceptionnelle au Crédit Municipal

Dans un mois, Trois colliers exceptionnels seront en vente au Crédit Municipal de Paris

On a peu l'habitude de la part du Crédit Municipal, institution municipale parisienne, de l'annonce d'une manifestation de cet ordre c'est aussi pour cela qu'elle est inédite.

Fondé par Henri III en 1578, l’Ordre du Saint-Esprit est le plus emblématique des Ordres de chevalerie français, jusqu’à son abandon par Louis-Philippe en 1830. Ses membres, appartenant à l’élite française et européenne, se distinguaient par leurs somptueux manteaux en velours noir et leurs colliers portés lors des cérémonies. Ces derniers constituaient une décoration extrêmement prestigieuse.

De très belle facture et dans un état de conservation remarquable, les colliers mis en vente sont présentés dans leur écrin en maroquin rouge où figurent les Armes de France.

Ces colliers honorifiques font partie des quelques rarissimes exemplaires conçus sous la Restauration.

Le premier collier a été réalisé par l’orfèvre Étienne Hippolyte Coudray (1761-1833) sous le règne de Louis XVIII. Les deux autres ont, quant à eux, été réalisés par l’orfèvre parisien Jean-Charles Cahier (1772-1857) à l’occasion du sacre de Charles X, en 1825. Ce prolifique orfèvre a réalisé 30 des 80 colliers commandés pour le sacre du roi.

A noter dans notre Agenda 

Exposition des ventes

Mardi 22 et mercredi 23 mars de 9h à 17h sur rendez-vous uniquement

Prises de rdv à l’adresse 

commissairespriseurs@ext.creditmunicipal.fr

Vente le le 25 Mars 

En entrée libre les deux jours

Jeudi 24 mars de 9h à 17h, 

Vendredi 25 mars de 9h à 12h

 

Crédit Municipal de Paris

55 rue des Francs-Bourgeois

75004 Paris

14 Mar 2022

Construction d'un Antiquarium

Un patrimoine archéologique classé au titre des Monuments historiques en 2013

 

Valoriser les vestiges d'un ancien baptistère Paléochrétien, baptisé San Ghjuvà, voilà le projet mis en route par la ville d'Ajaccio, et celui retenu prendra la forme d’un petit Antiquarium, inspiré de celui de Séville.

Situé entre le quartier Saint-Jean et le cours Napoléon, le chantier de mise en valeur du baptistère paléochrétien « San Ghjuvà », débute et sera ouvert au public par la suite.

Mis au jour il y a plus de 10 ans par une équipe de l’Institut National de recherches archéologiques préventives (INRAP), le site du baptistère paléochrétien se trouvait dans un état de conservation exceptionnel.

L’ensemble architectural dévoile une abside au centre de laquelle se trouve une grande cuve baptismale cruciforme, associé à un bassin cylindrique de moindre dimension.

Le projet a été confié au groupement « Orma Achitettura-CGZ Architecte-Beaumeco-Sinetic-Ingenia », qui prévoit deux grands aménagements : Une salle de médiation patrimoniale et de conférence au rez-de-chaussée de l’immeuble ALBAN. À l’extérieur, l’ouvrage ouvert sur le baptistère et les vestiges, sera doté d'un éclairage spécifique.

La structure abritera les vestiges celle-ci sera constituée d’une sous-face réalisée à partir de terre du Mont Gozzi, située dansla région ajaccienne.

La fin des travaux est prévue pour le printemps 2022

Le coût des travaux est évalué à 1,3 millions d’euros

Financement :Dotation de soutien à l’investissement (Etat) : 60%Ville d’Ajaccio : 27%Agence de Tourisme de la Corse (ATC) : 13%

01 Fév 2021

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