
La vie de nos monuments (118)
Visite de la Maison Mantin
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
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La Maison Mantin © photo PdF 2019 La Maison Mantin © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProIda050ff016e
La Maison Mantin fête ses 100 ans cette année !
Parce qu'elle est l'unique témoignage d'une maison bourgeoise du 19ème siècle, parce qu'elle a une histoire extraordinaire, les Journées du Patrimoine sont l'occasion de mettre l'accent sur une visite hors du commun, ouverte rien que pour les lecteurs de Patrimoine de France.

Un testament original : sa villa et une partie de son contenu à la ville de Moulins, en 1905...sous condition
Moulins, en son centre-ville, possède un patrimoine remarquable mais surtout un petit bijou, la Maison Mantin, don d'un homme riche et excentrique qui a souhaité léguer à la ville sa demeure en obligeant celle-ci à l'entretenir et la laisser telle quelle pour les générations futures.

Un homme discret
Issu d’une famille fortunée, rentier à 42 ans, Louis Mantin fait carrière dans l’administration préfectorale : conseiller de préfecture à Gap en 1879 puis à Montpellier début 1880, il devient souspréfet de 1880 à 1882, à Embrun (Hautes-Alpes). Il termine sa carrière comme secrétaire général de la préfecture de Limoges, en 1893.
Il consacre sa vie à l'Art
Cuirs dorés, tapisseries d’Aubusson, tentures en soie, vitraux anciens la demeure abrite des collections exceptionnelles
Laissée endormie presque un siècle, la Maison Mantin de prime abord possède un aspect étonnant, entre manoir anglais et architecture néo-gothique ce patrimoine se laisse découvrir depuis peu. Elle détient des trésors. Son propriétaire homme fortuné aimait à faire installer la modernité. A la pointe du progrès la maison est dotée d'équipements (pour le chauffage ou bien encore la salle de bain) qui laissent admiratifs.

3.4 M€ ont été nécessaires pour restaurer la demeure et les collections qu’elle renferme.
Des toitures aux planchers, en passant par l’imposante cage d’escaliers, toutes les boiseries ont été restaurées.
Ainsi Louis Mantin est devenu éternel !
JEP 2019 Arts et divertissements
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La Corderie Royale de Rochefort © photo PdF 2019 La Corderie Royale de Rochefort © photo PdF 2019
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A Pierrefonds l'Institut Charles Quentin © photo PdF 2019 A Pierrefonds l'Institut Charles Quentin © photo PdF 2019
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Dans l'Aude le coeur de la ville de Troyes © photo PdF 2019 Dans l'Aude le coeur de la ville de Troyes © photo PdF 2019
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L'Abbaye de Fontfroide © photo PdF 2019 L'Abbaye de Fontfroide © photo PdF 2019
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Château de Chantilly © photo PdF 2019 Château de Chantilly © photo PdF 2019
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L'Arc de Triomphe © photo PdF 2019 L'Arc de Triomphe © photo PdF 2019
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La piscine Molitor © photo PdF 2019 La piscine Molitor © photo PdF 2019
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L'Opéra Garnier © photo PdF 2019 L'Opéra Garnier © photo PdF 2019
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La Garde Républicaine © photo PdF 2019 La Garde Républicaine © photo PdF 2019
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La Galerie des Glaces au château de Versailles © photo PdF 2019 La Galerie des Glaces au château de Versailles © photo PdF 2019
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La cathédrale de Metz © photo PdF 2019 La cathédrale de Metz © photo PdF 2019
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Château de Chambord © photo PdF 2019 Château de Chambord © photo PdF 2019
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Musée Jacquemart-André © photo PdF 2019 Musée Jacquemart-André © photo PdF 2019
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Musée Dubouché à Limoges © photo PdF 2019 Musée Dubouché à Limoges © photo PdF 2019
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Le cinéma le Grand Rex © photo PdF 2019 Le cinéma le Grand Rex © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId42ffc85f22
Le Viaduc des Fades au Loto du Patrimoine
Retenu sur la Liste du Loto du Patrimoine, le Viaduc des Fades, au coeur des Combrailles
Longtemps considéré comme le plus haut viaduc du Monde, le Viaduc des Fades. Il permet d'enjamber la Sioule et fut construit par Emile Robert. Le viaduc surplombe un lac de 14 km de long qui propose l'été trois plages surveillées ainsi qu'une base de ski nautique. Un es paces réservé à la pêche
Cet ouvrage unique nécessite une rénovation urgente.
Vendredi 13 septembre 2019
L'Arbre Blanc
Vue sur Montpellier depuis l'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
Vue sur Montpellier depuis l'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'équipe d'architectes de l'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
L'équipe d'architectes de l'Arbre blanc © photo G.Hébert/PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProIde540311977
Au XXIe siècle, Montpellier renoue avec ses folies du XVIIIe
Incontestablement, « L’Arbre Blanc » de Montpellier est une œuvre d’art. Remarquable folie architecturale de 17 étages, dessinée par Sou Fujimoto, Nicolas Lainé, Manal Rachdi et Dimitri Roussel. Située entre l’hôtel de Région de Ricardo Bofill et la bibliothèque universitaire Richter de René Dottelonde. Pour sa première intervention en Europe, l’architecte japonais signe un bâtiment unique ouvrant ses 112 appartements sur 194 terrasses et 170 ombrières blanches, comme suspendues dans le vide. Effet visuel superbe, à toute heure du jour et de la nuit.

A l’issue de trois ans de chantier, après un concours gagné en 2013, on mesure l’audace des promoteurs (Promeo, Evolis Promotion, Crédit Agricole Languedoc Immobilier Promotion et Opalia), des architectes et des équipes techniques. Et leurs savoir-faire. « Ils l’ont fait ! » pouvait-on entendre le 19 juin 2019, jour de l’inauguration.
Pour une telle œuvre, il est intéressant, parfois amusant, de refaire l’histoire. En remontant au premier appel téléphonique au Japon de Nicolas Laisné. « Surprise, Marie de France a été mon interlocutrice » confie-t-il, encore étonné aujourd’hui. A Tokyo, la jeune femme, titulaire d’un master d’architecture, travaillait déjà chez Sou Fujimoto Architects. Pour elle aussi, l’Arbre Blanc est une belle aventure. Pressentie d’emblée par Sou Fujimoto. « Quand j’ai reçu l’appel de ces trois garçons enthousiastes (Nicolas, Manal et Dimitri ndlr), ça m’a emballé ». Il faut dire que le défi avait de quoi séduire.

Pour répondre aux demandes de la ville, Il s’agissait de construire une folie, tour signal de Montpellier, pour « enrichir le déjà très beau patrimoine architectural de cette métropole audacieuse et innovante » rappelle Philippe Saurel, maire et président de Montpellier 3M. C’est donc sur ces bases, et dans l’idée de rapprocher les cultures, que les trois architectes sont allés dans la capitale de l’empire du soleil levant. « Le quatuor, puis une équipe de huit, ont conçu la tour en une dizaine de jours, travaillant sur le principe d’un workshop » aime rappeler Nicolas. Avec la volonté de donner un nouveau souffle à la tour du XXIe siècle, en imaginant des balcons comme des jardins suspendus.

Trois ans de mise au point pour obtenir le permis de construire et, heureusement, des clients qui adhèrent à la proposition architecturale. Restaient à résoudre des problèmes techniques et revoir, dans certains cas, les processus. « Pour assembler sur place les balcons fabriqués en usine, de 3,5 tonnes en moyenne, on a créé une barge sur laquelle on les posait. Avec la difficulté d’arrimer des porte-à-faux allant jusqu’à 7,5m. Du grand mécano ! » rappelle Nicolas en rendant hommage à André Verdier, un ingénieur de la région qui a joué un rôle clef dans l’opération. Avant de confier « On a construit un petit Arbre Blanc à côté de la gare. Avec ce prototype, on a tout mis au point » et d’avouer « On devait commencer à installer les balcons à partir du bas. On a fait le contraire ».

Quant aux ombrières, les plus grandes d’Europe, elles participent également au rafraîchissement du bâtiment. Remarquables aussi certains appartements disposant de plusieurs terrasses à des niveaux différents. Personnes sujettes au vertige, évitez les escaliers passant, dans le vide, de l’une à l’autre ! Et comme Dieu est dans les détails, les concepteurs ont prévu des caves pour éviter les stockages disgracieux à l’extérieur. Ultime luxe, le local poubelles est climatisé.
Et pour mieux mesurer la spécificité de l’opération, quelques données : un investissement total de 42 millions d’euros ayant fait travailler 25 entreprises, 15 bureaux d’études et 1500 personnes. Pour une surface construite de 21 300 m² et de 8 200 m² de surface habitable, du T2 au T5.
3 500m² de balcons et 500 tonnes d’acier. Rien d’étonnant que ce projet, hors normes, ait obtenu une pyramide d’argent en 2017.
Au-delà d’un bâtiment d’habitation exceptionnel, l’Arbre Blanc ne peut laisser indifférents les montpelliérains et les touristes, car il leur est accessible. D’abord par son bar panoramique au sommet, protégé des vents !
Vue à 380° assurée, sur la ville, la mer et le Pic Saint Loup. Mais aussi par un restaurant bistronomique pouvant accueillir 60 convives en bas de l’Arbre et le même nombre sur une terrasse plongeant sur le Lez. « L’Arbre, bar en haut, restaurant en bas » est géré par des références de la cuisine locale, Charles Fontès et Eric Cellier.

Autre structure valorisante, une galerie, « La Serre », de 245m² au rez-de-chaussée, dédiée à l’Art contemporain. Avec un espace de travail partagé pour les artistes. Venant compléter un autre lieu de 2 000 m², « Le Réservoir », au cœur de Sète, ayant la même vocation.
Afin de proposer, dans le cadre d’« Art et Patrimoine » créé par Gilbert Ganivenq, un concept innovant s’adressant aux particuliers comme aux entreprises.
Un nouveau lieu iconique de cinquante mètres de haut, aux vies multiples, vient de naître dans le ciel de la métropole languedocienne.
Guy Hébert
Rendez-vous aux Capucins
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Les Capucins © photo PdF 2019 Les Capucins © photo PdF 2019
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Les Capucins © photo PdF 2019 Les Capucins © photo PdF 2019
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Les Capucins © photo PdF 2019 Les Capucins © photo PdF 2019
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Les Capucins © photo PdF 2019 Les Capucins © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
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Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019 Quartier de Recouvrance © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProIdec4b6756ec
Cet immense bâtiment est un lieu très apprécié de la jeunesse brestoise qui avoue s'y donner rendez-vous en toutes occasions. Depuis janvier 2017, l'ancien couvent n'a cessé d'attirer le public.
Un nouvel espace culturel, au coeur du quartier de Recouvrance.

Depuis sa transformation, Les Ateliers des Capucins accueillent une médiathèque et une fabrique d’innovation numérique labellisée French Tecn un cinéma, des espaces de loisirs et le centre national des arts de la rue et de l’espace public, Le Fourneau.

Et sera dévoilé prochainement le canot de l’empereur (canot d’apparat ayant servi à la visite de Napoléon III à Brest en 1858) que nous avions quitté lors de son départ du musée de la Marine au Trocadéro, fermé pour cause de travaux.
Brest, ville d'Art et d'Histoire
Habitat, économie, loisirs et tourisme ne forment plus qu'un sur le plateau gigantesque des Capucins. La présence d'anciennes machines-outils, les moellons dans les anciens murs d'enceinte, autant d'éléments qui rappellent le passé industriel du plateau brestois.
D'anciens ateliers de construction navale de l'Arsenal de Brest
Un peu d'Histoire
Au milieu du XIXᵉ siècle, des guerres menacent l'Europe.
A l'heure des révolutions industrielles, la France entreprend une vaste modernisation de sa flotte de guerre. Les navires à voiles sont remplacés par des bâtiments à vapeur. L’arsenal de Brest reçoit dès 1840 la commande de trois frégates militaires.
De nouveaux métiers voient le jour, plus spécialisés dans l'armement.
Le Second Empire transforme l’arsenal de Brest et l’agrandit.
Le plateau des Capucins est réaménagé pour accueillir de nouveaux ateliers de construction navale, très modernes.
Les forçats du bagne de Brest constituent une main d’oeuvre peu coûteuse pour les gros travaux d’aménagement de l’arsenal. Plus de 1000
bagnards participent aux travaux du plateau des Capucins, jusqu’à la fermeture du bagne en 1858. Fonderie, chaudronnerie, petit et grand usinage, ateliers de montage, d’ajustage, d’électricité, pour pouvoir construire de nouvelles machines propulsives forment cet ensemble incomparable.
Endommagés pendant la Seconde Guerre mondiale, les ateliers sont reconstruits de 1946 à 1957.
A voir actuellement au musée de la Marine de Brest
Trophée Jules Verne
Jusqu'au 3 janvier 2021
Service Patrimoines
Hôtel de ville, 2 rue Frézier
29 200 Brest
02 98 00 80 80
Campagne de restauration à l'église Saint-Joseph
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
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A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique A Roubaix restauration de l'église Saint-Joseph © Oeil photographique
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId0eea1f2ee4
A Roubaix, on voit bientôt le bout du tunnel. Le chantier de rénovation entamé il y a vingt deux ans touche à sa fin en début d'année prochaine.
L'église Saint-Joseph, chef d'œuvre du néo-gothique, est un joyau du patrimoine roubaisien, Le seul édifice classé Monument Historique.
Débutés en 1997, les travaux de restauration des décors peints de l'église devraient s'achever en 2020. L'usure du temps n'a pas éargné le bâtiment : la toiture endommagée par des infiltrations, le clocher qui risque de s'effondrer, la mérule et la vrillette qui s'attaquent aux lambris et pour finir le tableau, l'humidité qui touche les décors peints.

L'ensemble des dégâts devaient être résorbés dans sa totalité. L'alerte donnée dès 1990 ont stimulé deux campagnes successives; l'une de 1997 à 2001 par la ville et l'Etat. Puis une seconde en 2009, autour du sauvetage de quelques vitraux soutenue par la ville de Roubaix, l'Etat, le département du Nord et des mécènes.
Enfin en 2014, la dernière campagne initiée par la ville de Roubaix se met en place. Il s'agit maintenant de terminer cet important chantier qui occupe toute l'église.
Inaugurée en 1878, l’église Saint-Joseph est l’oeuvre du baron Bethune.
Un accès pour les personnes à mobilité réduite sera installé et pour parachever entièrement cette aventure, au programme il a été décidée de redonner vie à l'orgue.

Roubaix va retrouver son chef d'oeuvre.
Un Cercle de mécènes, très impliqués dans le projet, sous la houlette de Damien Debosque, poursuit son action en recherchant des fonds. Dernier objectif, rénover les lustres, prévu à la fin du chantier.
Le Phare Saint-Mathieu
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
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En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019 En Finistère nord, le Phare Saint-Mathieu © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId1f71ce3eed
Qui dit phare, dit passion. Derrière un phare se cache toujours un amoureux du monument, de sa fonction, de son histoire.
C'est bien sûr le cas de ce joli phare breton qui représente l'un des maillons de cette belle lignée de phares qui se profilent tout le long de la côte finistérienne.
De nos jours, la majorité sont automatisés et pratiquent la géonavigation. Beaucoup ont été bâtis sur la terre ferme mais plusieurs exemples sont implantés sur des rocs. Leur réalisation crée toujours l'émerveillement. Ils illustrent le génie humain, ce sont de véritables prouesses techniques.

Le phare Saint-Mathieu 163 marches, 37 mètres
A plougonvelin, on le distingue de loin, tout rutilant, paré de rouge et de blanc. Classé Monument Historique depuis 2010, il éclaire cette belle côte préservée, non loin du Parc naturel de la mer d 'Iroise. Il veille sur le Mémorial des marins disparus.

Les vestiges de l'abbaye du XIe ajoutent une touche d'authenticité à ce lieu envoûtant.
Son puissant projecteur envoie des signaux toutes les 15 secondes depuis 1835.
Il ne compte pas parmi les plus grands, le plus haut étant celui de l'Ile Vierge (1902) avec ses 77 m et 392 marches. Au large de Paimpol on trouve celui des Roches-Douvres, le plus éloigné d'Europe, il date de 1867.
Une Route des Phares un itinéraire original à suivre pendant les vacances.
Les municipalités ont pris conscience depuis quelques années de ce patrimoine maritime, symbole de leur identité, qu'ils entretiennent. Des projets originaux voient le jour comme ce phare en pleine mer, loué à un couple qui tente l'expérience de l'isolement.
Pensez que ce sont souvent des bénévoles qui font découvrir leur phare, ils appartiennent à une association de sauvegarde.
Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, un restautant élégant, repertorié par le guide Michelin, est installé face au phare.
Une adeesse gourmande
7 place SaintTanguy
02.98.89.00.19
Site de pointe Saint-Mathieu
Musée, phare et sémaphore
02.98.89.00.17
290217 Plougonvelin
Le Pont du Gard, étape du Tour de France
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Le Pont du Gard © photo PdF 2019 Le Pont du Gard © photo PdF 2019
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Le Gardon © photo PdF 2019 Le Gardon © photo PdF 2019
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Le Pont du Gard © photo PdF 2019 Le Pont du Gard © photo PdF 2019
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Le Pont du Gard © photo PdF 2019 Le Pont du Gard © photo PdF 2019
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Le Pont du Gard © photo PdF 2019 Le Pont du Gard © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId9b2e826d4e
Ce site prestigieux va recevoir deux étapes du Tour de France les 23 et 24 juillet prochain. Le spectacle risque d'être décoiffant !
Le Pont du Gard, l'un des plus visités au monde, pourrait figurer parmi les 7 merveilles construites par l'Homme.

Impressionnant, il nous offre dans un milieu naturel préservé un spectacle grandiose. L'on se croirait en Toscane, les oliviers à ses pieds le veillent. Et le Gardon qu'il enjambe n'a pas bougé depuis des Siècles. Cet ouvrage d'art n'a pas été construit pour son esthétisme mais pour son utilité.
Les Romains ne pouvaient se passer d'eau et leur priorité était d'acheminer ce bien précieux vers Nîmes qu'ils avaient investi.
Un véritable exploit technique
Alors que faire ? Pour combler cette lacune, la Source de la Fontaine insuffisante aux besoins quotidiens, ils imaginent un chemin pour détourner la Source d'Eure, située près d'Uzès, à des kilomètres.
Les ingénieurs romains entreprennent alors une incroyable chantier que l'on aurait bien du mal aujourd'hui à reconstituer. A travers la garrigue, ils creusent des tunnels et des ponts pour faire arriver l'eau. Ils calculent un dénivelé improbable.
Sur 50 kilomètres la dénivellation est de 17 mètres !
Il possédait à l'origine un peu plus que les 49 arches visibles aujourd'hui. Avec ses 275 m de large, ses 49 mètres de hauteur ( meiux vaut ne pas avaoir le vertige !) et sans doute 50 000 tonnes de pierres, le Pont du Gard est classé au Patrimoine Mondial de l'UNESCO depuis 1985.

L'édification de l'Aqueduc
Prendre du temps pour visiter le musée à proximité est indispensable. La construction à l'aide de maquettes, de films, d'expositions, est expliquée de manière ludique et instructive. Un espace enfant avec des ateliers, est à disposition tout comme une médiathèque.
Vous pouvez vous restaurer, à proximité, correctement, prix non excessif.
Musée du pont du Gard
Métamorphose de la Manufacture des tabacs de Morlaix
La Manufacture de Morlaix © photo PdF 2019
La Manufacture de Morlaix © photo PdF 2019
La Manufacture de Morlaix © photo PdF 2019
La Manufacture de Morlaix © photo PdF 2019
Magnifique escalier d'origine © photo PdF 2019
Magnifique escalier d'origine © photo PdF 2019
Les travaux à la Manufacture © photo PdF 2019
Les travaux à la Manufacture © photo PdF 2019
Les travaux à la Manufacture © photo PdF 2019
Les travaux à la Manufacture © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques, sont toujours en été de marche © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques, sont toujours en été de marche © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques © photo PdF 2019
Les moulins de la Manufacture, classés aux Monuments historiques © photo PdF 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId1381d08348
La Manufacture de Morlaix est classée aux Monuments historiques
C'est un immense chantier auquel s'attèle la ville. Il n'y a pas si longtemps la Manufacture employait presque toute la ville, des générations entières s'y sont succédées et puis l'usine ferme malgré de nombreuses tentatives, rien n'y fait. En 2004, des siècles après sa construction la Manufacture ferme et se retrouve abandonnée.
La France est devenue non-fumeuse.

Des métiers, des savoir-faire entiers disparaissent et un monument gigantesque comme vidé de sa substance.
Alors que faire ? Comment exploiter cet immense vaisseau qui résiste, vent debout à la destruction. Préserver la mémoire du Pays, refaire vivre ce lieu gigantesque.
Difficile aussi de ne pas heurter la sensibilité des anciens. Redonner un cap, tourné vers l'avenir qui embarque tous les morlaisiens.
L'Espace des Sciences
Le projet retenu est multiple. Et le pari ambitieux.
Promouvoir les techniques, l'industrie et la science
La Manufacture va abriter différentes initiatives sous la houlette de l'Association de l'Espace des Sciences. L'idée d'une reconversion totale d'un ancien site industriel et le développement d'un nouveau quartier vivant, équipé de salles de cinéma, d'espaces d'expositions. Fin 2020, un parcours de découverte scientifique entraînera le visiteur sur 2400 m².

Au programme, des expérimentations scientifiques, un espace dédié à l'architecture et à l'histoire de la Manu. Des explications sur le tabac : botanique, consommation, santé, environnement...Des Machines et des Hommes sur 3 siècles d'histoire à la Manu, les conditions de travail et les évolutions techniques. Toujours dans le domaine scientifique, le jardin des Planètes, une exposition sur les Roches armoricaines et un Pendule de Foucault, dispositif monumental (il y a de la place !) sans oublier une exposition temporaire, renouvelée annuellement.
Et toujours dans le domaine du Patrimoine, la place des Moulins, remis en fonctionnement, ils sont les vestiges du travail à la Manu. Ils sont classés aux Monuments historiques.
La Manufacture est accessible au public, tout le temps des travaux.
Manufacture des tabacs
41 Quai du Léon
29 600 Morlaix
Ouverture du Musée Fernand Léger André Mare
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Fernand Léger, Étude pour Les Constructeurs, 1950 Gouache Collection particulière © ADAGP, Paris, 2019 Fernand Léger, Étude pour Les Constructeurs, 1950 Gouache Collection particulière © ADAGP, Paris, 2019
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Fernand Léger, La Gare, 1919 / édition de 1959 Lithographie Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019 Fernand Léger, La Gare, 1919 / édition de 1959 Lithographie Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019
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Fernand Léger, La Ruche, 1919 / édition de 1959 Lithographie Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019 Fernand Léger, La Ruche, 1919 / édition de 1959 Lithographie Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019
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Fernand Léger, Le Tournesol, 1950 Gouache Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019 Fernand Léger, Le Tournesol, 1950 Gouache Musée Fernand Léger - André Mare © ADAGP, Paris, 2019
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Thérèse Bonney, Portrait d’André Mare Photographie © Ministère de la Culture Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Dist. RMNGrand Palais / Thérèse Bonney – Droit Etat / Thérèse Bonney Thérèse Bonney, Portrait d’André Mare Photographie © Ministère de la Culture Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Dist. RMNGrand Palais / Thérèse Bonney – Droit Etat / Thérèse Bonney
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Daniel Wallard, Portrait de Fernand Léger Photographie © ADAGP, Paris, 2019 Daniel Wallard, Portrait de Fernand Léger Photographie © ADAGP, Paris, 2019
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/29-la-vie-de-nos-monuments.html?start=70#sigProId46faaa9355
La part belle à deux artistes amis dans la vie
Dans le cadre de la semaine d’ouverture du nouveau musée dédié à Fernand Léger (1881-1955) et André Mare (1885-1932) des animations exceptionnelles sont proposées : performances clownesques, visites flashs, animations jeune public, etc.
Destins croisés
La ville d'Argentan, dans l'Orne, présente deux personnalités qui ont marqué le vingtième siècle. Le premier peintre figure majeur du Cubisme et le second dessinateur précurseur dans le domaine des Arts décoratifs.

La maison natale de Fernand Léger abrite ce nouveau lieu culturel. Le fil chronologique a été privilégié au cours du parcours de visite qui s'attache à retracer l'histoire artistique, professionnelle et personnelle des deux hommes.
Des objets, plans, photographies du travail de décorateur d'André Mare sont exposés. l'on peut s'extasier devant toute la richesse des années 1920 et les débuts de l'Art Déco.
L'Argentan de la fin du 19e siècle
Le jardin est reconstitué le plus fidèlement possible selon le tableau post-impressionniste Le Jardin de ma mère, réalisé par Fernand Léger en 1905, représentant sa maison d'enfance

.
Des outils numériques appuient le propos du musée : suivre le parcours de deux artistes à travers l'Histoire. Quatre tables numériques, Des cornets acoustiques, des diaporamas puis au moment des Journées du Patrimoine un visio guide complètera l'ensemble.
Un peu d'Histoire
La maison d'enfance du peintre Léger fut louée par sa mère de 1884, suite à la mort de son mari, jusqu'à son décès en 1922. Elle y a vécu près de 38 ans. Fernand Léger y passa son enfance de même qu'une partie de son adolescence.
La Ville d'Argentan a souhaité aménager cette maison pour lui redonner vie et faire perdurer la mémoire de l'artiste.
Du 6 au 14 juillet 2019
Musée Fernand Léger – André Mare
6 rue de l’Hôtel de Ville
61 200 Argentan
02 33 16 55 97
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