Echos du Patrimoine

Echos du Patrimoine (298)

Gauguin aux enchères

Exposition en avant-première à Paris dès ce 3 octobre

De 1898 à nos jours, Te Bourao II a été présentée dans les principales expositions sur la période tahitienne de Paul Gauguin à travers le monde, au Fogg Art Museum de Cambridge, au Museum of Art de Batlimore, au Grand Palais ou au Musée d’Orsay à Paris. Elle fit même l’objet d’un prêt longue durée de dix ans au Metropolitan Museum à New York, de 2007 à 2017.

 

Peinte en 1897 à Tahiti, l’huile sur toile est une oeuvre testament synthétisant les thématiques et obsessions tahitiennes de l’artiste, en proie à de nombreux tourments. Te Bourao II provient d’un cycle majeur de neuf peintures de Paul Gauguin réalisées à Tahiti et envoyées à Paris en 1898 dans le cadre d’une exposition consacrée à l’artiste à la galerie Ambroise Vollard. Parmi ces chefs-d’oeuvre, figurait l’emblématique tableau D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?. De cet ensemble, Te Bourao II est aujourd’hui le seul encore en mains privées ; les huit autres ornent les cimaises des plus prestigieuses institutions: le musée des Beaux-Arts de Boston, le musée de l’Ermitage à Saint Pétersbourg ou le musée d’Orsay à Paris.

Du jeudi 3 au mercredi 9 octobre 2019

Exposition du vendredi 29 novembre au mardi 3 décembre 2019

Vente aux enchères le mardi 3 décembre 2019, à 20h 

Artcurial

7, Rond-Point des Champs-Elysées, 75008 Paris

jeudi, 03 octobre 2019 Écrit par

Des timbres pour les 350 ans de l'Opéra de Paris

Les 350 ans de l'Opéra de Paris et les 30 ans de l'Opéra Bastille

Pour marquer cette date anniversaire, la Poste a décidé d'émettre un bloc de timbres en l'honneur de l'Opéra de Paris. Le bloc et le timbre ont été créés par Mircea CANTOR, artiste francoroumain. Elle s'exprime sur différents supports, la photographie, la sculpture, la vidéo, le dessin et l’installation scénique.

 

Le Souvenir philatélique Création et mise en page Mircea Cantor. Gravure Sarah Bougault

Des Arts et du divertissement

Le 28 juin 1669, le roi Louis XIV signait à Saint-Germain-en-Laye les lettres patentes autorisant le poète Pierre Perrin à établir une académie d’opéra pour proposer au public des représentations en musique et en langue française, qui allait devenir quelques années plus tard, en 1672, l’Académie royale de musique.
Par cet acte, le roi voulait contribuer à son divertissement personnel et à celui du public, accueillir des artistes de tous les pays pour transmettre le goût du théâtre, de la danse et de la musique. Louis XIV léguait ainsi à la France une institution exceptionnelle qui posait les fondements de l’opéra français.

D’abord installé salle du Jeu de paume de la Bouteille, l’Opéra devait occuper plusieurs salles à travers les siècles, jusqu’à celle conçue par Charles Garnier et inaugurée en 1875 : le Palais Garnier, place de l’Opéra.

 

Dès le 21 septembre 2019 

Création et mise en page Mircea Cantor.
Gravure Sarah Bougault.

Prix de vente du bloc : 2,60 € (2 timbres, valeur faciale 1,30 € Lettre International)

Tirage à 500 000 exemplaires

Le Bloc Timbre Souvenir constitué d’une carte avec 1 feuillet inséré (2 timbres)

Tiré à 30 000 exemplaires

Prix de vente : 6,00 €

Disponible dans certains bureaux de poste ou la boutique "Le Carré d’Encre", au Musée de La Poste, 21 avenue du Maine, 75015 Paris

vendredi, 20 septembre 2019 Écrit par

Chasse au Trésor à la Monnaie de Paris

Chasse aux pièces d'or : une édition royale

Le jeu en vaut la chandelle puisqu'il s'agit de remporter une pièce d'or de 200€ et de nombreux lots viendront récompenser les équipes participantes...

Un parcours ludique entrainera les joueurs à rechercher des pièces d'or.

Sous la houlette de Stéphane Bern le Musée du 11 Quai de Conti s'amuse avec l'Histoire pour un second épisode. En mars dernier déjà les collections patrimoniales de la Monnaie de Paris avaient été rééditées, rebelote en septembre !

11 nouvelles pièces viennent compléter la collection

La Monnaie de Paris © photo PdF 2019

 

Prenez note des sessions de jeux

Le 28 septembre - 16h ouverture de la billetterie le 5 septembre à 10h

Le 26 octobre - 13h30 et 16h ouverture de la billetterie le 7 octobre à 10h

Le 23 novembre - 13h30 et 16h ouverture de la billetterie le 4 novembre à 10h

Le 14 décembre - 13h30 et 16h ouverture de la billetterie le 25 novembre à 10h

 

A partir de 7 ans
Tarif : 2€/participant


Inscription obligatoire via la billetterie en ligne : billetterie.monnaiedeparis.fr
Groupe de 5 participants maximum (une seule inscription autorisée par groupe)

Monnaie de Paris

11 Quai de Conti 75 006 Paris


Du mardi au dimanche 11h - 19h
Mercredi jusqu’à 21h

lundi, 23 septembre 2019 Écrit par

La correspondance des Bonaparte, secrets de famille

La bibliothèque Fesh présente une exposition inédite "Correspondance des Bonaparte, secrets de famille" dans le cadre du 250e anniversaire de la naissance de Napoléon Bonaparte.

En effet c'est une première fois comme le souligne, Elisabeth Périé, directrice des bibliothèques et médiathèques de la Ville d’Ajaccio.

Composé d'un lot de 18 lettres qu'a fait don à la Ville, le 6 décembre 1976, Christiane Sportuno-Coty, fille du parfumeur François Coty et généreuse mécène, cette présentation bénéficie de la coopération de l'historien David Chanteranne, commissaire de l'exposition. 

Des missives qui couvrent une époque large : des origines corses, avec l’une des lettres du père, Charles-Marie, jusqu’à celle du prince de Canino en 1841, en passant par l’époque impériale.
On découvre ainsi la correspondance militaire inédite de Napoléon Ier adressée au général Clarke, duc de Feltre et ministre de la Guerre, où l’on trouve des informations importantes sur la conduite de la campagne de Saxe en 1813.

Une correspondance plus intime comme ce courrier adressé par Letizia, Madame Mère, à son fils Lucien, à propos de la naissance de son petit fils le futur Napoléon III, un écrit touchant de Marie-Louise qui s’enquiert de la santé de son fils le Roi de Rome, ou encore diverses correspondances de la fratrie en exil …

Du 14 septembre au 14 octobre 2019

Entrée libre

De 9h à 17h

Bibliothèque Fesch

50 rue du cardinal Fesch

20 000 Ajaccio

04.95.51.13.00

samedi, 14 septembre 2019 Écrit par

Centenaire du Musée de l'Air et de l'Espace

Le patrimoine aéronautique français

Les 28 et 29 septembre, c'est un week-end exceptionnel qui nous attend à l'occasion des Cent ans du musée de l'Air et de l'Espace où près de 40 avions historiques offriront un specatcle aérien l'après-midi. Il sera possible de les voir exposés le matin.

Toute l'aviation de transport, sportive et militaire, accompagnée de la Patrouille de France pour célébrer cette date historique.

A voir Morane MS 317, Stampe SV4, Boeing PT 17 Stearman, Douglas DC3 Dakota, Junkers Ju52, Yak-3, Douglas AD-4 Skyraider, North American P-51 Mustang, Spartan 7W, Corsair F4U.
Les championnes du monde Catherine Maunoury et Aude Lemordant clôtureront le meeting avec une démonstration de voltige sur Extra 330, en quatuor avec la patrouille Carnet de Vol sur Pitts et Cap 222.
Tarifs 
 +26 ans : 12€ / prévente : 10€
Tarif réduit : 10€
Tarif jeune 19-25 ans : 8€
Tarif jeune 10-18 ans : 6€
Gratuité : moins de 10 ans
Groupe : 8€ (15 personnes)
Les forfaits avions sont vendus en plus, sur place : 7€ pour les +18ans, gratuité pour les -18 ans.
Samedi 28 septembre 2019
10h-18h : salon des exposants du Carrefour de l’Air (Hall Concorde)

Dimanche 29 septembre 2019
10h00 - 18h00 : salon des exposants
10h00 - 12h00 : avions visibles en statique
13h00 - 17h00 : meeting aérien du centenaire 
mardi, 03 septembre 2019 Écrit par

De la monnaie royale à Bordeaux

Un voyage dans l’Histoire de France, du XIIème au XVIIIème siècle, à travers les dynasties des Capétiens, des Valois et des Bourbons.

Il est rare de pouvoir découvrir et encore plus exceptionnel d'approcher les pièces de monnaie présentées le 20 septembre prochain à la vente Briscadieu. La rareté et la qualité de ces pièces royales françaises réunies ici va susciter, c'est certain de vives émotions pour les collectionneurs avertis.

Provenants d'une succession, la famille a souhaité faire bénéficier un large public de ces trésors.

Parmi les lots remarquables, "la" monnaie de plaisir pour Louis XIII de Quatre Louis en or de l’atelier de Paris (fig. 1 – lot 45 de la vente), dont seulement 7 exemplaires sont référencés à ce jour. Sans doute, s'agit-il là de la plus rare monnaie d’or royale française, sa mise à prix se situera autour de 70 000€.

 

Lot 71 - Louis XV. Quart de Louis d’or de Noailles 1717 A. Paris. R/CHRS.REGN.VINC.IMP. Deux écus de France couronnés et deux écus de Navarre couronnés, posés en croix, avec différent d'atelier au centre, cette croix étant cantonnée de quatre lis divergeant du centre. Dr.738(2012). Gad.325 (R4). 2,86grs. Estimation 4500€ © photo Briscadieu

Différents fleurons de la numismatique royales seront proposés tels que ce rare et superbe exemplaire du Guyennois d’or pour le Duché d’Aquitaine sous Edouard III (lot 5 de la vente, fig. 3). Un denier d’or dit « à la masse » de Philippe IV (1285-1314) (lot 12 de la vente, fig. 4), Une très rare Couronne d’or de Philippe VI (1328-1350) estimée autour de 20 000 € (lot 16, fig. 5) partie d’une série pour ce Roi comprenant aussi un Pavillon d’or, un Ange d’or, une Chaise d’or, un Ecu d’or à la chaise et un double Royal d’or, et bien d'autres surprises pour les amateurs.

Lot 45 - Louis XIII. Quatre Louis 1640 A. Paris. A/ LVD.XIII.D.G.FR.ET.NAV.REX. La tête laurée du roi Louis XIII à droite, le col nu. Date sous le buste. R/CHRS.REGN.VINC.IMP. Croix composée de 4 fois deux "L" couronnées et cantonnée de quatre fleurs de lis; en son centre la lettre d'atelier de Paris. Dr.15(2012). 7 exemplaires. Gad.60 (R5). 26,86grs. Estimation 70 000 € © photo Briscadieu

Vente le 20 septembre à 14h30

Exposition le vendredi 20 septembre : de 9h30 à 12h30

Hôtel des ventes Bordeaux Sainte-Croix

12-14, rue Peyronnet

33 800 Bordeaux
T. : +33 5 56 31 32 33

mardi, 03 septembre 2019 Écrit par

La Joconde à Blois

Une Joconde grand format

Visible jusquà la fin octobre, la Joconde s'expose à la vue du public. Pour conclure en beauté les manifestations dédiées aux 500 ans de la Renaissance, la ville habille son esplanade emblématique.

L'escalier monumental escalier Denis Papin, il se voit à plusieurs kilomètres ! (124 marches – 3 paliers) bien connu des blésois, met en scène la plus grande Dame de la Renaissance.  

L'habillage restera visible jusqu'aux Rendez-vous de l'histoire à la mi-octobre.

 

mardi, 03 septembre 2019 Écrit par

Varengeville-sur-Mer

Varengeville-sur-Mer a attiré de nombreux artistes par sa situation géographique en tant que station balnéaire. Mais également pour son parc floral du Bois des Moustiers, celui-ci se visite au moment des Journées du Patrimoine. A la Belle époque, ses propriétaires y accueillaient peintres, écrivains, Monet, Pissaro, Calder, Cocteau...

Tombeau de Georges Braque © PdF 2019

On peut faire une halte au petit cimétière communal qui domine la Manche et se recueillir sur la tombe de Braque. L'artiste y est enterré avec son épouse.

Il a laissé quelques vitraux dans l'église, visitée toute l'année.

En Seine-Maritime

 

 

mercredi, 17 juillet 2019 Écrit par

Bon anniversaire au Chemin Urbain V

Une belle aventure que la naissance de ce Chemin de grande randonnée (GR®)

5 ans déjà que l'on peut suivre les traces du dernier Pape français, né en Lozère. L'idée initiée par un groupe de randonneurs d'avoir pour fil conducteur le parcours d'Urbain V, elle se concrétise en 2014 dès lors que la Fédération Française de Randonnée homologue le Chemin en Grande Randonnée. 

Les paysages sublimes de la Lozère © photo PdF 2019

De Nasbinals à Avignon où Urbain V fut élu Pape.

Jean-Paul Peytavin se consacre depuis entièrement à ce nouvel itinéraire qui se veut culturel et patrimonial. 

De nombreux partenaires sont venus agrandir la famille d'Urbain V et de son chemin.

Le GR Urbain V est long de 329 km. 14 à 17 jours sont nécessaires pour le parcourir. Il part de Nasbinals, traverse l’Aubrac, les Causses et Cévennes et le parc national des Cévennes puis passe par le Pont du Gard avant d’atteindre Avignon.

Un peu d'Histoire

Guillaume de Grimoard (1310 1370) est né à Grizac et décédé en Avignon. Le 28 septembre 1362, il a été élu pape et intronisé sous le nom d’Urbain V. Cet homme a rayonné dans toute l’Europe et même au-delà. Il fonda des universités (Genève, Vienne, Cracovie...) mais aussi des studia, centres d’enseignement destinés à préparer des étudiants à l’entrée dans les universités.

Le château de Grizac © photo PdF 2019

A Montpellier il fonda en 1369 le collège des douze médecins, ancêtre de la célèbre fac de médecine. Il resta cependant très proche de ses origines lozériennes. Il eut à cœur de favoriser son pays tout au long de sa vie pontificale. Il y fit construire, entre autre, la cathédrale Notre-Dame et Saint-Privat, à Mende.

Béatifié en 1870, sous Pie IX, il est considéré comme saint dans le nouveau calendrier liturgique publié par Paul VI, sans avoir été formellement canonisé.

Une belle réussite que nous avons été heureux de soutenir !

Vous pouvez retrouver le numéro spécial (3,50€) consacré au Chemin Urbain V

Les Etapes de Patrimoinedefrance.fr en vente sur notre site

Chemin Urbain V 

11 rue d’Aigues Passes

48 000 Mende

dimanche, 14 juillet 2019 Écrit par

Accostage de la Nao Victoria à la Grande Motte

La Grande Motte contribue à perpétuer l’histoire de la marine  

« Prévoir consiste à projeter dans l’avenir ce qu’on a perçu dans le passé » affirmait  Henri Bergson. Peut-être y-a-t-il de cela dans l’intérêt pour le patrimoine. Et lorsque la ville de La Grande Motte, la remarquable cité balnéaire, sortie du sable il y a cinquante ans, reçoit des navires qui témoignent de l’aventure des marins à travers les siècles, on peut penser que cela s’inscrit dans la philosophie de Jean Balladur, son architecte.

En ayant accueilli l’an dernier le Shtandart, copie de la frégate amiral de Pierre le Grand et, cette année, la Nao Victoria. Réplique d’un des vaisseaux partis de Séville, le 20 septembre 1519 et revenu à son port d’attache le 6 septembre 1522, à l’issue du premier tour du monde à la voile.

L'Un des treize marins de la Nao Victoria © photo G.H/PdF 2019

L’extraordinaire exploit de la flotte placée sous le commandement de Fernand de Magellan, la nouvelle Victoria l’a réalisé en 2004/2006. Après avoir été construite pour l’exposition universelle de Séville, en 1998. Son capitaine, Angel Rodriguez Alvarino compte bien renouveler l’aventure en ce 500ième anniversaire.

A la Grande Motte, le 11 juillet, le bateau n’est pas arrivé toutes voiles dehors, le vent n’ayant pas été au rendez-vous. Malgré tout, sa fière allure n’a pas manqué d’attirer Grands-Mottois et vacanciers lors de ses difficiles manœuvres d’accostage.

 

Le capitaine du Nao Victoria, à terre © photo G.H/PdF 2019

Ils pourront le visiter jusqu’au 22 juillet, près de la capitainerie du port, avec pour toile de fond la Grande Pyramide, l’immeuble phare de la cité, construit en 1974. Modernité et tradition !

En montant à bord de cette caraque, caractérisée par sa coque arrondie et ses deux hauts châteaux, avant et arrière,  il est intéressant de connaître quelques chiffres : 26m de long, 7m de large, 290 m² de surface de voile et 3,30m de tirant d’eau. Et de découvrir ses cinq ponts, sa cabine du commandant et sa zone d’habitation. Pour une visite en autonomie permettant de comprendre le contexte économique et social de l’expédition, tout en discutant avec l’équipage.

Difficile de hisser la voile avant, sans vent © photo G.H/PdF 2019

 

Les visiteurs tomberont-ils sous le charme qu’avoue ressentir son capitaine, ancien de la marine marchande, quand il voyage avec des jeunes à travers mers et océans ?

En même temps, on songera forcément à l’aventure des marins du Victoria, apportant une preuve supplémentaire de la rotondité de la terre. Traversant l’Atlantique, le Pacifique, l’Océan Indien et passant par le cap de Bonne Espérance, au sud de l’Afrique. Presque trente-sept mois de voyage pour revenir à Séville, sous le commandement, à partir de septembre 1521,  de Juan Sebastian Elcano. Sur les quelques 237 membres d’équipage des cinq nefs de la flotte, espagnols, portugais, italiens, grecs et français, 18 marins de la Victoria purent rejoindre le port andalou, avec une cargaison de girofle.

Un autre bateau, la Trinidad ne revint en Europe que trois ans plus tard.  En relisant l’histoire de ces marins, on mesure ce que fut leur grandeur. Et leur calvaire. Minés par la faim ou le scorbut, succombant à divers évènements tragiques, naufrages, mutineries ou tués par des indigènes. Magellan lui-même trouva la mort après avoir été blessé par une flèche empoisonnée, en avril 1521.

En vue de La Grande Motte et sa Grande pyramide © photo G.H/PdF 2019

Aujourd’hui, la réplique de la Victoria est restée fidèle au port de Séville. Elle est un des trois fleurons de la Fondation Nao Victoria qui organise les voyages de la nef éponyme, de l’El Goleon ou de la Nao Santa Maria. Pour faire revivre l’histoire et rendre hommage à ces aventuriers.

Comme on perpétue à La Grande Motte la mémoire des bâtisseurs de la cité des Pyramides.

Guy Hébert

 

samedi, 20 juillet 2019 Écrit par
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