Sorties

Sorties (436)

L’élégance à la Française

Figure majeure du métier de parfumeur

L'exposition a pour but de rendre hommage à cet homme précurseur et dont le nom aujourd'hui n'évoque plus la marque qu'il a fondé. Sa famille dont ses petites-filles, se sont pleinement associées à l'événement par leur présence et en nous prêtant manuscrits, photos et objets.

La manifestation se tiendra dans les sept salles du rez-de-chaussée du Château Bouly. Un décorum réalisé par Jean-Baptiste Bouly en 1755 qui offre à l’événement un écrin d’architecture sobre dans le respect des codes français du XVIIIe siècle.

Le parcours est le suivant
La distillerie (salle 1)
Parfums de Semouse (salle 2)
Une enfance à St-Loup (salle 3)
1935 l’aventure Lancôme – Focus sur ses 5 parfums mythiques (salle 4)
Les dimanches aux Vallières (plongeon dans l’intimité de la famille) (salle 5)
L’univers du parfum (salle 6)
Œuvres d’art, l’artiste vu par les artistes locaux (salle 7)

Il est toujours instructif de connaître le parcours de ces créateurs, partis de peu et qui par leur don, leur travail ont transformé nos vies. 

Retour en arrière

Armand Petitjean est né le 20 mai 1884, rue des Jardins à Saint-Loup-sur-Semouse, dans une famille de distillateurs de fruits. Les odeurs d’alcool de fruits de la distillerie familiale, attenante à sa maison natale, ont sans doute participé à son don olfactif.
Après des études d’ingénieur commercial en Belgique, il se lance dans le commerce en Amérique du Sud, créant avec ses frères une société d’import/export au Chili.
 
Un aventurier dans l'âme
 
Agé de 50 ans, il créé en 1935 sa propre marque LANCÔME : la marque à LA ROSE, rose qui triomphe dans la roseraie de sa propriété, rose qui évoque des parfums si délicats et qui deviendra symbole mondial. Fort heureusement il n'a pas choisi le nom de sa ville natale comme 
Il l'avait envisagé à ses débuts !
Du 25 septembre au  24 octobre 2021
Entrée gratuite
Ouverture au Grand Public
Samedi 25 et dimanche 26 septembre de 14h à 18 h
Ensuite les dimanches 3 ;10; 17 et 24 octobre de 14h à 17h
 
 
vendredi, 24 septembre 2021 Écrit par

Escale en Fête

2ème édition au bord du canal à Combleux

L'été se termine en beauté avec la manifestation, Loiret au fil de l'eau, et un samedi festif en eu d'artifie !

 

balades sur le canal à bord de 8 bateaux (30 min)10h à 11h et de 14h à 18h : promenades en canoë et kayak (20 min)

De 14h et 17h : démonstrations de joutes (90 min) à 15h : démonstrations d’avirons…

Et autour du canal :de 10h à 11h : balades pédestres commentées par des mariniers à découverte du canal, son histoire et son fonctionnement (30 min)

Et de 14h à 18h : devenez marinier en participant à l’atelier de matelotage et de noeuds marins sur le stand

Les Chemins de l’eau de 12h à 19h : les incontournables mariniers

Les Fis d’Galarne assureront l’ambiance musicale !

Challenge d’AviFit : aviron version fitnes

Stand entretien-réparation de vélo gratuit, grâce à l’association 1-Terre-action.

 

Des fresques urbaines sur des voiles de bateaux traditionnels

L'« Escale en fête » présente l’arrivée de bateaux aux voiles peintes par des artistes urbains

Manifestation gratuite ouverte à tous 

Rendez-vous sur le canal d’Orléans

Samedi 18 septembre toute la journée

vendredi, 17 septembre 2021 Écrit par

Archéologie : découverte exceptionnelle à Chartres

Une découverte archéologique unique en Gaule Romaine : un plafond en bois dans le sanctuaire de Saint-Martin-au-Val à Chartres (28)

"Cette campagne de fouilles nous a déjà apporté de précieuses données inédites mais ces bois antiques sont uniques" se réjouit Bruno Bazin, responsable scientifique de l’opération.

Les chercheurs n'auraient pas plus réver mieux que cette découverte incroyable faite à Chartres la mise au jour des vestiges d’un plafond en bois sculpté unique en France à ce jour. La campagne de fouille 2021 se termine en apothéose.

Ce sanctuaire gallo-romain, situé dans l’actuel quartier Saint-Brice à Chartres, est l’un des plus importants sites de fouilles archéologiques de France  Autricum (Chartres antique) était dotée d'un très grand sanctuaire, implanté à moins d'un kilomètre au sud du centre administratif et politique de la ville antique, dans l'actuel quartier Saint-Brice.

 

 

Depuis 2011, la direction de l’Archéologie de Chartres Métropole conduit un important programme de recherches sur l’ancien sanctuaire de Saint-Martin-au-Val avec le soutien de la Ville de Chartres et du Ministère de la Culture (SRA / DRAC Centre Val-de-Loire).

Un témoignage d’une maîtrise très avancée du travail du bois 

En 2017, la fouille d’une zone jusqu’alors inexplorée a révélé la présence d’un bassin orné de marbre, construit dans les premiers siècles de notre ère. À l’intérieur de celui-ci, la mise au jour des vestiges d’un plafond en bois sculpté constitue une découverte d’une ampleur exceptionnelle, ce type d’ouvrage étant jusqu’alors complètement inconnu en Gaule.

La découverte de bois antique est relativement rare, celle d’un plafond à caissons antique sculpté et peint l’est encore plus. Plus de 1000 pièces de bois ont déjà été extraites du bassin. Elles correspondent à des poutres, poutrelles et planches constitutives de caissons hexagonaux et losangiques à décors particulièrement bien préservés et élégamment ciselés de feuilles d’acanthe, d’oves, de fers de lance, de rais de coeurs ou encore de perles et pirouettes.

 

L’utilisation de techniques de charpente et de menuiserie aujourd’hui disparues rend cette découverte encore plus inattendue

Quelques traces de pigments laissent envisager que ces caissons étaient peints. Les essences de bois utilisées combinent le sapin en très grande majorité ainsi que le chêne et le tilleul pour les décors. La totalité du corpus est estimée à plus de 1500 pièces, Le travail sur ce plafond antique va se poursuivre au cours de plusieurs années.

De l'archéologie à ciel ouvert

Une restitution de cet ensemble exceptionnel sera réalisé dans le but de mieux comprendre les techniques des artisans bûcherons, charpentiers, menuisiers, forgerons et maçons de l’Antiquité.

 

 
 
 
 

 

lundi, 04 octobre 2021 Écrit par

"Chantilly, le Rocher des Trésors"

Une création visuelle unique

Voilà une belle entrée en matière pour entamer notre week-end dédié à notre Patrimoine et les Journées europénnes du Patrimoine 2021 sous le signe du Patrimoine pour tous.

L'Histoire sur grand écran

Une occasion de réviser notre histoire avec un spectacle à déguster en famille, les enfants vont se réjouir. Une mise en lumière exceptionnelle, musiques, personnages historiques, feux d'artifice à la hauteur de ce monument majestueux, de quoi passer une soirée inoubliable !

 

Revivre l’une des premières pages de l’Art de vivre à la Française, il y a 350 ans

 

C''est l’histoire véridique du Château de Chantilly que "Le Rocher des Trésors" nous conte, celle de la somptueuse fête organisée en avril 1671 par le Grand Condé pour le Roi Soleil - Louis XIV, événement orchestré de haut vol par le maître des cérémonies François Vatel, et qui réserve bien des surprises...

 

Les 350 ans de la Fête de Vatel

Les 17, 18, 19 et 20 septembre 2021

Un son & lumière créé par Holymage avec la participation de Franck Ferrand

Spectacle d'1 heure 30, durée 45 minutes

Place assise 22 euros debout 15 euros

Château de Chantilly dans l'Oise

samedi, 11 septembre 2021 Écrit par

Adieu Monsieur Belmondo

L'une des légendes du Cinéma français vient de nous quitter, notre Bébel national homme de théâtre et comédien attachant.

 Il restera une figure éternelle de la joie de vivre et d'une époque insouciante. Merci Monsieur Belmondo pour votre sourire.

Ce soir et demain soir, trois de ses films cultes sont diffusés sur France 2

 

     

 

France Télévisions rend hommage à Jean-Paul Belmondo

 

}


 

barre

Les rendez-vous d'information de France Télévisions rendent hommage dès à présent à l'acteur disparu :

- sur France Info Canal 27 

- sur France 2 dans une édition spéciale rallongée du JT de 20h, présentée par Anne-Sophie Lapix
 

Lundi 6 septembre 
C à vous sur France 5 dès 19.00 

Dans la partie actualité, Anne-Elisabeth Lemoine reçoit :
- Daniel Auteuil, dont Jean-Paul Belmondo était l'icône
- Bernard Murat, réalisateur, qui a fait jouer Jean-Paul Belmondo dans Désiré en 1996
- Michel Drucker, ami de Jean-Paul Belmondo


Soirée spéciale hommage sur France 2 dès 21.05

L'As des As 

Un film de Gérard Oury (1982)
Scénario : Gérard Oury et Danièle Thompson

Avec : Jean-Paul Belmondo, Marie-France Pisier, Rachid Ferrache

1936, Jo Cavalier, entraîneur national, doit accompagner l'équipe de boxe aux J.O. de Berlin. Durant le voyage, il prend en charge un enfant de dix ans poursuivi par la Gestapo.

Suivi à 22.55 d'Un jour Un destin, présenté par Laurent Delahousse

Jean-Paul Belmondo, l’enfant terrible

Un film d’Agnès Hubschman (2017)

Sur une idée originale de Laurent Delahousse
Production : Magnéto Presse
Unité documentaires et magazines culturels de France 2 : Catherine Alvaresse et Julie Grivaux

 

Mardi 7 septembre dès 21.05
Soirée cinéma Jean-Paul Belmondo sur France 2

Le Professionnel

Un film de Georges Lautner (1981)
Scénario de Michel Audiard et Georges Lautner

Avec : Jean-Paul Belmondo, Jean Desailly, Robert Hossein

Issu de l'élite de l'armée française, Joss Beaumont est chargé d'exécuter le président de la Malagawi. Un contre-ordre tombe, la cible est devenue un ami de l'Etat. Pour l'empêcher de nuire, Beaumont est incarcéré, mais ne tarde pas à s'évader, décidé à mener à bien l'opération, malgré l'opposition de sa hiérarchie

 

Suivi à 22.55 d'A bout de souffle

Un film de Jean-Luc Godard (1960)
Scénario de Jean-Luc Godard et Claude Chabrol

Avec : Jean Seberg, Jean-Paul Belmondo et Daniel Boulanger

Dimanche 12 septembre à 15.10
Vivement Dimanche et Vivement dimanche prochain sur France 2


Rediffusion de l’émission proposée à l'occasion des 80 ans de Jean-Paul Belmondo

 

 

lundi, 06 septembre 2021 Écrit par

Rodez, une ville à découvrir dans le détail

« Y a pas que Soulages ! ». Si Rodez peut s’enorgueillir du musée du maître de l’outre-noir qui donne à la préfecture de l’Aveyron une notoriété internationale, la ville est intéressante à bien d’autres égards. Depuis 2014, le bâtiment horizontal en acier Corten oxydé, dédié aux œuvres de Pierre Soulages en partage avec le musée Fabre de Montpellier, fait une subtile allusion à sa cathédrale médiévale en grès rose et à la verticalité de son clocher.

En ajoutant à la visite de ces deux célèbres réalisations la découverte des exceptionnelles statues-menhirs du musée Fenaille, le visiteur pourrait être tenté d’en rester là. L’ouvrage Rodez au XXe siècle-Les choix de la modernité  que vient de publier l’Inventaire général du patrimoine culturel, dans son numéro 311, vise à lui révéler ce qu’il ne vient pas forcément voir dans cette agglomération.

 

Après un court rappel brossant les particularités topographiques de cette butte-témoin de gneiss culminant à 634m, avec l’Aveyron coulant à son pied, les auteurs évoquent brièvement l’occupation du lieu depuis le néolithique jusqu’au milieu du XIXe siècle. Ensuite, Ils contribuent à montrer les préoccupations d’un monde récent que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître.

 

A partir de 1850, 44 pages de l’ouvrage sont consacrées aux transformations décisives qui ont donné à la ville la physionomie qu’elle conservera jusque dans les années 1960. Les 144 pages restantes offrent une riche iconographie recensant ces réalisations sur environ un siècle. Rien ne manque dans ce « patrimoine en images ». D’abord les équipements publics, musée Denis Puech de style 1900, hôtel de ville, l’hôtel des postes d’Edmond Leenhardt, l’asile Sainte-Marie de Cayssiols. Une petite cinquantaine de pages donnent à voir un habitat diversifié et intéressant, villas, hôtels particuliers, maisons et immeubles remarquables.

 

La troisième partie recense l’architecture commerciale, magasins, garages mais aussi le charme de ses cafés ou de ses hôtels. L’architecture religieuse clôt le panorama architectural de l’agglomération ruthénoise, avec ses grand et petit séminaires, sa chapelle du couvent des Sœurs de Saint-François d’Assise, son temple protestant, sa chapelle d’En Gougan.

 

Dans l’agglomération, à Onet-le-Château, Luc-la-Primaube, sont présentées respectivement l’église Saint-Joseph-l’Artisan et l’église Saint-Jean. Deux cartes, incluses dans la couverture, permettent, l’une de visualiser l’ensemble de l’agglomération, l’autre de localiser les édifices cités. Bref, il n’y a pas que Soulages, la cathédrale Notre-Dame et les statues-menhirs à voir à Rodez !

Guy Hébert

Rodez au XXe siècle-Les choix de la modernité, Textes de Yann Launay et Christian Mullier, photographies de Marc Kérignard, cartes de Yann Launay. 2021. 176 pages. 334 illustrations couleur et noir et blanc. Images du Patrimoine N°311.

mercredi, 29 septembre 2021 Écrit par

La collection Que sais-je ? propose Les 100 mots du patrimoine

Cette cadole, bel exemple de propriété vernaculaire, sera restaurée par anastylose, avec l’aide de mécènes iconoclastes et d’un crowdfunding. Des questions ? Les réponses détaillées sont à trouver dans un récent Que sais-je ?, paru en mai 2021, sous le titre Les 100 mots du patrimoine.

L’auteur, Guy Sallavuard, a l’autorité pour faire comprendre ce patrimoine auquel les Françaises et les Français sont si attachés. Cet ingénieur chimiste, docteur ès sciences, a été directeur des relations institutionnelles et référent pour l’éthique et le bénévolat de la Fondation du patrimoine. Actuellement, il en est administrateur en même temps qu’il est vice-président de l’association Maisons paysannes de France.

Les mots retenus, dans l’ouvrage de 128 pages, permettent de balayer l’univers du patrimoine. De ses métiers, de ses monuments mais aussi de ses textes fondateurs rédigés lors de grands congrès internationaux d’architectes et de techniciens des monuments historiques. A l’exemple de la charte d’Athènes de 1931 et 1933 ou de Venise en 1964. Naturellement, on trouvera les mots château, église, forêt, jardin ou encore technologies, impact, argent … Sans oublier le mot « Beau », citation de Victor Hugo à l’appui : « Il y a deux choses dans un édifice : son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté est à tout le monde ».

Depuis 80 ans, les  Que sais-je ?, en France et bien au- delà de l’Hexagone, sont indissociables d’une information grand public de qualité. « L’érudit, le chercheur, l’artisan, le compagnon, l’apprenti et le curieux peuvent s’y promener et glaner à chaque page des lumières pour éclairer son chemin » le rappelle Frédéric Didier, directeur général de Wienerberger France.  Sans prétention éditoriale.

Efficace !

 

Guy Hébert

Les 100 mots du patrimoine, Guy Sallavuard, 128 pages, 1re édition n°4211, mai 2021

lundi, 18 octobre 2021 Écrit par

Faire la ville? Quelle ville ?

Un essai de Jean-Yves Chapuis sur la ville au XXIe siècle

« On n’habite pas un PLU (Plan Local d’Urbanisme) ! On habite dans une commune, une rue, une ambiance » lance Jean-Yves Chapuis dans la transcription d’un séminaire sur Faire la ville ? Quelle ville ? L’auteur a les connaissances et les expériences pour traiter la question. Etudes de droit, de sociologie, d’urbanisme, travail d’enseignant et de consultant sur la maîtrise d’ouvrage urbaine et responsabilité politique à Rennes, en tant qu’adjoint à l’urbanisme et vice-président à la métropole chargé des formes urbaines.

En un petit fascicule de 75 pages, complété de 23 pages d’annexes présentant le cheminement d’une opération, ainsi que les nouvelles problématiques de l’aménagement aujourd’hui, il traite la question d’une manière abordable.

 

Mesurant la complexité de toute stratégie dans une société incertaine et défiante vis-à-vis du monde politique, il propose en quatre chapitres, avec pédagogie et modestie, des pistes pour que « le projet humain passe avant le projet urbain ». Jean-Yves Chapuis nous explique comment créer la démocratie de la connaissance et de la reconnaissance. D’abord en nous parlant de la ville et de ses éternels débats (pollution, densité, taille), au premier chapitre, puis en abordant la stratégie à adopter dans une ville archipel jamais finie, au second. La troisième partie suggère de créer une culture métropolitaine, lieu de rencontre entre citoyens, élus et services.

En invitant des experts, philosophes, historiens, psychologues, économistes, sociologues, ethnologues … et bien sûr des urbanistes. Faisant souvent référence à l’expertise d’Alexandre Chemetoff.

 

Ainsi la maîtrise d’ouvrage doit évoluer en associant sciences sociales, sciences de la vie à côté des compétences techniques. Pour réussir à écrire un récit politique permettant de construire un projet où, dans la ville archipel, la campagne fait partie du paysage métropolitain. Et où le citoyen se sent en « vacances dans sa propre ville », un lieu conjuguant qualité de l’espace public et de la construction privée.

Car, selon le philosophe Jean-Paul Dollé « La ville n’est pas qu’une idée spatiale, c’est aussi une idée mentale ».

Guy Hébert

Faire la ville ? Quelle ville ? Jean-Yves Chapuis, Les éditions du Panthéon, 2021  

lundi, 02 août 2021 Écrit par

Nice la ville de la villégiature d’hiver de riviera, inscrite à l'UNESCO

La 44e session du Comité du patrimoine mondial a retenu le projet initié il ya 10 ans Désormais inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, la ville de Nice valorise son patrimoine.

Destination privilégiée de riches anglais amoureux de la Riviera, elle a pu bénéficier de talents d'architectes inspirés par sa beauté. Des points de vue uniques sur la Méditerranée

 

Locomotive la ville va peut-être susciter d'autres vocations...

mardi, 27 juillet 2021 Écrit par
Page 13 sur 32

S'abonner à la newsletter

Faire un don

En faisant un don vous contribuez à l'évolution de notre site qui vous apportera toujours plus de contenu

Montant
 EUR