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500 ans de la naissance du poète Du Bellay
« Plus mon petit Lyré, que le Mont Palatin ; Et plus que l’air marin la doulceur angevine » le poème le plus connu de Joachim du Bellay
Pour honorer le poète angevin qui a rendu célèbre son village natal, Liré, entre Angers et Nantes dans Les Mauges son musée lui consacre tout un programme de réjouissances : conférences, colloques, concerts de musique, spectacles, bals, ateliers, croisières...
Célébrations des 500 ans de la naissance du célèbre poète de la Renaissance, initiateur, avec Ronsard, du groupe des sept poètes français de la Pléiade.
"le passé vous rattrape"
Aux beaux jours, il est possible également de privatiser le musée Joachim du Bellay le temps d’une heure pour un Escape Game consacré au poète. Son anniversaire va permettre de découvrir de charmants villages des Mauges comme Saint-Florent-le-Veil ou Champtoceaux.
- Musée Joachim du Bellay © photo D.Drouet/Osez Mauges Musée Joachim du Bellay © photo D.Drouet/Osez Mauges
- Musée Joachim du Bellay © photo D.Drouet/Osez Mauges Musée Joachim du Bellay © photo D.Drouet/Osez Mauges
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Son musée, une immersion à la Renaissance
Situé à Liré, le Grand Logis la demeure ayant appartenu à la famille Du Bellay, accueille aujourd’hui un musée de quatre salles qui retracent chronologiquement la vie du poète.
L’histoire de Joachim du Bellay débute avec la salle Renaissance consacrée à l’enfance du poète et sa famille. Puis la salle de l’Olive présente aux visiteurs les styles poétiques et les poèmes phares de l’époque. La salle de Rome apporte un éclairage sur ses œuvres dont « Les Regrets » avec le célèbre sonnet 31 « Heureux qui comme Ulysse… ». L’histoire de l’illustre poète se conclut, dans la dernière salle autour de sa nouvelle vie à la cour du roi en tant que poète courtisan jusqu’à sa mort à l’âge de 38 ans.
Retour à nos Classiques
Joachim du Bellay naît en 1522 à Liré, dans sa demeure familiale à la Turmelière. Fortement attaché à sa terre natale, il en fera l’éloge dans ses poèmes lors de son voyage à Rome en vantant la doulceur angevine ». Ayant grandi dans une famille de lettrés, il décidera de suivre cette voie en partant faire ses études à Poitiers en droit où il rencontrera Pierre Ronsard, qui deviendra avec du Bellay les deux grands poètes français de la Renaissance.
Deux ans plus tard, ils iront continuer leurs études à Paris au Collège Coqueret. Joachim du Bellay et Ronsard y créeront « La Pléiade », un cercle de sept étoiles poétiques avec Dorat, Jodelle, Baïf, Belleau et Thyard.
500ème anniversaire dans Les Mauges
- Petite Cité de Caractère, Saint-Florent-le-Vieil, réserve aussi de belles surprises © photo D.Drouet Petite Cité de Caractère, Saint-Florent-le-Vieil, réserve aussi de belles surprises © photo D.Drouet
- Ancienne cité médiévale, Champtoceaux © photo D.Drouet Ancienne cité médiévale, Champtoceaux © photo D.Drouet
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A noter dans l'agenda
Le mercredi 1er juin, à l’occasion de la journée de la Renaissance, le Musée Joachim du Bellay proposera un atelier de calligraphie, d’enluminure et de réécriture du sonnet « Heureux qui comme Ulysse… » en partenariat avec la médiathèque La Pléiade d’Ancenis.
le Musée Joachim du Bellay propose également des ateliers créatifs autour de la calligraphie pour tous les âges
Ouvert de février à novembre
1, rue Ronsard
Liré
49 530 Orée-d'Anjou
02 40 09 04 13
Du château de Versailles à Mantes-la-Jolie d'emblématiques sculptures restaurées
Il faudra attendre cet été pour visiter le chantier, exceptionnellement ouvert au public. A l'initiative du département des Yvelines, c'est l'ancien hangar de stockage de l’usine Dunlopillo, dans le quartier de Gassicourt qui servira de lieu de travail capable d'accueillir ces monuments de pierre. Chacune d'entre elles pese environ 20 tonnes.
- Les grilles de l'Orangerie avant restauration © photo Christian Millet Les grilles de l'Orangerie avant restauration © photo Christian Millet
- Les grilles de l'Orangerie en cours de restauration © photo Christian Millet Les grilles de l'Orangerie en cours de restauration © photo Christian Millet
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La restauration des grilles et des décors sculptés de l'Orangerie
Depuis deux ans, le château de Versailles met tout en oeuvre pour réaliser un programme de restauration des décors sculptés de l'Orangerie
Une première intervention sur les grilles et les décorsUne première intervention sur les grilles et les décorssculptés des premières Cent Marches est aujurd'hui achevée. Les travaux portant sur les deuxièmes Cent Marches ont débuté en octobre 2021 et s'achèveront à la fin de cette année.
- © photo Thomas Garnier © photo Thomas Garnier
- © photo Thomas Garnier © photo Thomas Garnier
- © photo Thomas Garnier © photo Thomas Garnier
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Parallèlement, les sculptures monumentales, réalisée spar Louis Le Conte et Pierre Legros vers 1687, nécessitant une restauration rapide, vu leur état. Inspirées des Métamorphoses d’Ovide, elles célèbrent les amours des dieux à traversquatre couples mythologiques : Aurore et Céphale ;Vertumne et Pomone ; Flore et Zéphyr et Vénus et Adonis.
L’Orangerie de Versailles
Construite entre 1684 et 1686 parJules Hardouin-Mansart, et le parterre attenant composé à la même époque par André Le Nôtre, constituent la perspective sud du château de Versailles. Elle est encadrée par deux escaliers monumentaux dits des « Cent Marches »qui se prolongent par une large esplanade bordée de grilles
Le chantier ouvrira cet été 2022 durant deux ans.
Des panneaux explicatifs retraceront l'histoire de ces sculptures et leur restauration.
Art en gare
Venise en gare de Lille Flandres ce mercredi, premier rendez-vous public avec une toile exceptionnelle pour tout savoir sur ce chef d'oeuvre de Félix Ziem.
4 mercredis pour 4 œuvres
Chaque semaine une œuvre originale du Palais des Beaux-Arts de Lille en gare de Lille Flandre. Le musée vient à la rencontre des voyageurs. Pour la première fois, le Palais des Beaux-Arts de Lille expose des œuvres originales issues de ses collections à l'extérieur.
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Des médiateurs en gare prennent le temps de nous décrypter des toiles portant toutes sur la thématique du voyage.
Le programme débute aujourd'hui avec Venise une œuvre originale du Palais des Beaux-Arts de Lille en gare de Lille Flandres
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Un nouveau type de médiation du patrimoine culturel
Une opération déjà réalisée en partenariat avec le Centre Pompidou en gare d’Ermont Eaubonne en 2018, ensuite en gare de Rennes en 2019, en partenariat avec le musée de Pont-Aven.
Si vous venez à Lille, une visite au Palais des Beaux-Arts s'impose. Ses collections exceptionnelles retracent un panorama complet de l’histoire de l’art, de l’Antiquité au 20e siècle.
Au programme :
Mercredi 6 avril : Venise, fête de l’Assomption (4e quart du 19e siècle), de Félix Ziem
Mercredi 13 avril : La croisée des chemins (1939),
- La Mer, 1987, de Roger Lambert-Loubre Lille Palais des Beaux Arts La Mer, 1987, de Roger Lambert-Loubre Lille Palais des Beaux Arts
- La Croisée des Chemins, 1939 d’Émile-Othon FRIESZ Lille Palais des Beaux Arts RMN/Stéphane La Croisée des Chemins, 1939 d’Émile-Othon FRIESZ Lille Palais des Beaux Arts RMN/Stéphane
- Paysage aux environs de Paris, 1ère moitié du 19eme siècle de Georges Michel Lille Palais des Beaux Arts, Grand Palais RMN/ Jacques Quecq d'Henripret Paysage aux environs de Paris, 1ère moitié du 19eme siècle de Georges Michel Lille Palais des Beaux Arts, Grand Palais RMN/ Jacques Quecq d'Henripret
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Mercredi 20 avril : La Mer (1987), de Roger Lambert-Loubere
Chaque œuvre sera présentée par un médiateur, à 11h, 12h, 13h, 15h, 16h et 17h
Sessions de 30 minutes
Jusqu'au 20 avril 2022
Lalique, un Centenaire éternel
En édition limitée
Le Centenaire de la Manufacture de Wingen- sur-Moder se célèbre avec élégance. Son savoir-faire, au coeur de la collection, a traversé le siècle sans jamais se démoder. Pour fêter dignement cet anniversaire, deux nouvelles pièces sont produites en édition limitée : un flacon exceptionnel contenant un nouveau parfum Lalique, baptisé Fusion (10 exemplaires), et une magnifique carafe à spiritueux : Goutte d'eau (100 exemplaires).
- Gouttes d'eau par Lalique © photo Lalique 2022 Gouttes d'eau par Lalique © photo Lalique 2022
- L'art de la table chez Lalique 2022 © photo PdF 2022 L'art de la table chez Lalique 2022 © photo PdF 2022
- Les traditionnels de chez Lalique © photo PdF 2022 Les traditionnels de chez Lalique © photo PdF 2022
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Lalique persiste et signe
- Vase bacchantes Lalique © photo Lalique 2022 Vase bacchantes Lalique © photo Lalique 2022
- Vase Languedoc Lalique © photo Lalique 2022 Vase Languedoc Lalique © photo Lalique 2022
- Vase Mossi Lalique © photo Lalique 2022 Vase Mossi Lalique © photo Lalique 2022
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ICONICS INTO THE BLUE
Les grands classiques se déclinent en bleu profond pour le centenaire. Les objets décoratifs emblématiques de Lalique : Bacchantes, Mossi, Languedoc et Champs-Élysées, se teintent d’un bleu céruléen intense. Cette couleur magnétique éclaire d'un jour nouveau les pièces iconiques en cristal de la marque.
Un zeste de bijoux fantaisie
Symbole d'espoir, d'amour et de longévité, le Ginkgo a été choisi pour être l'emblême de cette dernière collection de bijoux. Le printemps 2022 s'offre une parure légère inspirée par la Nature.
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Un SOLEIL VIBRANT, la fragrance tendance
Le Soleil Lalique refait son entrée en scène. Enrichi d’ingrédients (top secret !) issus de ressources durables, ce nouvel opus a été conçu par un duo de créatrices passionnées : la Maître Parfumeure Nathalie Lorson et la Parfumeure Alexandra Monet.
De quoi se parer pour l'été et embellier son intérieur.
Une histoire de famille
- Atelier Lalique en 1922 © photo Lalique 2022 Atelier Lalique en 1922 © photo Lalique 2022
- Le fondateur René Lalique © photo Lalique 2022 Le fondateur René Lalique © photo Lalique 2022
- La verrerie en Alsace Archives de la famille Lalique © photo Lalique 2022 La verrerie en Alsace Archives de la famille Lalique © photo Lalique 2022
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Un savoir faire centenaire
- Le cristal en fusion à l'usine Lalique © photo Lalique 2022 Le cristal en fusion à l'usine Lalique © photo Lalique 2022
- Polissage de la sculpture de la Victoire de Samothrace © photo Lalique 2022 Polissage de la sculpture de la Victoire de Samothrace © photo Lalique 2022
- Le cristal en fusion à l'usine Lalique © photo Lalique 2022 Le cristal en fusion à l'usine Lalique © photo Lalique 2022
- Un savoir faire unique chez Lalique, polissage du vase Bacchantes © photo Lalique 2022 Un savoir faire unique chez Lalique, polissage du vase Bacchantes © photo Lalique 2022
- Le verre chaud ici un vase Languedoc de chez Lalique © photo Lalique 2022 Le verre chaud ici un vase Languedoc de chez Lalique © photo Lalique 2022
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A Montpellier, le 8ème salon Ob’Art s’ouvre aux artisans-créateurs
Ateliers d’Art de France aime Montpellier. Et réciproquement. Ce prestigieux syndicat professionnel des métiers d’art porte haut la qualité des artisans-créateurs. Depuis huit ans, il y organise Ob’Art, un salon annuel. Et en 2016, il a choisi de montrer la vitalité de la création hexagonale, toute l’année, dans une grande chapelle du XVIIe, magnifiquement restaurée. Du 8 au 10 avril 2022, pendant trois jours, la huitième édition accueille une soixantaine d’exposants dans le cadre du Corum. Bâtiment remarquable, paquebot réalisé en 1988 par l’architecte Claude Vasconi, à deux pas de la Place de La Comédie. Tout est réuni pour un moment de découvertes et de petits bonheurs.
Dès l’accueil, un piano. Montpellier peut s’enorgueillir de ses références en termes de création et de restauration d’instruments de musique. Place ensuite à la diversité des métiers d’art représentés par une cinquantaine d’artisan.e.s, dont sept nouveaux participants : Verrerie, mobilier, mode et accessoires, céramique, art de la table, bijoux, textile, coutellerie, ébénisterie, sculpture, maroquinerie, luminaires, mosaïque, chapellerie …
Une énumération à la Prévert propre à satisfaire goûts et envies. Que des créations uniques ou en petites séries ! Avec le plaisir de faire de belles rencontres avec celles et ceux, rigoureusement sélectionné.e.s, qui perpétuent des techniques traditionnelles ou qui en expérimentent de nouvelles. Au-delà, la chambre des métiers de l’Hérault et le lycée métiers d’arts Charles Gide d’Uzès feront des démonstrations, en continu. De quoi susciter de jeunes vocations ou des reconversions. Ou plus simplement donner l’envie de s’initier à ces savoir-faire manuels. Au programme, travail autour de la porcelaine et de la céramique, végétalisation d’une pièce de bois, taille de la pierre et de la pâte de verre pour réaliser des mosaïques, création de bijoux en micro-mosaïque.
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Quant aux élèves du lycée, ils feront découvrir taille de pierre, tapisserie d’ameublement, sculpture sur bois, marqueterie et ferronnerie. Avant de juger, au cours d’une pause à l’espace gourmet du salon, le mobilier qu’ils ont fabriqué dans les ateliers de l’établissement. Le seul de France à proposer des formations aux métiers d’art dans quatre matériaux, pierre, bois, textile et métal.
- © Audrey Jauberthie © Audrey Jauberthie
- © Fabienne Brioudes © Fabienne Brioudes
- © Emeline Rigal © Emeline Rigal
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Envie, après le salon, de prendre rendez-vous avec quelques artistes de la métropole dans leurs ateliers ? Pourquoi pas l’ébéniste, sculptrice, restauratrice Vinciane Domergue (La Feuille de bois) ? La styliste et couturière Sabine Armand ? La céramiste Leila Santiago (Bleu nuit céramique) ? Sans négliger d’autres visites, en Occitanie d’où vient un.e artiste sur deux. Ou en Auvergne, PACA, Nouvelle Aquitaine …
Guy Hébert
Informations pratiques
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Expo-vente les 8 et 9 avril (10h à 20h) et dimanche 10 avril (10h à 19h)
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Le Corum, Esplanade Charles de Gaulle 34 000 Montpellier
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Tarifs : Gratuit vendredi / 6,50€ samedi et dimanche/ Gratuit moins de 18 ans
Billetterie et informations : www.obart.com
Découverte archéologique inédite
La découverte inattendue d’une matrice de sceau médiévale, lors du chantier de rénovation du château royal de Villers-Cotterêts menée par le Centre des monuments nationaux (CMN) et l’Inrap, sera le moment fort des journées « portes ouvertes » organisées ce week-end.
Peu de matrices de sceaux ont survécu et moins encore sont découvertes lors d’opérations archéologiques : à la mort du titulaire du sceau, la matrice était brisée, fondue ou, plus rarement enterrée avec son propriétaire.
Le scénario imaginé par les archéologues
La matrice de sceau a été retrouvée dans une poche de charbons dans une pièce de l’aile nord du logis, son propriétaire l’a probablement perdu, près d’une cheminée par exemple, et elle a été rejetée au centre de la pièce en même temps que les cendres.
Elle mesure environ 22 mm de large, 17 mm de haut et 5 mm d’épaisseur.
Cette matrice de bronze pouvait être portée, grâce à une chaîne, un ruban, un lacet tressé ou une lanière en cuir, soit autour du cou, soit accrochée à une ceinture.
Sa face est gravée en creux : au centre un cavalier (saint Georges) surplombant un dragon, entouré d’une légende en lettres gothiques, puis d’un cercle perlé. La légende peut être lue : « I P PRI/EUR / DEVILLERS / LESM / OINE ». L’armure du cavalier (avec l’emploi d’un heaume fermé "de joute") porte à dater la matrice du début du XVe siècle.
D'un monastère inconnu
Il appartiendrait au prieur du monastère Saint-Georges, à Villers-les-Moines, dépendant de l'abbaye de-la-Chaise-Dieu (en Auvergne). Situé à environ 1 km au nord-est du château de Villers-Cotterêts, ce prieuré est peu documenté. Il est transformé en couvent de bénédictines (Saint-Rémy-Saint-Georges) au XVIIe siècle.
Il n’est répertorié dans aucune archive.
- Matrice de sceau © photo Serge Le Maho/INRAP Matrice de sceau © photo Serge Le Maho/INRAP
- Positif de la Matrice de sceau © photo Serge Le Maho/INRAP Positif de la Matrice de sceau © photo Serge Le Maho/INRAP
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Qu'est-ce qu'un sceau ?
Apparu en Mésopotamie au VIIe millénaire, le sceau précède de peu l’écriture. En France, il est repris dès le haut Moyen Âge par les souverains mérovingiens et devient un droit régalien.
Au Moyen Âge, le sceau est l’unique moyen d’authentifier un document.
À partir du Xe siècle, ce monopole royal s’effrite au cours du temps au profit des évêchés, des princes, de la classe seigneuriale et des villes. Au XIIIe siècle, le sceau est partout dans la société médiévale.
À partir du milieu du XVe siècle, les progrès du notariat, la diffusion de la signature autographe et la généralisation du papier entraînent le déclin du scellage.
Les sceaux nous apprennent beaucoup sur les usages de la société du Moyen Âge
Animations ateliers d'écriture, et illumination vendredi 18 et samedi 19 mars, de 20 heures à 21 heures, de la façade du logis royal
Lancement d’un timbre officiel Cité internationale de la langue française
Visites commentées toutes les 15 minutes de 10h à 19h
Les 18, 19 et 20 mars 2022
Villers-Cotterêts 02 600 dans l'Aisne
Proust à Saint Lazare
La Gare Saint-Lazare était le décor idéal pour proposer cette exposition temporaire dédiée à Marcel Proust, située à deux pas du 102 boulevard Haussmann - où il vécu plus de 10 ans et écrit une grande partie de son œuvre - ainsi que de l’appartement familial boulevard Malesherbes.
Immersion dans l’univers proustien
À l’occasion des 150 ans de Marcel Proust, SNCF Gares & Connexions a imaginé sur le parvis de la gare Saint-Lazare une exposition prolongeant "Marcel Proust, un roman parisien" actuelle au Carnavalet.
Les voyageurs ont à leur disposition quelques reproductions des 280 oeuvres exposées au Musée Carnavalet : tableaux, photographies, sculptures,vêtements, et objets du quotidien de l’écrivain …
- Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin
- Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin
- Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin Exposition Marcel Proust un roman parisien © photo David Paquin
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Direction la Normandie si chère à l'auteur
Des extraits de Du côté de chez Swann sont adaptés à chaque temps de trajets vers les destinations emblématiques du roman, ainsi que des podcasts sur la vie de l’auteur
Jusqu’au 31 mars 2022
Coup d'envoi de la Fête du Citron
Un zeste de citron
Pour conserver le moral en cette période hivernale, la couleur jaune pepse ce début d'année avec une 81ème édition de la Fête du Citron aux petits oignons ! Merci aux mentonnais de nous faire partager leur pépite vitaminée !
Les bienfaits du citron sur la bonne humeur ne sont plus à démontrer alors direction Menton pour apprécier ce savoir-faire d'exception.
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
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Les artistes se renouvellent sans cesse, cette année encore la thématique Opéra et Danses ont inspiré leur créativité. Chaque année, il faut des milliers d’heures pour réaliser ces sculptures éphémères dont les fruits, posés un à un, demandent une patience d'ange.
Les chiffres sont impressionnants :il ne faut pas moins de quinze tonnes d’agrumes pour les concevoir...
L'exposition se tient -depuis 1936- dans les Jardins Biovès. Une balade nocturne, dont les décors mis en lumière, permet d'apprécier ces chefs d'oeuvres dans toutes leurs dimensions.
Les 18 et 25 février 2022
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
- A Menton la Fête du Citron® A Menton la Fête du Citron®
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La plage, le soleil et les agrumes
Pour les amoureux des jardins, plusieurs d'entre eux ouvrent leurs portes à l'occasion de cette manifestation festive
Au programme:
Notre préféré, le Jardin Serre de la Madone, Aménagé entre 1924 et 1939 par le major Lawrence Johnston, ce jardin est unique il détient d’innombrables plantes rares.
Autre découverte, la villa Maria Serena et son jardin se situent à quelques pas de la frontière italienne. autre style, un jardin coloré de céramiques valenciennes et mentonnaises, c'est le Fontana Rosa, à voir du 18 au 25 février.
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Le jardin du Val Rahmeh, membre du réseau des Muséums Paca Classé Jardin remarquable, ce jardin botanique exotique montre ses merveilles du 14 au 21 février
Au Jardin classé remarquable Le Mas Flofaro vous pourrez visiter sa citronneraie
Du samedi 12 au 22 février
A voir également l'un des plus beux jardins des palaces de la Belle Époque, le Riviera Palace
Du 16 au 23 février
Rendez-vous dans les lieux emblématiques de la culture citronnière
Randonnée du Citron
En compagnie de, Sébastien, partez à la découverte des vergers d’agrumes de Menton pour une balade d’une demi-journée.
Randonnée autour du Mimosa
L'autre merveille, la fleur à grains jaunes à la senteur ennivrante, le Mimosa rime avec la Riviera
Symbole de la plante exogène depuis le XVIIIéme siècle, il est fortement implanté dans le pays mentonnais. Il y trouve le climat le plus doux de France entre mer et falaises calcaires. Dès le mois de janvier, l'arbuste colorie les vallons tout autour de Menton.
Un peu de Patrimoine avec la découverte de la vieille ville de Menton
Depuis l'Office de tourisme, suivez la randonnée autour des arbres patrimoniaux de la ville
Du mercredi 16 au vendredi 25 février 2022
Fête du Citron
Du 12 au 24 Février 2022
Inauguration le 12 février à 14h30 - ouverture au public à partir de 15h30
A noter la date du carnaval des enfants le mercredi 23 février, à 15h
Office de tourisme
Palais de l'Europe, 8 Avenue Boyer
06 500 Menton
La Beauté en partage
15 ans d'acquisitions au Musée Fabre
Le musée Fabre de Montpellier donne à voir et à comprendre son riche patrimoine « La beauté n’est que la promesse du bonheur » affirmait Stendhal. Au musée Fabre de Montpellier, la nouvelle exposition La beauté en partage, peut y conduire. Sous-titrée 15 ans d’acquisitions au Musée Fabre, elle révèle la politique d’enrichissement menée sous la houlette de Michel Hilaire, son directeur depuis 30 ans.
- Jean HUGO, (Paris, 1894 – Lunel, 1984, Deux Footballeurs, 1921 © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes Jean HUGO, (Paris, 1894 – Lunel, 1984, Deux Footballeurs, 1921 © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes
- Auguste CHABAUD (Nîmes, 1882 – Graveson, 1955), Les Filles en vert, 1907,©ADAGP, Paris, 2021 Auguste CHABAUD (Nîmes, 1882 – Graveson, 1955), Les Filles en vert, 1907,©ADAGP, Paris, 2021
- George-Daniel de MONFREID (New York, 1856 – Corneilla-de-Conflent, 1929), © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes George-Daniel de MONFREID (New York, 1856 – Corneilla-de-Conflent, 1929), © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes
- François-Xavier FABRE (Montpellier, 1766 – Montpellier, 1837), Portrait de Caroline Scitivaux (1800-1882), vers 1810, © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes François-Xavier FABRE (Montpellier, 1766 – Montpellier, 1837), Portrait de Caroline Scitivaux (1800-1882), vers 1810, © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/33-sorties.html?start=98#sigProIda478883e75
Plus d’une centaine, présentées dans dix salles. Balayant l’histoire de l’art du XVIIe au XXIe siècle. Pour y découvrir « des œuvres insignes, internationalement reconnues ou plus directement liées au contexte languedocien ». Un commentaire de Michel Hilaire avant de confier « toutes dialoguent avec bonheur avec les œuvres déjà présentes dans le fonds ». Donnant à voir des trésors nationaux, des achats en galerie, des dons, donation et legs. Mais aussi des achats en vente publique, en France ou à l’étranger, des dons sous réserve d’usufruit, des préemptions et des dons d’artistes.
C’est d’ailleurs un des mérites de cette exposition que de faire comprendre, au grand public, à la fois les axes et les modes d’acquisitions d’un musée. De surcroît, un financement participatif est proposé pour acquérir une œuvre de Yan Pei-Ming, L’impossible rencontre. Une première au musée Fabre.
L’exposition permet un vaste voyage dans l’histoire de l’art, de la renaissance à l’art contemporain. Avec des acquisitions ayant plusieurs visées.
D’abord pour représenter le XVIIe, le « Grand Siècle », avec en particulier Sébastien Bourdon, natif de Montpellier. Ensuite pour perpétuer le goût de l’Italie de François Xavier Fabre, le fondateur du musée éponyme. N’avait-il pas donné la moitié du tableau Vénus et Adonis de Nicolas Poussin, coupée à la fin du XVIIIe siècle. Il y a dix ans, cette œuvre a retrouvé ici son intégrité. Afin aussi d’enrichir la collection des peintres européens ayant fait le voyage initiatique à Rome tout au long du XIXe. Dont le montpelliérain Alexandre Cabanel, avec sa saisissante mise en scène de l’atelier de Michel Ange.
- Yan PEI-MING (Shanghai, 1960), L’impossible rencontre, 2019, ©ADAGP, Paris, 2021 Yan PEI-MING (Shanghai, 1960), L’impossible rencontre, 2019, ©ADAGP, Paris, 2021
- Pierre SOULAGES (Rodez, 1919), Peinture 181 x 405 cm, 12 avril 2012, 2012, ©ADAGP, Paris, 2021 Pierre SOULAGES (Rodez, 1919), Peinture 181 x 405 cm, 12 avril 2012, 2012, ©ADAGP, Paris, 2021
- Claude VIALLAT (Nîmes, 1936), Sans titre, 1992, acrylique sur fragment de tente orange, 213 X 220 ©ADAGP, Paris, 2021 Claude VIALLAT (Nîmes, 1936), Sans titre, 1992, acrylique sur fragment de tente orange, 213 X 220 ©ADAGP, Paris, 2021
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/33-sorties.html?start=98#sigProIdd5d1e53fd5
Toujours en référence à Fabre et sa collection de dessins et gravures, ces dernières années ont vu le musée acquérir des dessins de Vincent Bioulès, Alexandre Hollan, Daniel Dezeuze, Dominique Gauthier ou Christian Jacquard. D’autres œuvres sont également entrées dans le fonds pour perpétuer l’inspiration languedocienne de Gustave Courbet et du montpelliérain Frédéric Bazille. Avec Philippe Pradalié, Jules Laurens, Vincent Bioulès ou Jean-Pierre Blanche.
Si des figures de la modernité comme Auguste Chabaud et George-Daniel de Monfreid n’ont pas été oubliées, ainsi que l’univers de Jean Hugo, une place exceptionnelle est réservée aux nouvelles voies de l’abstraction et à la mouvance Supports/Surfaces. Contribuant au rayonnement international du musée grâce à la vingtaine d’œuvres données par Pierre Soulages, en 2005. Et complétées, en 2013, par la fondation d’entreprise du musée.
Quant au mouvement Supports/Surfaces, réunissant de nombreux artistes passés par l’école des beaux-arts de Montpellier, il est remarquablement bien représenté. Les arts décoratifs n’ont pas été oubliés afin d’étoffer le département qui y sont consacrés à l’hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran.
Faïence d’apothicairerie, orfèvrerie, sculpture d’Augustin Pajou sont exposés avec une commode fin XVIIIe au décor évoquant la promenade royale du Peyrou. Du bel ouvrage montpelliérain à l’honneur. Au-delà de l’exposition, d’autres acquisitions sont dispersées dans les collections permanentes.
Un intéressant livret gratuit les recense. Il présente intelligemment les œuvres, selon la manière dont elles sont entrées dans les collections. Se le procurer est indispensable. Leur découverte dans les salles permettra, en même temps, une promenade à travers l’architecture du XVIIe au XXIe siècle. Avant, un dernier arrêt s’impose devant un triptyque de Yan Pei-Ming.
Trois portraits réalisés en 2019, à l’occasion du bicentenaire de la naissance de Courbet. Un du peintre d’Ornans et un de son mécène Alfred Bruyas, en référence au tableau Bonjour Monsieur Courbet initialement intitulé La Rencontre, voisinent avec un autoportrait du peintre français d’origine chinoise et de notoriété internationale.
Il ne restera plus aux amoureux du musée Fabre qu’à participer à l’achat de L’impossible rencontre. A la portée de toutes et tous. Dès 13 euros, après déduction fiscale. Contreparties offertes, malheureusement pas très motivantes.
Quand on a le goût de la beauté, on ne discute pas. N’est-ce pas !
Guy Hébert
Exposition "La Beauté en partage"
Jusqu’au 6 mars 2022
Informations pratiques
Musée Fabre, Montpellier
Ouvert tous les jours, de 10h à 18h, sauf le lundi.
Visites guidées les mercredis, samedis et dimanches. Application à télécharger.
Visites à des dates précises pour les personnes aveugles ou sourdes.
Cycles de tables rondes et de conférences. Un jeu de plateau, conçu par le musée, est à emprunter pour faire toute la lumière sur la collection et ses moyens d’acquisitions.
Le palais et le jardin du Luxembourg
Lieu privé devenu lieu de pouvoir, le Sénat possède des coulisses qui se découvrent au fil de ce beau livre. Un cadeau qui réjouira les amoureux de Patrimoine.
De l’Empire à la Ve République, ses remaniements successifs témoignent de ces époques
Résidence royale, puis demeure princière, le palais du Luxembourg a été, miraculeusement préservé des troubles de l'Histoire.
Saisi en tant que bien d’émigré à la Révolution, il rythme la vie politique française. L'intérêt qu'apporte le travail fourni par ce livre est de nous faire découvrir son architecture ainsi que sa flamboyante décoration.
- La Chapelle de la Reine © Sénat La Chapelle de la Reine © Sénat
- La salle du Livre d’Or © Sénat La salle du Livre d’Or © Sénat
- Le Dôme Tournon qui surplombe l’entrée de la cour d’honneur du palais du Luxembourg © Sénat Le Dôme Tournon qui surplombe l’entrée de la cour d’honneur du palais du Luxembourg © Sénat
- Une partie est du plafond de la salle des Conférences © Sénat Une partie est du plafond de la salle des Conférences © Sénat
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/33-sorties.html?start=98#sigProIde2fbec1d17
Le palais et le jardin du Luxembourg l’un des lieux les plus visités lors des journées européennes du Patrimoine
Devenu aujourd’hui le Sénat, nous avons ici le privilège d'une visite inédite à travers trois itinéraires.
L’un suit le fil de lHistoire et les traces de ses propriétaires successifs, de Marie de Médicis à Napoléon. Le second explique les rouages de ce lieu d’exercice de la démocratie, depuis la chambre des Pairs jusqu'au Sénat d'aujourd'hui. Enfin, le dernier mène le lecteur à travers les allées du jardin du Luxembourg pour apprécier ce havre de nature ouvert à tous,
- Gravure du XVIIe siècle montrant les grands jardins à la française que Marie de Médicis avait fait implanter dans l’axe sud du palais.© Sénat Gravure du XVIIe siècle montrant les grands jardins à la française que Marie de Médicis avait fait implanter dans l’axe sud du palais.© Sénat
- Le pavillon Davioud © Sénat Le pavillon Davioud © Sénat
- La Serre à Orchidées © Sénat La Serre à Orchidées © Sénat
- La salle de lecture de la bibliothèque © Sénat La salle de lecture de la bibliothèque © Sénat
- Gravure de 1819 © Sénat Gravure de 1819 © Sénat
- La coupole de Jean Alaux marque le centre de la longue galerie,© Sénat La coupole de Jean Alaux marque le centre de la longue galerie,© Sénat
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/33-sorties.html?start=98#sigProIdc5e7c2f6b4
Le Sénat de la République
Un condensé de ce monument aux multiples facettes : espace botanique, mais aussi lieu de culture à travers la statuaire et le musée.
Le palais et le jardin du Luxembourg
Paru aux éditions Flammarion
Prix 30,00 € Format 29,7x29,7
Un ouvrage relié de136 pages contenant une iconographie de choix
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