
Echos du Patrimoine (296)
Pour le 80ème Anniversaire du DDAY une pièce d'Or en hommage
80ᵉ anniversaire du Débarquement et de la bataille de Normandie
Harold Baumgarten, l'un des premiers soldats à débarquer sur Omaha Beach, connut un destin hors du commun. Pour rendre hommage à son courage, la maison de Haute Monnaie VeraValor a gravé dans l'or, une pièce unique de 1/10ème d'once en or pur.
Une histoire rocambolesque
Le 6 juin 1944, à 6h30, Harold faisait partie des nombreux GI qui posèrent le pied sur les plages françaises, aux côtés de la compagnie B/116 de la 29ᵉ division. À 19 ans, ce New-Yorkais a fait face aux tirs allemands dès son arrivée.
Dès le début du combat, un éclat d'obus traversa sa joue, le faisant chanceler. Malgré la souffrance, il trouve le courage de se relever. . Trois heures plus tard, un autre éclat vint le frapper à la tête avant qu’une autre balle ne transperce son pied gauche. À minuit, Harold était encore au front. Un obus vint alors creuser sa lèvre et sa mâchoire.
Une patrouille américaine le retrouva laissé pour mort le lendemain. Soigné en Angleterre, il subira pas moins de vingt-trois opérations chirurgicales pour être sauvé.
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une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor
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une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor
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une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor une création unique de la maison de Haute Monnaie VeraValor
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId0d54eb85ea
Soulager la douleur
Suivi une longue convalescence, durant laquelle ce héros de guerre ressenti l'appel d'une vocation : consacrer sa vie à la guérison.
Il entreprit alors des études de médecine. Devenu médecin, il accomplit sa mission en sauvant des vies.
Son empathie envers les autres lui ouvrit les portes d'une seconde vie
Une création à retrouver sur
Le 6 juin 2024
Au revoir à Bernard Pivot
A l'annonce de sa disparition, France Télévisions modifie sa programmation pour raviver la mémoire d'assidus téléspectateurs qui seront heureux de retrouver quelques extraits d'émissions animées par Bernard Pivot.
La passion des émotions au fil des pages
Figure emblématique de la culture française, le journaliste a titillé un nombre impressionnant de téléspectateurs fidèles au rendez-vous d'Apostrophes.
Gage de succès
Emotion, curiosité, humour, l'émission mythique faisait vibrer de passion pour la littérature les invités et une génération friande d'entendre de bons mots.
Passionné de littérature et fervent défenseur de la langue française, ancien président de l'Académie Goncourt, il avait également créé les championnats de France d’orthographe et lancé la fameuse dictée : les DICOS D’OR sur France 3.
Paroles et transmission
Prescripteur de nos livres de chevet, Bernard Pivot aura fait les grandes heures des Maisons d'éditions. Les ventes grimpaient en flèche après un passage dans son émission. Combien d'entre nous se sont précipité chez leur libraire pour se procurer le livre tant vanté la veille !
Un brin de nostalgie nous gagne quand une page d'histoire de la télévision se tourne alors savourons encore quelques heures le bonheur d'entendre notre belle langue partagée.
Changement de programmes
Mardi 7 mai à 22.40 sur France 2 le documentaire Les vendredis d'Apostrophes réalisé par Pierre Assouline.
A l’occasion des 40 ans d’Apostrophes, le réalisateur Pierre Assouline avait composé un florilège des meilleurs extraits présenté sous forme d’abécédaire, qu’il a fait commenter par Bernard Pivot qui livre des anecdotes inédites sur les coulisses de son émission.
Mercredi 8 mai à 21.05 sur France 5, l'émission La grande librairie spéciale Bernard Pivot présentée par Augustin Trapenard.
Le Festival des Architectures Vives, incontournable à Montpellier
S’il est un festival bien installé, chaque mois de juin, dans le paysage montpelliérain, c’est bien le FAV. Pour la dix-huitième fois, du 11 au 16 juin, le festival des Architectures Vives va investir une dizaine de cours des plus beaux hôtels particuliers de l’écusson et l’ancienne école de Médecine.
Le succès de cet évènement ne faiblit pas car, chaque année, sur un thème imposé, de jeunes équipes d’architectes, de paysagistes ou d’urbanistes venant du monde entier rivalisent de créativité. La satisfaction des 13 000 visiteurs (3 500 en 2006) le prouve : 97% émettent un avis très positif sur l’accueil et les renseignements fournis par les médiateurs présents toute la semaine. Quand 94% apprécient les installations proposées.
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Hôtel Audessan @ Festival des Architectures Vives Hôtel Audessan @ Festival des Architectures Vives
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Aurs @ Festival des Architectures Vives Aurs @ Festival des Architectures Vives
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Aurs @ Festival des Architectures Vives Aurs @ Festival des Architectures Vives
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Chambre de Commerce et d'Industrie @ Festival des Architectures Vives Chambre de Commerce et d'Industrie @ Festival des Architectures Vives
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Cette année, le FAV a choisi « RYTHME » comme thème. Il s’engage résolument dans une démarche environnementale, privilégiant les ressources et matériaux naturels, le réemploi et la réduction des déchets. Le partenariat signé avec MAS REEMPLOI en témoigne. Ce qui se traduira très concrètement. Les équipes concurrentes pourront consulter un catalogue en ligne des matériaux disponibles. A la fin du festival, MAS Réemploi collectera les matériaux, en vue de les réutiliser et de les valoriser. L’entreprise réalisera le bilan carbone de l’opération pour évaluer l’impact environnemental.
Et cerise sur le gâteau, pour la première fois, un prix environnemental sera décerné par les deux partenaires. Une récompense qui s’ajoutera aux prix du jury et du public. Dans cette réussite, il faut souligner le rôle de l’association Champs Libre qui porte le festival, sous la conduite exigeante de deux architectes montpelliérains, Elodie Nourrigat et Jacques Brion. Sans oublier l’investissement des médiateurs, étudiantes et étudiants de l’Ecole Supérieure d’Architecture de Montpellier. De quoi satisfaire les amoureux du patrimoine, comme celles et ceux qui s’intéressent à l’architecture ou les défenseurs de la planète, initiés ou néophytes, jeunes ou non.
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Hôtel Hortoles @ Festival des Architectures Vives Hôtel Hortoles @ Festival des Architectures Vives
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Hôtel Audessan @ Festival des Architectures Vives Hôtel Audessan @ Festival des Architectures Vives
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Hôtel Lunas @ Festival des Architectures Vives Hôtel Lunas @ Festival des Architectures Vives
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La DRAC @ Festival des Architectures Vives La DRAC @ Festival des Architectures Vives
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C’est donc, en cœur de ville, à un parcours de découvertes architecturales que seront conviés les visiteurs. Dans une dizaine d’hôtels particuliers du XVIIe siècle, parmi les quelques 70 que compte Montpellier. Et ce sont dans leurs cours intérieures qui ne s’offrent pas d’emblée aux touristes que les participants proposeront leurs installations éphémères et pensées pour chaque lieu.
Cette année, onze projets ont été sélectionnés parmi plus de 80 candidatures. Les acteurs sont originaires d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’Equateur, de Turquie et de France (Nice, Marseille, Montpellier, Paris, Strasbourg et Toulouse). En tout 27 architectes, 14 femmes et 13 hommes, dont trois montpelliérains.
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Hôtel de Médecine @ Festival des Architectures Vives Hôtel de Médecine @ Festival des Architectures Vives
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Hôtel Rozel @ Festival des Architectures Vives Hôtel Rozel @ Festival des Architectures Vives
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Hôtel Sabatier d'Espeyran @ Festival des Architectures Vives Hôtel Sabatier d'Espeyran @ Festival des Architectures Vives
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Trésoriers de la Bourse @ Festival des Architectures Vives Trésoriers de la Bourse @ Festival des Architectures Vives
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Le thème « RYTHME » ne pouvait que séduire les candidats. Comme le musicien John Cage, pour qui « le rythme est une affaire fondamentale ; c’est la structure du temps » rappelle Malek Dabhi, architecte et maître de conférences, avant d’ajouter « plus généralement, le rythme est peut-être cette cadence qui certes anime le mouvement, structure le temps, mais aussi compose l’espace ». En cette année olympique en France, Malek Dabhi glisse opportunément que « Pierre de Coubertin, lors de la rénovation des jeux olympiques, voulut prolonger la pensée des philosophes grecs selon laquelle le corps et l’esprit sont indissociables. Ainsi, jusqu’au milieu du XXe siècle, des artistes pouvaient prétendre au titre de champion olympique dans cinq catégories : architecture, littérature, musique, peinture et sculpture ».
Quels seront les « champions du FAV 2024 » que le jury, le public et MAS Réemploi récompenseront le 15 juin ? Parmi les œuvres exposées aux titres plus ou moins énigmatiques : Cours toujours, oscillations, Prélude, Solstice, Divagations, L’âme miroir, A vos briques, The Proscenium of Ephemeral Reflections, Polyrythma colomna, Rhubarb ou Kirigami Flame.
Et sans divulgâcher les projets. A découvrir in situ, en jouant parfois un rôle actif dans l’œuvre elle-même.
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Guy Hébert
Le 11 juin, entrée libre de 14h à 19h.
Du 12 au 16, entrée libre de 9h à 19h
Point de départ du parcours :
Hôtel Saint Côme, siège de le CCI,
32 Grand rue Jean Moulin
Quand Victor Hugo s'escrime
Pour s'associer aux célébrations des Jeux Olympiques de 2024, une nouvelle exposition insolite ouvre ses portes dans la demeure du célèbre auteur.
La Maison de Victor Hugo s'implique dans l'actualité estivale parisienne en mettant l'éclairage sur la pratique de l'escrime dans la famille Hugo.
Encore un pan de vie de l'artiste que nous permet de découvrir l'équipe de son musée, la pratique de l’escrime.
Les grands combats de Victor Hugo
En effet ,les valeurs que défendaient ardemment l'écrivain, ses valeurs universelles rejoignent celles de l’olympisme: la liberté, la justice, la paix et la fraternité.
Resituons nous à l'époque : la pratique de l’escrime est encore largement répandue au milieu du 19e siècle où les duels d’honneur pour des motifs littéraires ou politiques ou privés restent courants.
Une photographie de Victor Hugo et de son fils Charles ainsi que des masques conservés à Hauteville House à Guernesey illustre ce souvenir de la famille Hugo.
Le duel est évoqué dans plusieurs pièces du théâtre de Victor Hugo.
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Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées
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Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées
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Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées
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Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées Maison de Victor Hugo à Paris © Paris Musées
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Masques d'escrime de la famille Hugo à Guernesey, © Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey Masques d'escrime de la famille Hugo à Guernesey, © Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId783caab544
Le parcours de l'auteur
L’évolution politique de Victor Hugo, de royaliste à républicain, de la droite à la gauche, a toujours été conduite par son attachement aux grandes valeurs humanistes, la liberté, la dignité, la fraternité, à la justice.
Sa condamnation du Coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte, le 2 décembre 1851, est l’événement décisif de sa vie qui le force à un long exil.
Durant ces vingt années, il mènera un véritable duel contre Napoléon III à coup de déclarations, d’écrits pamphlétaires (Napoléon le Petit), de récits historiques (Histoire d’un crime) ou de satires poétiques (Châtiments). Victor Hugo y gagne une stature morale de figure fondatrice de la république.
Du 25 Avril au 15 Septembre 2024
Entrée gratuite
Du mardi au dimanche de 10h à 18h
Fermé lundis et 1er janvier, 1er mai et 25 décembre
Fermeture des caisses à 17h40
Maison de Victor Hugo
6 Place des Vosges
75004 Paris
01 42 72 10 16
"Luxe de poche" au Temps des Lumières
Petits objets précieux au Siècle des Lumières
Cette nouvelle exposition associe l'Histoire de l'Art à l'Histoire de la Mode, illustrée de collections uniques. Son fil conducteur nous invite à suivre l'histoire de près de trois cents œuvres.
La collection remarquable d’Ernest Cognacq (1839-1928), fondateur des Grands magasins de la Samaritaine, est enrichie de prêts importants qui complètent à merveille le propos de Luxe de Poche. Le musée du Louvre, le musée des Arts décoratifs de Paris, le Château de Versailles, le Palais Galliera, les Collections royales anglaises ou le Victoria and Albert Museum à Londres et des collections particulières, ont tous apporté leur contribution, pour le plaisir des yeux.
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Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Boîte, Johann-Christian Neuber, vers 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Tabatière, Louis Pierret, entre 1747 et 1748 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Tabatière, Louis Pierret, entre 1747 et 1748 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Bonbonnière, Joseph-Etienne Blerzy, entre 1777 et 1778 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Bonbonnière, Joseph-Etienne Blerzy, entre 1777 et 1778 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProIda64d1813ba
Leur délicatesse, la préciosité de leurs matériaux, l’inventivité de leurs mécanismes, signent ici le travail exceptionnel et la créativité des orfèvres, Ces artisans qui ont su adapter la maîtrise de leur savoir-faire à l’arrivée de nouveaux matériaux exotiques – porcelaine, laque.
Ces objets précieux et sophistiqués, en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d’émaux translucides, parfois ornés de miniatures, témoignent du rang dans la société de leur propriétaire.
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Châtelaine, Anonyme, entre 1750 et 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Châtelaine, Anonyme, entre 1750 et 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Boîte, Anonyme, entre 1750 et 1850 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Boîte, Anonyme, entre 1750 et 1850 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Etui à messages, Anonyme, entre 1760 et 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay Etui à messages, Anonyme, entre 1760 et 1780 © CC0 Paris Musées/Musée Cognacq-Jay
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Tabatière, anonyme, Berlin, vers 1765 © Victoria and Albert Museum, London Tabatière, anonyme, Berlin, vers 1765 © Victoria and Albert Museum, London
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Fabrique royale, tabatière de table, Berlin, entre 1770 et 1775, Londres © The Royal Collection/ HM King Charles III Fabrique royale, tabatière de table, Berlin, entre 1770 et 1775, Londres © The Royal Collection/ HM King Charles III
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId28b3895da5
La mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle
La marque de fabrique du XVIIIe siècle s'identifie par le développement des métiers d’art et l’essor des arts décoratifs.
Les petits objets précieux se retrouvent sous forme de « boîtes » ou de « bijoux » : tabatières, bonbonnières, boîtes à mouches ou à fard, étuis, nécessaires, montres, châtelaines, lorgnettes…
Les usages de ces objets varient, en symbolisant un quotidien raffiné, signe de richesse, souvenir intime. Au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitent un véritable engouement en France d’abord puis dans toute l’Europe.
Message sans équivoque
C'est l'Art du tout petit, du "mignon", accessoire indispensable qui fait tout le charme du Luxe...au charme discret. A faire pâlir plus d'un collectionneur !
Du 28 mars au 29 septembre 2024
A ne pas manquer à l’occasion des Journées Européennes des Métiers d’Art
Le musée Cognacq-Jay met en lumière deux savoir-faire séculaires : la ciselure et la gravure.
Les visiteurs pourront bénéficier de démonstrations gratuites par les élèves de l’Ecole Boulle, une immersion dans les créations du XVIIIe siècle et leurs héritières contemporaines.
Musée Cognacq-Jay
8, rue Elzévir
75 003 Paris
01 40 27 07 21
Chasse aux os de Pâques au Musée de l'Homme
La 2e édition de la chasse aux os de Pâques approche. Il y aura du suspense et des chocolats !
Le chocolatier Patrick Roger (Meilleur ouvrier de France Chocolatier et sculpteur) s’associe à l’événement, avec une création spécialement dédiée à cette occasion.
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La Boîte à os en chocolat de Patrick Roger @ photo Patrick Roger La Boîte à os en chocolat de Patrick Roger @ photo Patrick Roger
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La Boîte à os en chocolat de Patrick Roger @ photo Patrick Roger La Boîte à os en chocolat de Patrick Roger @ photo Patrick Roger
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Le Musée de l'Homme M.N.H.N @ photo J.C Domenech Le Musée de l'Homme M.N.H.N @ photo J.C Domenech
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Le Musée de l'Homme, M.N.H.N @ photo Jean-François Krettly Le Musée de l'Homme, M.N.H.N @ photo Jean-François Krettly
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Le Musée de l'Homme, M.N.H.N @ photo Jean-François Krettly Le Musée de l'Homme, M.N.H.N @ photo Jean-François Krettly
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId093591ac83
A la recherche de la malle aux chocolats du musée, les enfants poursuivent des pistes qui les propulseront à travers les âges de la grande famille humaine : des primates à nos ancêtres Cro-Magnon, le squelette de Lucy, les outils de l’âge de pierre, et les animaux d’il y a 30.000 ans.
Après avoir résolu une série d’énigmes en équipe,munis du code secret de la fabuleuse malle remplie par Patrick Roger… ils repartiront avec leur os en chocolat.
Les 30 mars, 31 mars et 1er avril 2024
Séances à 11h15, 12h15, 14h30, 15h30, 16h30
Inscriptions sur
www.billetterie.mnhn.fr
À partir de 5 ans
5 € par participant (en plus du prix d’entrée)
Durée : 45 minutes
Musée de l'Homme
17 place du Trocadéro
75 016 Paris
Visites spéciales pour la Journée des Femmes au Musée Camille Claudel
La Journée internationale des droits des femmes inspire le Musée Camille Claudel. Deux visites particulièrement destinées à Camille Claudel offriront une vision plus globale de l'engagement artistique au féminin.
Quand on connaît le parcours artistique et la vie tumultueuse de Camille Claudel, dans l'ombre de son mentor, Rodin, les questions se posent sur ces choix de sujet dans sa discipline, peu partagée par les femmes.
Les thématiques traitées ce week-end.
Samedi 9 mars, 15h
La représentation du nu chez Camille Claudel
Par l'observation des sculptures de l'artiste, telles que sa Femme accroupie, sa Joueuse de flûte ou encore ses Causeuses, la visite tentera de répondre à différentes interrogations : Comment Camille Claudel traite-t-elle plastiquement la nudité, féminine et masculine ? En tant qu'artiste femme, porte-t-elle un regard différent de celui d'un artiste homme sur le corps nu ?
Dimanche 10 mars, 15h
La représentation des femmes en sculpture
Accompagné d'une conteuse et d'un médiateur le parcours à traversles collections du musée, nous pourrons explorer quatre exemples de représentation de femmes en sculpture : l'amoureuse, la triomphante, la désespérée et la monstrueuse.
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Camille Claudel, vers 1886, photo prise dans son atelier, Paris, Musée Rodin Camille Claudel, vers 1886, photo prise dans son atelier, Paris, Musée Rodin
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César Séegner, Camille Claudel, statuaire @ Archives musée Camille Claudel César Séegner, Camille Claudel, statuaire @ Archives musée Camille Claudel
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Musée Camille Claudel à Nogent-sur-Marne @ photo Frederic Lopez Musée Camille Claudel à Nogent-sur-Marne @ photo Frederic Lopez
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId0327e6e702
Les œuvres de Camille Claudel, replaçées dans leur époque, démontrent leurs originalités
Labellisé « Musée de France » l'établissement abrite la plus importante collection au monde des œuvres de Camille Claudel (1864-1943). Le parcours des collections permanentes permet de découvrir un panorama de la sculpture de la fin du XIXᵉ au début du XXᵉ siècle.
Quarante-cinq œuvres sont conservées au musée
Les 9 et 10 mars 2024
Ouverture du mercredi au lundi, de 10h à 18h
Fermé le mardi
Toulouse Lautrec, tête d'affiche
Seul musée dédié au peintre Pierre Bonnard, le musée laisse l'affiche à un ami de l'artiste, Toulouse Lautrec.
le musée Bonnard présente une collection privée avec deux prêts exceptionnels du musée d’Orsay
Cette exposition s'inscrit dans la célébration nationale du 150ème anniversaire de la naissance de l’Impressionnisme. Pour illustrer ce point d'orgue, deux chefs-d’œuvre de Toulouse-Lautrec appartenant aux collections du musée d’Orsay – La Femme aux gants et La Clownesse Cha-U-Kao sont présentées.
L'exposition s'enrichit d'une sélection de 80 affiches, lithographies, planches d’essai et albums. Certaines de ces affiches sont bien connues parce qu’elles sont devenues emblématiques de la Belle Époque mais beaucoup sont rarissimes.
Nous sommes en 1891 après que Lautrec ait été enthousiasmé par l’affiche de Pierre Bonnard "France-Champagne" (premier travail d’estampe de l'artiste) avec la commande que l’artiste reçoit du directeur du Moulin-Rouge.
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Toulouse Lautrec Elles Frontipice Collection particulière © droits réservés Toulouse Lautrec Elles Frontipice Collection particulière © droits réservés
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Toulouse Lautrec Jane Avril 1899 Collection particulière © droits réservés Toulouse Lautrec Jane Avril 1899 Collection particulière © droits réservés
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Toulouse Lautrec L'anglais au Moulin Rouge Collection particulière © droits réservés Toulouse Lautrec L'anglais au Moulin Rouge Collection particulière © droits réservés
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Toulouse Lautrec Le Divan japonais 1893 Collection particulière © droits réservés Toulouse Lautrec Le Divan japonais 1893 Collection particulière © droits réservés
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Toulouse Lautrec La clownesse au Moulin Rouge 1897 Collection particulière © droits réservés Toulouse Lautrec La clownesse au Moulin Rouge 1897 Collection particulière © droits réservés
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId06133b323a
La modernité de la signature Lautrec
Son affiche Moulin-Rouge – La Goulue est un tel succès qu’elle mène Lautrec à la création d’autres affiches (une trentaine d'autres suivront) ainsi que des lithographies (entre 300 et 400).
Si les deux artistes sont en concurrence, il n'en existe pas moins une amitié naissante, liée à leur attirance pour l'estampe japonaise qui les oblige à développer leur propre styles : épaisseur du trait, forme dégingandée, couleur criarde ou mate...l'efficacité graphique doit se jouer au premier coup d'oeil.
Lautrec y gagne en notoriété avec "le Moulin Rouge" en 1889.
Fin observateur du monde nocturne dans lequel il évolue sans être moqué pour sa petite taille, Il n'est pas toujours tendre avec ses modèles: L'affiche figurant Aristide Bruant, dresse un portrait sévère du chansonnier.
Danseuse et célèbre actrice de Montmartre, son amie et confidente, Jane Avril, lui servira de muse sur plusieurs affiches, reconnaissable à sa chevelure rousse;
L'exposition n'oublie pas de montrer combien Lautrec appréciait le théâtre, source d'inspiration multiple. Programme, affiche, gravure de scène, décors, tout est bon pour parfaire son pinceau.
Son amour des femmes se traduit dans l'album de 11 lithographies / Elles. en 1896.
Jusqu'au 9 juin 2024
A voir au Musée Bonnard
16, boulevard Sadi Carnot
06 110 Le Cannet
04 93 94 06 06
Du 16 mars au 9 juin 2024
La Bibliothèque Smith-Lesouëf devient Maison des Illustres
Labellisée "Maison des Illustres", la Bibliothèque Smith-Lesouëf s'inscrit encore plus dans son histoire. L'aboutissement d'un cheminement qui permet de retrouver son riche décor d’origine.
Entrée dans le domaine de la Fondation des Artistes en 2004 par convention conclue avec la Bibliothèque nationale de France qui en était jusque-là légataire, l'établissement est ainsi valorisé à travers les parcours artistiques et l’engagement philanthropique de Jeanne et Madeleine Smith, à l’origine de la création de la Bibliothèque mais aussi du legs de leur domaine pour la cause des artistes, en 1944.
Le bâtiment a rejoint la dotation de la Fondation des Artistes le 9 janvier 2004 et conserve aujourd’hui les livres ayant appartenu aux résidents de la Maison nationale des artistes, en lieu et place des ouvrages d’Auguste Lesouëf, ainsi qu’un ensemble de meubles, objets d’art, dessins et sculptures ayant appartenu à l’éminent bibliophile, déposé à la Fondation des Artistes par la BnF, à l’occasion de la restauration de cet édifice.
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Photo d'archives de la façade vers 1920 @ photo Fondation des Artistes Photo d'archives de la façade vers 1920 @ photo Fondation des Artistes
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Photo d'archives de la façade vers 1920 @ photo Fondation des Artistes Photo d'archives de la façade vers 1920 @ photo Fondation des Artistes
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Photo d'archives de laSalle de lecture @ photo Fondation des Artistes Photo d'archives de laSalle de lecture @ photo Fondation des Artistes
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Un peu d'Histoire
En 1906, l’oncle des sœurs Madeleine Smith-Champion et Jeanne Smith, le célèbre bibliophile Auguste Lesouëf, leur lègue la totalité de sa collection, constituée notamment de 18 000 ouvrages dont de très rares manuscrits et incunables. En 1912, les sœurs Smith décident de construire une bibliothèque pour les conserver et léguer l’ensemble, à leur tour, à la Bibliothèque nationale de France.
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Façade rénovée @ photo Fondation des Artistes Façade rénovée @ photo Fondation des Artistes
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Façade rénovée @ photo Vanessa Silvera/ Fondation des Artistes Façade rénovée @ photo Vanessa Silvera/ Fondation des Artistes
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Façade rénovée @ photo Vanessa Silvera/Fondation des Artistes Façade rénovée @ photo Vanessa Silvera/Fondation des Artistes
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La Bibliothèque Smith-Lesouëf est édifiée entre leurs maisons des 14 et 16 de la rue Charles VII (aujourd’hui respectivement la Maison nationale des artistes et la MABA). Le chantier, confié aux architectes Théodore Dauphin et Paul Marion, est conduit entre 1913 et 1917. L’aspect ancien de sa façade et de ses intérieurs, référence à l’art de l’Ancien Régime, est dû autant au goût pour l’histoire de la famille Smith qu’aux difficultés à trouver des matériaux en période de guerre, obligeant les propriétaires à récupérer les boiseries et ferronneries intérieures dans des édifices anciens.
Une bibliothèque au zénith
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Bibliothèque rénovée @ photo Fondation des Artistes Bibliothèque rénovée @ photo Fondation des Artistes
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Salle de lecture de la Bibliothèque rénovée @ photo Stéphane Pons/ Fondation des Artistes Salle de lecture de la Bibliothèque rénovée @ photo Stéphane Pons/ Fondation des Artistes
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Salle de lecture de la Bibliothèque rénovée @ photo Stéphane Pons/ Fondation des Artistes Salle de lecture de la Bibliothèque rénovée @ photo Stéphane Pons/ Fondation des Artistes
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProId22e58b5452
L’édifice ouvre ses portes au public en 1919, administré par un conservateur de la Bibliothèque nationale de France et ce, jusque dans les années 1980, date du déménagement des collections prestigieuses et rares vers les réserves centrales de la BnF.
Dans le Val-de-Marne
Visite libre de la bibliothèque et conférence historique :
Protéger les collections nationales pendant la Guerre froide
Le Service de protection des œuvres d'art de Rose Valland (1952-1968)
Par Ophélie Jouan et Romane Spirin
17h-18h : ouverture de la bibliothèque en visite libre
18h-19h : conférence
19h-21h : ouverture de la bibliothèque en visite libre
Gratuit, dans la limite des places disponibles
Accès
RER A : Nogent-sur-Marne puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture
RER E : Nogent-Le Perreux puis direction Tribunal d’instance
Métro ligne 1 : Château de Vincennes puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture
Vélib’ n° 4130
Bibliothèque Smith-Lesouëf
14 bis, rue Charles VII
94130 Nogent-sur-Marne
Découverte d'un Moulin à vent à Sartrouville
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Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville
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Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville
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Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville Fouilles INRAP du Moulin à vent @ photo INRAP Sartrouville
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProIdb818e960f9
Le moulin de la Tour L’étude des archives montre que le moulin de La Tour est exploité par la famille Liebert depuis, au moins, la seconde moitié du XVIIe siècle. Il semble n’avoir jamais appartenu à un seigneur. Il servit à produire de la farine jusqu’au milieu du XIXe siècle. La parcelle en pointe sur laquelle s’érigeait le moulin domine de la vallée de la Seine et la forêt de Saint-Germain-en-Laye.
Les archéologues y mettent au jour les fondations en pierre du moulin. Pour résister aux forces éoliennes, cet anneau maçonné est maintenu par une butte artificielle constitué d’un apport successif de terres.
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Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo INRAP Sartrouville Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo INRAP Sartrouville
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Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo INRAP Sartrouville Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo INRAP Sartrouville
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Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo Mahaut Tyrell Vestiges d'un Moulin à vent à Sartrouville @ photo Mahaut Tyrell
https://patrimoinedefrance.fr/nouvelle-aquitaine/content/40-echos-du-patrimoine.html?start=28#sigProIdafe474a19d
Au pied de ce mur, un paratonnerre protégeait de la foudre le point haut que représentait le moulin au sommet du plateau. Les meules et les autres outils de production étaient situés dans la partie basse de la construction en pierres
Ce moulin était surmonté d’une hucherolle, cage en bois, qui supportait les ailes et les mécanismes. Seule cette partie haute, actionnée par une guivre (queue en bois) ou une échelle, était amovible afin d’orienter le moulin selon les vents dominants. La maison du meunier se trouve à quelques mètres.
Détruite dans les années 1980, sa forme est connue par un plan de 1820.
La fouille a révélé des phases d’occupation plus anciennes. Les archéologues ont ainsi découvert sous la cour de la maison une vaste cave en relation certaine avec les activités de meunerie.
Elle est détruite dans les années 1980.
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