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Catégories enfants
Collecte 39-45
Des objets qui parlent pour l'éternité
Le musée de la Résistance et de la Déportation lance une grande opération de collecte auprès du public. Si vous possédez des objets de la Seconde Guerre Mondiale qui pourraient aider le musée à entretenir la mémoire collective, n'hésitez pas à les leur confier. L'établissement est actuellement entièrement repensé et après rénovation il réouvrira en 2022, cette collecte permettra une belle mise en valeur de son Histoire.
La collecte d’archives, d’objets, de photographies et de témoignages artistiques est à l’origine de la création du Musée de la Résistance et de la Déportation en 1971 par Denise Lorach, ancienne déportée.
Le Musée de la Résistance et de la Déportation recherche :
- Des éléments liés à l’enfance durant la Seconde Guerre mondiale ;
- Des éléments illustratifs du Nazisme, de la persécution et de la déportation des Juifs (spoliation, enfants
cachés) et des NN, de l’Occupation, de la Résistance en Franche-Comté ;
- Des témoignages d’attitudes diverses durant l’Occupation (manifestations, témoignages de soutien,
entraide, solidarité mais aussi dénonciations, etc.) ;
- Des écrits : journaux intimes durant l’Occupation mais aussi écrire pour dénoncer, communiquer et
résister ;
- Des éléments illustratifs de la vie quotidienne en Franche-Comté (se nourrir, se déplacer, se vêtir) ;
- Des éléments qui témoignent des interactions franco-suisses durant l’Occupation (sauvetage des Juifs,
passages et organisations de passeurs) ;
- Des éléments illustratifs de la captivité de prisonniers de guerre à la Citadelle de 1944 à 1948 ;
- L’art concentrationnaire : de la littérature, des peintures, dessins
et sculptures réalisés en prison, en camp d’internement ou de
concentration.
Si vous possédez certaines pièces et que vous souhaitez en faire don, vous pouvez contacter : Aurélie Cousin, assistante de conservation au 03.81.87.83.12
aurelie.cousin@citadelle.besancon.fr
Jusqu'au 30 avril 2019
Les 150 ans de la disparition de Lamartine
Écrivain, poète, historien, politicien, membre de l’Académie française
Le 28 février 1869 disparaissait Alphonse de Lamartine (1790-1869). L'homme de Lettres natif de Mâcon a marqué des générations.
À l’âge de 30 ans, il fait paraitre sous le titre de Méditations poétiques, des poèmes qui le rendent célèbre. Il est ensuite élu à l’Académie française.
Lamartine s'engage en politique. D’abord nommé attaché d’ambassade à Naples, il est élu tour à tour député à Bergues, conseiller général de Mâcon, ministre des Affaires étrangères et chef du gouvernement provisoire en 1848.
Sa région a décidé de lui rendre hommage par différents temps forts tout au long de l'année.
Aujourd'hui 28 février, l’exposition « Perpétuer la mémoire : les commémorations autour d’Alphonse de Lamartine du XIXe siècle à nos jours » ouvre le bal. Une partie essentielle sera consacrée à l’étude de la sculpture édifiée en 1878 sur les quais de Saône. A cette occasion, le musée des Ursulines, après un temps de rénovation réouvre. Un espace consacré à l'écrivain retrace son histoire, ses écrits, et ses engagements pour le resituer dans son époque.
Jusqu’au 12 juillet 2019 au Musée des Ursulines
5 rue de la Préfecture
71000 Mâcon
03.85.39.90.38
De Bormes-les-Mimosas
La 3ème plus grande commune du Var Bormes-les-mimosas porte son nom depuis 1968. Pour marquer la séparation d’avec sa voisine Le Lavandou (en 1913).
Sa géographie, elle s'étale sur des terrasses abruptes, et son climat (exotique tropical) en font une station touristique réputée pour sa douceur de vivre.
Une collection exceptionnelle d'acacias, d'eucalyptus, de Grevillea, de mélaleuca, de banksia
Son microclimat attire les visiteurs toute l’année. La nature est à son aise ici. A visiter le Parc Gonzalez, classé Jardin Remarquable, où 300 plantes d’origine australienne, s’étirent au soleil.
La cité abrite la chapelle Saint-François de Paule (XVIe) et l’église Saint Trophyme (XVIIIe). On peut apercevoir quelques vestiges du château des Fos. Il fait bon se promener au fil de ses ruelles.
D’une terrasse au loin le Cap Bénat, la méditerranée s’allonge le long de la côte. Un monument unique appartient à la commune, le Fort de Brégançon, résidence présidentielle est ouverte à la visite.
Une belle adresse pour loger et se restaurer
Le Café du Progrès
7 Place Gambetta
04.94.46.00.19
Office de tourisme
Place Gambetta
83 230 Bormes-les-Mimosas
04.94.01.38.38
De Sainte-Maxime
Les Bains de Mer
Léon Gaumont, l'inventeur de l'industrie cinématographique, aurait bien été surpris de la destinée de sa petite ville natale. Son charmant port de pêche, (vous trouverez tous les poissons pour concocter une belle bouillabaisse; rascasse, loup, calamars…) sa plage et son marché couvert incitent à la balade.
Son église permet de découvrir un autel du XVIIe en marbre blanc.
Les palmiers et les platanes forment un décor idéal pour qui veut découvrir le golfe de Saint-Tropez, surtout hors saison.
Ancien village fortifié dont il subsiste la Tour Carrée de 1520.
La cité balnéaire connut son apogée à l'arrivée du chemin de fer et de l'implantation de son casino de 1914, se converti en hôpital pour les blessés de guerre en 1920. Les villas de la Belle Epoque, celles encore existantes peuvent en témoigner.
Les pinèdes en nombre dont les pignes permettaient d'alimenter les chaudières du chemin de fer.
Le pont du Préconil est classé Label du Patrimoine du XXe.
Les Tourelles
L'une des plus emblématiques reste la demeure de Léon Gaumont dont l'empreinte parcours la ville. Son château, acquis en 1883, lui servira de décor pour son film Judex. Aujourd'hui résidence luxueuse, elle abrite un hôtel et un restaurant.
Tout blanc, le pont du Préconil reste un témoignage de l'architecture en béton armé, il date de 1934.
Office de tourisme
1 Promenade Simon Lorière
83 120 Sainte-Maxime
Un Regard Chanel
La Collection de la Princesse Magaloff
Préparée de longue date, cette vente est entièrement consacrée à l'univers Chanel à travers la passion d'une artiste esthète.
Décédée en décembre 2018, la Princesse Léona Magaloff fut une experte avertie. Elle s'installa à Paris dans les années 60 pour assouvir sa passion de la Mode, après avoir mené une carrière de cantatrice elle se produisit notamment au Festival de Salzbourg et à Vienne.
Fruit de son addiction aux pièces exceptionnelles, la vente reflète le savoir-faire unique de la Maison Chanel.
Bijoux et accessoires
La dispersion de ces pièces Chanel dont les estimations débutent à 100€, est l’occasion d’acquérir des vêtements, des sacs, des bijoux, des accessoires de haute couture ou de prêt-à-porter réalisés à différentes époques de la maison Chanel.
De somptueux bijoux sont l'honneur. De grands créateurs tels que Victoire de Castellane, Robert Goossens, ou encore la maison Gripoix seront en vente.
Robert Goossens, le Monsieur Bijou de Chanel
Après avoir œuvré pour la Maison Cartier, Robert Goossens (1927-2016) débute une nouvelle carrière chez Chanel dans les années 50. Il s'inspire de l'Antiquité, les cultures byzantine, wisigoth ou étrusque, le fascine. A l'image de cette superbe torque dont le raffinement est poussé à l'extrême.
Autre figure emblématique de la marque, Victoire de Castellane, joaillère
Elle commence sa carrière aux côtés de Karl Lagerfeld, en 1984, et travaillera pour la maison Chanel jusqu’en 1998. Puis en 1984 elle rejoint la Maison Dior en tant que directrice artistique de la joaillerie Dior.
Une Maison Patrimoniale
La maison Gripoix, créée par Augustine Gripoix en 1869, fut longtemps au service des grands noms de la haute couture. elle acquière en 1970 la firme Gasse, fabriquant de pâte de verre, ce qui permet d'associer savoir-faire traditionnel et modernité.
D'ailleurs, l’une des œuvres phares de la vente est un sautoir réalisé par la maison Gripoix vers 1969.
La double chaîne du collier se conclue par un superbe pendentif réunissant verre coulé, strass Swarovski et perles blanches d’imitation, dont la forme et le motif rappellent ceux d’une amulette.
Lundi 18 mars
Vente de la Maison Gros & Delettrez, en association avec le cabinet Chombert & Sternbach.
Drouot
Salle 4
Exposition publique samedi 16 mars 11h/18h
Lundi 18 mars à 13h30, exposition 11h/12h
Festival Lumières sauvages à Thoiry
Un monde animalier féérique
Thoiry se pare de mille feux jusqu'au 10 mars pour célébrer le Nouvel An chinois.
Plus de 600 sculptures lumineuses émaillent le parc, des œuvres démesurées pour aller à la rencontre de cette culture millénaire, un dragon géant, des milliers de lanternes, un temple chinois, les visiteurs en prennent plein les mirettes !
Festival Lumières sauvages © Arthus Boutin
Tous les secrets de la Nouvelle année chinoise
Magique aussi de découvrir, au fil du parcours, tout ce que nous réserve l'année, signe par signe.
Et la visite, à moins d'une heure de Paris ce zoo mythique apporte un dépaysement inoubliable.
Festival Lumières sauvages © Arthus Boutin
Des rêves plein la tête
Le zooparc de Thoiry nous transporte loin très loin...
Important la visite du Festival est inclue dans le prix du ZooSafari, sans supplément
Tous les jours des spectacles d'acrobatie par une troupe du Sichouan et un marché d'artisans.
Accès en voiture
Prendre l'autoroute A13 porte d'Auteuil.
À l'embranchement A13, A12 prendre l'autoroute A12 puis la N12 en direction de Dreux.
Prendre la sortie Thoiry, suivre la D76 puis la D11 en direction de Thoiry.
ZooSafari de Thoiry
78 770 Thoiry
www.thoiry.net